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Elu il y a un an aux côtés de Donald Trump, le vice-président américain s’est imposé dans une fonction pourtant souvent ingrate, pourfendant l’immigration, plaçant la foi au cœur de son discours et prenant sa part dans la diplomatie. Il cherche à rendre incontournable sa candidature pour 2028 sans froisser le président.

Théologie de la prospérité, pensée hostile aux Lumières, antiwokisme, libertarisme techno-chrétien... Tour d’horizon des idéologies dont ceux qui comptent dans l’ère Trump II se réclament.

Le vice-président des Etats-Unis brandit son catholicisme comme un étendard, allant jusqu’à faire de sa foi une composante de la guerre culturelle lancée par l’administration Trump.

Lors d’une visite de quelques heures sur la base américaine de Pituffik, le vice-président américain a critiqué le Danemark et espéré que le Groenland deviendrait bientôt indépendant. [...] Cela semble devenir une habitude. Lorsque J. D. Vance voyage à l’étranger, il fait la leçon aux dirigeants locaux. [...] Il en a profité pour attaquer le Danemark, dont dépend cette région autonome, tout en écartant sa prise unilatérale par la force.

Le vice-président américain a manifesté une grande hostilité envers l’Europe lors des discussions sur le réseau Signal divulguées par The Atlantic, à l'origine d'un scandale politique aux États-Unis. Des propos qui reflètent à la fois une tendance profonde au sein de la mouvance trumpienne et les choix idéologiques et politiques de J.D. Vance, qui vise la Maison Blanche en 2029.

Le bras droit de Donald Trump fait savoir ce mardi 25 mars au soir qu’il accompagnera sa femme, Usha Vance, ainsi que plusieurs conseillers du président. Leur venue suscite la colère des autorités groenlandaises et danoises. États-Unis

J.D. Vance's keynote address at the second National Conservatism Conference, 11/02/21.

Analyse détaillée du discours prononcé par J. D. Vance à la Conférence sur la sécurité de Munich : un véritable brûlot antilibéral porté par une vision profondément imprégnée d’un catholicisme de droite radicale.

En déplacement officiel en Europe, le vice-président américain, J. D. Vance, a tenu à souligner que toutes les options étaient encore sur la table pour mettre la pression sur Moscou afin de mettre un terme à la guerre en Ukraine.