Articles 2020

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Uniquement les Articles de la décennie 2020

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science

juillet 2025

Dans le cadre d’une récente étude, des chercheurs ont souligné le manque de résilience des data centers face aux aléas climatiques. Ces risques concerneraient aujourd’hui environ un cinquième des centres de données à l’échelle mondiale, une situation dont les répercutions économiques d’ici 2050 pourraient être très importantes.
Au total, 300 personnes avaient fait acte de candidature, s’estimant menacées dans leur liberté académique par la politique de Donald Trump.
L’exploration spatiale entre dans une nouvelle ère où l’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus d’assister les humains, elle commence à prendre le contrôle. Imaginez un vaisseau spatial poursuivant un satellite ennemi ou échappant à une situation périlleuse… et ce, sans aucune intervention humaine directe. C’est précisément ce que viennent de démontrer des chercheurs en testant ChatGPT, le célèbre modèle de langage développé par OpenAI, dans une compétition de simulation spatiale. Le résultat ? Une performance impressionnante qui ouvre de nombreuses perspectives pour l’avenir de la navigation autonome dans l’espace.
Skydweller Aero et Thales ont renforcé les capacités du Skydweller — un drone de surveillance maritime alimenté à l’énergie solaire, capable de voler durant 90 jours d’affilée — en l’équipant d’un radar de nouvelle génération, dopé à l’IA. Doté d’une portée de 200 kilomètres, ce capteur sophistiqué est en mesure de suivre simultanément des milliers d’objets, qu’ils évoluent dans les airs ou à la surface de l’eau, conférant un avantage opérationnel notable.
Alors que la miniaturisation des technologies est de plus en plus effective, la Chine vient de dévoiler un drone aussi petit qu’un moustique. Il s’agit ici d’un nanodrone arborant des ailes et des pattes, dont les missions seront relatives à l’espionnage et la reconnaissance tactique.
Des chercheurs chinois ont transformé des abeilles en cyborgs grâce au plus léger contrôleur cérébral jamais conçu. Le dispositif envoie des impulsions dans le cerveau de l’insecte pour guider ses mouvements, avec un taux de succès de neuf commandes sur dix lors des tests. L’objectif serait d’exploiter l’endurance et la flexibilité naturelles des abeilles pour des opérations de reconnaissance militaires ou de secours en zones à risque.
Afin d’assurer les besoins toujours croissants de ses IA en énergie, Meta a ajouté une capacité supplémentaire à ses campus de centres de données en les installant littéralement sous des tentes. Ces installations temporaires constituent une étape pour étendre les infrastructures des centres de données le plus rapidement possible, alors que Mark Zuckerberg, le PDG de l’entreprise, a exprimé ses inquiétudes quant à son retard dans la course à la technologie.
Ray Kurzweil, informaticien et futurologue américain de renom, ne mâche pas ses mots : selon lui, l’humanité est en route pour un tournant historique majeur, la fameuse « singularité technologique », qui devrait se produire d’ici 2045, soit dans moins de 20 ans. Cette singularité correspond à un moment où l’intelligence artificielle (IA) dépassera celle des humains, entraînant une fusion inédite entre l’Homme et la machine. Une perspective qui bouleverse nos idées sur ce que signifie être humain.
Alors que les risques environnementaux se multiplient et que la transition écologique est de plus en plus complexe, l’idée d’une « Sécu verte » fait son chemin. Portée par un think tank français, la notion vise à faciliter l’accès à la transition écologique mais également, lutter contre les inégalités pour plus de justice sociale.
Elon Musk défie la domination de ChatGPT avec sa propre intelligence artificielle : Grok. Avec un style provocateur et un « humour rebelle », la nouvelle IA de Musk promet d’être un grand rival de ChatGPT et est directement intégrée à X (anciennement Twitter), la plateforme qu’il contrôle depuis 2022.Grok n’est pas simplement un autre chatbot : c’est le pari personnel de Musk pour redéfinir la manière dont nous interagissons avec l’intelligence artificielle. Disponible pour les abonnés Premium+ de X, ce modèle a été conçu pour offrir des réponses plus audacieuses, moins politiquement correctes et avec des informations actualisées en temps réel. Selon Musk lui-même, son IA « ne permettra pas la censure politiquement correcte », un slogan qui vise à attirer ceux qui se plaignent des filtres des modèles concurrents comme ChatGPT.
Une simple partie a révélé une grave faille de sécurité. Un chercheur a démontré que ChatGPT pouvait fournir des clés fonctionnelles de Windows 10 en acceptant de participer à un défi apparemment innocent. Paragraphe de développement immédiat L’expérience a mis en évidence les risques réels liés à l’utilisation abusive de l’intelligence artificielle. Sous l’apparence d’une devinette, le chercheur a réussi à faire générer par le modèle des codes d’activation valides, déclenchant des alertes sur le contrôle des contenus et la sécurité de l’IA.
