Uniquement les Articles de la décennie 2020
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Trois réseaux de transport de gaz en Espagne et en France ont annoncé jeudi la création d'une société commune franco-espagnole, BarMar, qui pilotera la construction du futur pipeline maritime devant acheminer de l'hydrogène entre Barcelone et Marseille. Cette infrastructure s'inscrira dans le cadre du projet européen plus vaste H2Med, visant à relier les réseaux d'hydrogène de la péninsule ibérique à l'Allemagne et au nord-ouest de l'Europe "pour approvisionner le continent en hydrogène vert abordable", précise H2Med sur son site internet.
Près du village de Valderoure, un projet d’installation de panneaux photovoltaïques porté par Engie créerait un risque pour la ressource en eau d’une dizaine de communes, selon des citoyens, élus locaux et scientifiques. La totalité des participants à l’enquête publique achevée ce jeudi 3 juillet se dit contre.
La troisième Conférence des Nations unies sur l'Océan (UNOC) se termine ce vendredi à Nice. Il y a été rappelé à cette occasion l'urgence de réduire la dépendance du transport maritime aux énergies fossiles. En avril 2025, l'OMI (Organisation maritime internationale) a précisément adopté une réglementation « zéro émission nette » pour le transport maritime mondial qui prévoit entre autres la mise en place d'une tarification carbone pour le secteur(1).
En Arctique, un territoire qui se réchauffe quatre fois plus vite que n'importe quelle autre région de la planète, les glaces fondent à vue d'œil, ouvrant de nouvelles routes maritimes et allongeant les périodes de navigation. Une perspective perçue par certains pays comme une grande opportunité économique mais qui risque d'aggraver encore plus la crise climatique.
La Marine israélienne est prête à "protéger l'espace maritime" contre un bateau parti dimanche d'Italie avec le but affiché de livrer de l'aide humanitaire à Gaza, a déclaré mardi le général de brigade Effie Defrin, porte-parole de l'armée israélienne.
En cette année de la mer et dans la perspective de la troisième conférence des Nations unies sur l’océan, Aurore Morin et Fanny Pointet, membres des ONG IFAW et Transport & Environment, rappellent, dans une tribune au « Monde », les importantes conséquences environnementales du transport maritime. Ralentir les navires constitue, selon elles, un levier stratégique.
Envisagée comme une cause majeure de la hausse des températures en 2023 et 2024, la diminution des particules libérées par les navires n’a pas joué un rôle crucial. Pour le climatologue Christophe Cassou, une étude récente clarifie ce débat.
Une jeune coopérative française se prépare à révolutionner le secteur maritime avec un porte-conteneurs à voile propulsé par l’énergie éolienne. L’un des objectifs est de contribuer à réduire l’empreinte carbone du transport maritime, un secteur responsable de près de 3% des émissions mondiales de CO2.
Après avoir répété pendant des mois sa volonté de prendre le contrôle du canal de Panama, Donald Trump vise désormais le canal de Suez, autre voie de transport stratégique du commerce mondial. Le président américain a demandé, samedi 26 avril, que le passage des navires américains sur ces deux canaux soit rendu gratuit.
Sur la base de données spatiales, la cour d’appel de Rouen a condamné, vendredi 25 avril, le capitaine et l’armateur du «MT Guardians» à d’importantes amendes pour avoir rejeté illégalement des résidus d’huiles végétales dans la baie de Seine en janvier 2021.
Les navires les plus polluants devront désormais payer des pénalités carbone. Ce système, conclu entre les États de l’Organisation maritime internationale, est jugé trop peu ambitieux.
81 mètres de long, 15 de large, 63 de haut... Livré en août 2024, le voilier géant Artémis est, avec son sistership Anemos, l'un des plus grands cargos au monde propulsé principalement à l'énergie éolienne. D'une capacité de transport de 1.090 tonnes de marchandises, ses énormes voiles (2.100 m2) n'en sont pas moins "très maniables et très modulables" grâce à une unité hydraulique, explique Camille Roubinowitz, matelote de 30 ans. Grâce à la force du vent, Towt estime réduire ainsi de 95% les émissions de CO2 du transport maritime. Et depuis l'été dernier, la compagnie dit avoir évité 300 tonnes d'émission de gaz à effet de serre sur les produits qu'elle a transportés (champagne, vin, café, thé, boxes Internet, etc.).
Les Etats membres de l'Organisation maritime internationale (OMI), une agence de l'ONU, se sont prononcés vendredi à Londres en faveur d'un système mondial de tarification du carbone, jugé toutefois pas assez ambitieux par les pays insulaires du Pacifique.
Les Etats membres de l’Organisation maritime internationale ont approuvé pour la première fois un système mondial de tarification du carbone pour les navires de fret. Des mesures trop partielles pour atteindre la neutralité carbone en 2050, selon certains Etats et les ONG.
La délégation ukrainienne proposera une "trêve dans les airs" et "en mer" avec la Russie lors des négociations avec les États-Unis mardi en Arabie Saoudite, a indiqué lundi à l'AFP un haut responsable ukrainien.
Novethic décortique les motivations qui poussent Donald Trump à convoiter cette voie maritime fragilisée par le changement climatique. ... Alors que cette voie maritime est régulièrement victime de la sécheresse, le président des États-Unis sera-t-il contraint, en lui mettant la main dessus, d'ouvrir les yeux sur le changement climatique et ses répercussions ?
Un armateur norvégien a annoncé avoir modifié un de ses navires pour en faire "le premier au monde" doté à bord d'un système de captage et de stockage du CO2 à grande échelle afin de réduire ses émissions.Alimenté au fioul lourd, un carburant décrié pour ses émissions élevées de soufre, particules fines et dioxyde de carbone, le Clipper Eris devrait voir ses rejets de gaz à effet de serre (GES) réduits de jusqu'à 70%, a indiqué son propriétaire, le groupe Solvang.
Les cétacés sont menacés par des collisions dues au trafic maritime, pourtant des solutions existent
(02/12) - Olivier AdamUne étude publiée dans le magazine Science propose un outil pour prédire les zones où le risque de collision entre navires et cétacés est le plus important.
L'armateur CMA CGM et le géant de l'eau et des déchets Suez ont annoncé mardi un accord qui vise à produire du biométhane pour propulser les navires du groupe de transport maritime et lui permettre de décarboner sa flotte.Ce protocole d'accord prévoit la production par Suez de biométhane, "jusqu'à 100.000 tonnes par an d'ici 2030", indiquent les deux partenaires dans un communiqué commun.Afin de financer ce programme, l'accord prévoit "la création d'une structure d'investissement commune, dotée d'une enveloppe de 100 millions d'euros pour une première tranche d'ici 2030".
La principale organisation commerciale du transport maritime de marchandises a évalué le nombre de conteneurs tombés à la mer depuis 15 ans.