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Le président Vladimir Poutine a affirmé mercredi qu'il envisageait de reprendre les essais nucléaires russes si les États-Unis faisaient de même. Cette déclaration intervient après des propos de son homologue américain Donald Trump qui a ordonné au Pentagone de "commencer à tester" les armes nucléaires américaines.
Le président russe envisage de reprendre les essais nucléaires.
L’annonce surprise jeudi du président américain, qui veut reprendre les essais d’armes nucléaires, continue vendredi de susciter inquiétude et protestations dans le monde entier, sans que soit éclairci le sens de ses déclarations.
Le président américain Donald Trump a déclaré jeudi, juste avant sa rencontre avec son homologue chinois Xi Jinping, avoir demandé au département de la Défense de reprendre immédiatement les essais des armes nucléaires américaines sur un pied d'égalité avec les autres puissances nucléaires mondiales.
Le gouvernement américain va investir au moins 80 milliards de dollars dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels en vertu d'un partenariat annoncé mardi avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. C'est une nouvelle étape majeure du rebond du nucléaire aux Etats-Unis, en partie initié par les géants du secteur technologique aux besoins croissants en électricité pour alimenter leurs centres de données (data centers), notamment pour l'intelligence artificielle (IA).
Le gouvernement américain va investir au moins 80 milliards de dollars dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels en vertu d'un partenariat annoncé mardi avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. C'est une nouvelle étape majeure du rebond du nucléaire aux Etats-Unis, en partie initié par les géants du secteur technologique aux besoins croissants en électricité pour alimenter leurs centres de données (data centers), notamment pour l'intelligence artificielle (IA).
En cause : deux sous-marins nucléaires russes qui ont coulé il y a déjà longtemps mais qui alarment aujourd'hui les experts.
L'Autorité environnementale relève des zones d'ombres concernant l'impact sanitaire, environnemental ainsi que la sûreté du chantier et de l'exploitation de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 par EDF à Penly (Seine-Maritime), dans un rapport publié début octobre. Cette instance indépendante a pour mission de rendre des avis sur les conséquences pour la santé et l'environnement de grands chantiers comme des infrastructures routières ou énergétiques. Concernant le projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Penly, elle a identifié plusieurs sujets "avec des implications possibles pour le milieu et la santé humaine" que le maître d'ouvrage EDF doit "approfondir".
Depuis le 16 juillet 1945 dans le désert du Nouveau-Mexique, notre planète a tremblé sous l’impact d’au moins 2056 explosions nucléaires. Un chiffre glaçant qui révèle l’ampleur d’une contamination planétaire orchestrée pendant des décennies par les grandes puissances mondiales. Entre course aux armements et expérimentations secrètes, ces tests ont libéré dans notre environnement des quantités monumentales de radiations, dont les conséquences se font encore sentir aujourd’hui. Derrière ces statistiques se cache une réalité troublante : l’humanité a délibérément transformé sa propre planète en laboratoire nucléaire géant.
L'Iran a décidé de retirer à la dernière minute jeudi soir une résolution appelant à l'interdiction de toute attaque contre des installations nucléaires, faisant état de pressions américaines. […] Sa motion, introduite lors de l'assemblée générale annuelle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), était soutenue par la Chine, la Russie, le Bélarus, le Nicaragua, le Venezuela et le Zimbabwe. Les membres de l'AIEA ont dit aux représentants iraniens "subir de fortes pressions et intimidations de la part des États-Unis pour ne pas voter en faveur de la résolution", a affirmé à l'AFP l'ambassadeur iranien à Vienne, Reza Najafi.
Londres et Washington vont signer un accord pour accélérer les délais d'autorisation et de validation des projets nucléaires entre les deux pays pendant la visite de Donald Trump cette semaine au Royaume-Uni, a annoncé lundi le gouvernement britannique. Cet accord "permettra aux entreprises de construire plus vite de nouvelles centrales nucléaires, par exemple en réduisant la durée moyenne d'obtention d'une licence de trois ou quatre ans à environ deux", est-il expliqué dans le communiqué.
