La biodiversité désigne la variété des formes de vie sur la Terre. Ce terme est composé du préfixe bio (du grec βίος / bíos, « vie ») et du mot « diversité ». Elle s’apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces et des gènes dans l’espace et dans le temps, ainsi que les interactions au sein de ces niveaux d’organisation et entre eux. Source : wikipedia
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Les Suisses ont massivement rejeté dimanche une initiative des écologistes, visant à inscrire dans la Constitution le respect des limites naturelles de la planète.
Concerns raised as $10bn Bezos Earth Fund halts funding for Science Based Targets initiative, which monitors companies’ decarbonisation
Des chercheurs ont mis au point une nouvelle variété de riz à haut rendement qui réduit de 70 % les émissions de méthane. Elle a été créée sans OGM, par simple croisement sélectif.
Le réchauffement climatique et la pollution seraient à l’origine du déclin massif des récoltes en Galice, l’une des plus grandes régions productrices de moules. En 2023, la baisse a particulièrement touché les coques et les palourdes.
The only publication for climate action, covering the environment, biodiversity, net zero, renewable energy and regenerative approaches. It’s time for The New Climate.
La superficie végétale détruite par des incendies au Brésil a augmenté de 79% en 2024 à 30,8 millions d'hectares, supérieure à celle de l'Italie, selon un rapport de la plateforme de surveillance MapBiomas publié mercredi.
Le Japon est aujourd’hui confronté à un problème très particulier de sécurité publique et qui prend de plus en plus d’ampleur. Un animal pose de plus en plus de soucis et cette fois, il ne s’agit pas des baleines, bien connues dans l’archipel, mais d’ours. Ces animaux s’en prennent de plus en plus aux humains. Les autorités nippones ont donc décidé d’assouplir la réglementation relative à l’abattage de ces plantigrades.
Comment s'engager politiquement dans cette ère de destruction inouïe ? Le philosophe québécois Alain Deneault évoque l'écoangoisse qui nous saisit, et comment réorienter cette énergie vers l'action. Une piste ? Les biorégions.
The abrupt loss of many species from a system is generally attributed to a breakdown in ecological functioning. As species are sequentially knocked out, the whole community becomes unstable, and it all comes crashing down. Another mechanism that may be at play. My colleagues and I argue that despite the fact life on Earth displays such great variety, many species that live together appear to share remarkably similar thermal limits. That is to say, individuals of different species can tolerate temperatures up to similar points.
L'année 2025 s'annonce décisive pour les sujets climat et biodiversité. La COP30 sur le climat qui se tiendra au Brésil coïncidera avec les dix ans de l'Accord de Paris. Les pays devront revoir leurs engagements à la hausse. En 2025, la COP16 Biodiversité devra aussi s'achever sur un accord, tandis que des conférences se tiendront sur les océans et le financement du développement.
Nos gouvernements régionaux et fédéral mettent en place une politique d'austérité non prospective. Dans notre contexte de poly-crises, le temps n'est plus à l'esprit comptable. Nous avons besoin de responsables politiques stratèges et visionnaires !
In 2024, global average temperatures breached the critical threshold of 1.5°C above pre-industrial levels — a tipping point long warned about by scientists. Instead of catalyzing swift global action, this milestone has only underscored a grim reality: the collapse of our global ecological and economic systems is not a distant possibility — it is unfolding before us. Climate change, combined with the many other dimensions of the polycrisis — resource depletion, biodiversity loss, political instability, and economic inequities — has created a perfect storm. This storm is not just brewing; it’s here.
LIMIT | Parlons des limites planétaires
Dix ans après la découverte de milliers d’oiseaux marins morts sur les plages du Pacifique Nord, des biologistes révèlent l’origine de cette extinction de masse, la plus importante jamais observée.
Nos modes de consommation et d'alimentation causent des crises "interconnectées" pour la biodiversité, le climat et la santé, menaçant la survie d'écosystèmes essentiels comme les coraux, alertent des experts du monde entier dans un rapport de référence.
..C’est une crise des vivants : sous la forme de la sixième extinction des espèces, comme de la fragilisation des dynamiques écologiques par le changement climatique, et de la réduction des potentiels d’évolution de la biosphère. Mais c’est aussi une crise d’autre chose, de plus discret, et peut-être plus fondamental. Ce point aveugle (c’est l’hypothèse de travail), c’est que cette crise actuelle, plus qu’une crise des sociétés humaines d’un côté, plus qu’une crise des vivants de l’autre, est une crise de nos relations au vivant.
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
Un rapport scientifique international estime à 25 000 milliards de dollars le manque à gagner pour la planète du fait de l’absence de lutte commune contre les crises environnementale, climatique et sanitaire. S’attaquer séparément à la perte de la biodiversité ou au réchauffement ne fait qu’aggraver les problèmes, explique-t-il.
Selon une étude récente, l’année 2023 a été synonyme d’une baisse importante de l’absorption de carbone par les forêts et les sols. Mais quelles sont les conséquences de cet effondrement sur le réchauffement climatique ?
L'IPBES, le Giec de la biodiversité, vient de publier deux rapports majeurs ces mardi 17 et mercredi 18 décembre. Le premier montre la nécessité de traiter les différents sujets ensemble - changement climatique, biodiversité, santé, eau et alimentation, pour une action efficace. Le second s'intéresse aux obstacles à l'action et appelle à un "changement transformateur" de nos points de vue, nos structures et nos pratiques.