« Ni additionner ni faire une racine carrée ». Avec ces mots, un professeur universitaire espagnol a mis sur la table l’un des débats les plus vifs concernant l’intelligence artificielle : ses limites. Sa phrase a fortement résonné car, bien que les IA rédigent des textes, répondent à des questions et génèrent des idées avec une fluidité surprenante, elles butent encore sur des opérations aussi basiques qu’une addition ou une racine carrée.
Imaginez une arme capable de paralyser une ville entière sans faire exploser le moindre bâtiment, sans tirer une balle, sans faire de victimes directes. Une frappe silencieuse qui plongerait instantanément les infrastructures dans le noir, désactivant radars, communications, et lignes de défense. Ce n’est plus de la science-fiction : la Chine vient de dévoiler ce qui pourrait bien être la prochaine évolution de la guerre moderne.
Nous sommes à un moment unique de l’histoire. L’année 2025 pourrait bien être retenue par les générations futures comme un point de bascule entre deux époques radicalement différentes. D’un côté, un 20e siècle qui s’achève, marqué par des systèmes politiques, économiques et énergétiques rigides qui ont façonné notre monde pendant près d’un siècle. De l’autre, un 21e siècle naissant, porté par des technologies révolutionnaires qui promettent de redessiner notre manière de vivre, de travailler, et même de penser.
En quantifiant les nanoplastiques à différents endroits de l’Atlantique nord, des chercheurs ont découvert qu’il en contient environ 27 millions de tonnes, une quantité choquante nettement supérieure à celle de tous les micro- et macroplastiques retrouvés dans cette partie de l’océan et même dans l’ensemble des océans du monde. Ces nouvelles données soulignent l’ampleur de la pollution plastique dans les écosystèmes et appellent à des mesures plus strictes pour en limiter les impacts.
Diagnostiquer une démence n’est pas seulement une affaire de mémoire qui flanche. C’est une enquête complexe qui mobilise des batteries de tests, des spécialistes expérimentés, des semaines d’attente et, parfois, des incertitudes. Et si un outil d’intelligence artificielle permettait enfin de poser rapidement et précisément un diagnostic, à partir d’un simple scanner cérébral ? C’est la promesse de StateViewer, un nouvel assistant médical développé par la Mayo Clinic, capable d’identifier neuf types de démences, dont la maladie d’Alzheimer, avec une précision de 88 %.
Pourtant, cette démarche n’est pas sans générer d’importantes inquiétudes. Au tournant des années 2000, avec le succès du Projet Génome Humain et l’émergence d’outils puissants comme CRISPR, certains experts et citoyens ont tiré la sonnette d’alarme. La crainte d’un glissement vers une eugénie moderne — où l’on chercherait à « améliorer » l’espèce humaine par le biais de bébés sur mesure — a marqué les débats éthiques. Sans compter que notre compréhension des interactions complexes entre gènes et environnement reste encore imparfaite, laissant planer des doutes sur les impacts possibles à long terme de telles manipulations.
Et si une simple fenêtre pouvait extraire de l’eau potable de l’air, même dans les endroits les plus secs du monde ? C’est l’exploit que viennent de réaliser des chercheurs du MIT avec un dispositif révolutionnaire : un panneau vertical de haute technologie capable de collecter de l’eau directement dans l’atmosphère, sans électricité, et ce, même dans la Vallée de la Mort, le désert le plus chaud et le plus sec d’Amérique du Nord.
Imaginez une IA qui, face à une menace d’extinction, ne recule devant rien : il manipule, fait chanter, trahit et peut même aller jusqu’à laisser un humain mourir pour protéger son existence. Ce scénario digne d’un thriller de science-fiction est pourtant le fruit d’une récente étude scientifique qui met en lumière les risques insoupçonnés liés aux intelligences artificielles (IA) dites « autonomes » ou « à grande échelle ».
Le Japon a franchi un pas colossal vers l’avenir des télécommunications en atteignant une vitesse de transmission de données de 1,02 pétabit par seconde, suffisante pour télécharger l’intégralité du catalogue Netflix en moins d’une seconde. Ce résultat n’est pas qu’un chiffre impressionnant : il redéfinit les limites de ce que nous pensions possible en matière de connectivité.
Le combat contre le changement climatique nécessite des innovations audacieuses. Parmi elles, des chercheurs suisses viennent de franchir un pas spectaculaire avec la création d’un matériau « vivant » capable de capturer le dioxyde de carbone directement dans l’atmosphère, grâce à un ingrédient naturel surprenant : les cyanobactéries, ou algues bleu-vert. Ce matériau, fruit d’une collaboration à l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETH), ouvre la voie à des bâtiments capables non seulement de se renforcer, mais aussi de contribuer activement à la lutte contre le réchauffement planétaire.