Mini-réacteurs nucléaires: l'Europe a besoin de milliards pour rattraper le retard, selon un rapport
(09/09) - Afp,La France et l'Europe accusent un retard dans la course aux mini-réacteurs nucléaires qui pourrait être rattrapé à condition de consacrer des investissements massifs de l'ordre "du milliard d'euros" par projet pour construire les premiers prototypes, selon un rapport d'experts français. A l'heure où le nucléaire connaît un regain d'intérêt pour répondre aux défis climatiques et de souveraineté énergétique, les SMR (small modular reactors) et les AMR (advanced modular reactors) se positionnent comme des alternatives de proximité pour fournir de l'électricité décarbonée et/ou de la chaleur aux industries (verre, chimie, acier...) aujourd'hui très dépendantes des énergies fossiles.
L'énergéticien français EDF, qui exploite les cinq centrales nucléaires actuellement en activité au Royaume-Uni, a annoncé mardi prolonger la durée de vie de deux d'entre elles, assurant que cela "contribuera à la sécurité énergétique" du pays. Deux autres centrales prolongées en décembre dernier "Prolonger la durée de vie de ces centrales (...) permettra de garantir l'emploi plus longtemps à plus de 1 000 personnes qui y travaillent et de soutenir les ambitions du Royaume-Uni de disposer d'un approvisionnement en électricité propre et sûr", a fait valoir dans un communiqué le directeur des opérations nucléaires d'EDF au Royaume-Uni, Mark Hartley.
Les déchets nucléaires issus des réacteurs à fission pourraient être transformés en tritium, un isotope rare de l’hydrogène utilisé par les réacteurs à fusion, selon un chercheur. Alors que la mise à l’échelle commerciale de la fusion nucléaire est freinée en partie par les coûts élevés liés à la production de tritium, cette stratégie en faciliterait l’accès tout en valorisant des sous-produits radioactifs de la fission.
L’amiral Bernard Rogel, ancien chef de l’état-major particulier du président de la République, analyse la déclaration commune de Londres et Paris du 10 juillet, premier pas vers une nouvelle architecture de défense européenne sans les Etats-Unis.
Le président américain a affirmé, vendredi, réagir aux déclarations de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, alors qu’il tente, sans succès pour l’instant, de faire venir Vladimir Poutine à la table des négociations sur l’Ukraine. […] Donald Trump a annoncé, vendredi 1er août, le déploiement de deux sous-marins nucléaires face à la Russie.
Des propos tenus ce jeudi par l'ancien président russe auraient poussé Donald Trump à ordonner le positionnement de deux sous-marins nucléaires dans des "zones appropriées".
Le président américain n’a pas précisé où exactement les submersibles seraient envoyés. Il n’a pas non plus expliqué à quels propos de l’ancien président russe Dmitri Medvedev il réagissait. […] Donald Trump a « ordonné », vendredi 1er août, le déploiement de « deux sous-marins nucléaires » dans des « zones appropriées » après des commentaires « provocateurs » et « incendiaires » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev.
Dans un message récent sur X, l’ancien président russe Dmitri Medvedev avait écrit que chaque nouvel ultimatum fixé par Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine «était une menace et un pas vers la guerre» avec les Etats-Unis. […] Donald Trump a annoncé vendredi sur son réseau Truth Social avoir ordonné que «deux sous-marins nucléaires soient positionnés dans les zones appropriées» après des commentaires «provocateurs» de l’ancien président russe Dmitri Medvedev.
A l’occasion de la visite d’Etat d’Emmanuel Macron à Londres, les deux puissances atomiques d’Europe créent un groupe de pilotage conjoint, ouvrant clairement la voie à la planification d’opérations en commun. L’objectif affiché est de dissuader Moscou de toute escalade.
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