La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
Depuis le 22 mai, plus un jour ne se passe sans qu'il ne soit question de ce document sur les incidences économiques de l'action pour le climat. Il reste maintenant à agir.
Depuis ses débuts, elle fait l'objet de violentes attaques de la part de ceux qui n'en veulent pas comme de ceux qui en demandent davantage. Des progrès ont été faits, d'autres plus importants encore seraient à faire.
Le premier de ces objectifs est en effet un investissement de l'ordre d'un milliard d'euros pour encourager la recherche et le développement de réacteurs de type SMR (pour small modular reactors).
Le vert est à la mode, qu'il s'agisse de croissance ou de finance. Mais il y a un grand décalage entre les mots employés et la réalité. Cela pourrait changer s'il y avait une réelle volonté politique.
La production des principaux fournisseurs en pétrole de l'Union européenne risque d'amorcer un déclin irréversible. Cette menace devrait inciter les États à lutter avec plus de détermination contre le changement climatique.