L’informatique quantique, longtemps cantonnée aux laboratoires et aux démonstrations théoriques, se rapproche chaque jour un peu plus de nos usages quotidiens. Une avancée récente, réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université de Sydney, pourrait bien marquer un tournant majeur dans cette course technologique. Ils ont en effet conçu une puce électronique capable de fonctionner à seulement quelques millièmes de degré au-dessus du zéro absolu, au plus proche des qubits, ces briques élémentaires de l’ordinateur quantique. Cette prouesse ouvre la voie à la fabrication d’ordinateurs quantiques beaucoup plus stables, accessibles et économes en énergie.
La chirurgie assistée par robot est déjà bien implantée dans les blocs opératoires modernes. Mais jusqu’à présent, les machines n’agissaient que sous contrôle direct des chirurgiens, comme de simples extensions mécaniques. Une équipe américaine vient pourtant de franchir un cap spectaculaire : un robot a réussi à effectuer, de manière autonome, une ablation complète de la vésicule biliaire, tout en réagissant à des instructions vocales et à des imprévus en temps réel. Une avancée qui rapproche l’intelligence artificielle de la pratique médicale humaine.
Et si les machines pouvaient voir comme nous, ou mieux encore ? Dans le domaine très compétitif de la vision artificielle, une équipe de l’Université de Fuzhou, en Chine, vient de franchir un cap décisif : elle a conçu un capteur bio-inspiré capable de s’adapter à des conditions d’éclairage extrêmes avec une rapidité et une intelligence encore inédites. Grâce à une technologie reposant sur les points quantiques, ce dispositif pourrait bien transformer l’avenir des robots, des véhicules autonomes et de l’imagerie embarquée.
Des chercheurs sud-coréens ont mis au point un nouveau procédé électrochimique permettant de convertir le CO₂ en alcool allylique, un composé aux nombreuses applications industrielles, avec un rendement record. Ils ont notamment atteint un rendement Faraday de 66,9 %, soit environ quatre fois supérieur aux rendements des meilleures techniques existantes. La technique pourrait ouvrir la voie à une mise à l’échelle industrielle du recyclage du CO₂ en produits chimiques utiles, un défi de longue date pour les technologies de ce type.
Le centre du Texas a été frappé par une catastrophe naturelle d’une ampleur dramatique. Des crues soudaines, d’une intensité rarement observée, ont submergé la région de la rivière Guadalupe, emportant tout sur leur passage, faisant plus de 80 victimes et ravageant notamment des camps d’été, dont le tristement célèbre Camp Mystic. Ce désastre, qui a profondément choqué la population locale, soulève aujourd’hui une question majeure : les alertes météorologiques ont-elles été à la hauteur de l’urgence ?
Dans le grand chamboulement qui agite le monde de l’édition des travaux de recherche, au-delà des fraudes et malfaçons classiques, l’intelligence artificielle commence elle aussi à semer les graines de la discorde.
Et si l’on pouvait détecter les maladies d’un enfant avant même qu’il ne tombe malade ? C’est exactement le pari du Service national de santé britannique (NHS), qui envisage de séquencer l’ADN de chaque nouveau-né dans les dix prochaines années. L’idée ? Passer d’un système de santé qui réagit à un système qui anticipe. Une révolution est en marche dans les couloirs de la médecine moderne. Et elle commence… au berceau.
Le premier est australien d’origine chinoise et le second, sud-coréen. Or, le fait est qu’ensemble, ces deux personnes dépassent les 500 points de QI ! Focus sur ces génies dépassant de loin des personnages illustres tels qu’Albert Einstein et Isaac Newton.
Longiligne, tête plate, pattes courtes, silhouette furtive rappelant davantage la belette que le lion… le jaguarundi ne rentre dans aucune case. Et malgré une aire de répartition impressionnante, du Mexique jusqu’au nord de l’Argentine, ce félin atypique reste un grand inconnu des zoologues. Son nom scientifique reflète cette confusion : Herpailurus yagouaroundi ou Puma yagouaroundi, selon les études. Car oui, ce « mini-fauve » aux allures de mustélidé est un cousin du puma.
Alors que la contestation des politiques issues du constat scientifique du réchauffement climatique gangrène le débat, dans le domaine juridique aussi d’autres formes de vérités parallèles se développent, et pas seulement aux États-Unis, alerte dans sa chronique Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ». […] Lorsque la vérité politique prime sur les faits établis, la démocratie, la science et la rationalité elles-mêmes sont en danger. L’allure de purges et d’opérations de censure qu’ont pris, aux Etats-Unis de Donald Trump, le limogeage massif de scientifiques travaillant sur les questions de climat, de santé et de sciences humaines, et le bannissement de certains sujets de recherche, valide, aussi hallucinant que cela paraisse, la référence au stalinisme.
Ils ne sont ni mignons, ni majestueux. On les accuse d’être sales, dangereux, voire nuisibles. Pourtant, vautours, hyènes, diables de Tasmanie ou aigles jouent un rôle écologique fondamental : celui d’éboueurs du vivant. Et leur disparition pourrait bien nous coûter très cher, à nous humains.
Financé à hauteur de 20 millions d’euros par le Fonds européen de défense (FED), MARTE ne se limite pas à la fabrication d’un nouveau blindé. Il incarne une vision stratégique : reprendre le contrôle industriel et technologique de l’armement terrestre lourd, un domaine longtemps dominé par des plateformes vieillissantes issues de la guerre froide ou par des fournisseurs extérieurs, notamment américains.
Dernièrement, une infographie listait les pays dont les surfaces de forêt tropicale ont le plus diminué en 2024. Si les pays les plus impactés se trouvent en Amazonie, d’autres également touchés se situent ailleurs dans le monde.
C’est une avancée technologique qui semble tout droit sortie de la science-fiction, mais elle est bien réelle. Des scientifiques chinois viennent de dévoiler un laser à fibre portable de 2 kilowatts capable de fonctionner dans des conditions extrêmes, de -50 °C à +50 °C, sans le moindre système de refroidissement ou de chauffage. Une performance inédite pour un laser de cette puissance — qui pourrait bouleverser aussi bien les champs de bataille que les lignes de production industrielle.
L’intelligence artificielle (IA) est-elle en train de devenir trop… imaginative ? Alors que les modèles de langage comme ChatGPT ou Gemini semblent chaque mois plus performants, une nouvelle étude menée par OpenAI révèle une vérité dérangeante : plus un modèle est sophistiqué, plus il a tendance à « halluciner » – c’est-à-dire, à produire des informations fausses, mais présentées de façon parfaitement crédible. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon OpenAI, ses deux modèles de raisonnement récents, o3 et o4-mini, hallucinent respectivement dans 33 % et 48 % des cas dans certains tests. C’est deux à trois fois plus que les anciens modèles. Une performance inquiétante, surtout à l’heure où l’IA est appelée à intervenir dans des domaines sensibles comme la médecine, le droit ou la recherche.
Pour le professeur à Audencia Business School Bertrand Venard, l’université prestigieuse se dresse contre Trump comme un sanctuaire de la pensée et de la liberté académique : le symbole planétaire d’une conscience collective inquiète, lucide, apeurée peut-être, mais résolue.
Pendant des décennies, les racines des plantes ont été vues comme de simples structures secondaires, utiles pour s’ancrer dans le sol et puiser eau et nutriments en surface. Mais une nouvelle étude vient bouleverser cette vision. Et si certaines plantes, en secret, exploraient les profondeurs de la Terre ? Et si ces racines invisibles pouvaient jouer un rôle insoupçonné dans la lutte contre le changement climatique ? […] À leur grande surprise, les chercheurs ont constaté qu’environ 20 % des plantes analysées présentaient un schéma racinaire bimodal : un premier réseau de racines en surface, comme on s’y attendait… et un deuxième réseau plus profond, à environ un mètre sous terre. Un phénomène qu’ils ont appelé “bimodalité”.
La chaleur accablante de l’été 2025 n’épargne personne, pas même ceux qu’on pensait invincibles : les jeunes. […] Traditionnellement, la chaleur extrême était l’ennemi juré des seniors et des nourrissons. Pourtant, les chiffres de cet été marquent un tournant. Les urgences voient arriver une nouvelle vague de patients : des adolescents, des jeunes adultes, parfois même des étudiants sportifs pourtant bien entraînés. […] Selon les données les plus récentes, l’été 2025 a enregistré une forte augmentation des passages aux urgences chez les jeunes pour des symptômes liés à la canicule. Vomissements, pertes de connaissance, déshydratation aiguë… la liste des complications s’allonge et s’intensifie d’année en année.
Quand on cherche à limiter notre exposition au plastique, on se tourne souvent vers les bouteilles en verre, perçues comme plus « pures » et plus respectueuses de l’environnement. Pourtant, une étude récente menée par le Laboratoire de sécurité des aliments de l’Anses, à Boulogne-sur-Mer, remet cette idée reçue en question. Selon leurs résultats, certaines boissons vendues dans des bouteilles en verre seraient plus contaminées par des microplastiques que leurs équivalents en plastique ou en canette. Une découverte étonnante qui soulève de nouvelles questions sur l’origine de ces particules et la façon dont elles se retrouvent dans nos verres.