Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia
COPERNICUS – Mises à jour
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Dans le World Energy Outlook 2025 de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) rendu public ce 12 novembre(1), le « Current Policies Scenario » (CPS), tombé en disgrâce en 2019, refait surface. Ce scénario suppose la pleine application des « politiques et régulations déjà en place ». C’est un scénario de triomphe de l’Amérique trumpienne : le pétrole et le gaz dominent encore le système énergétique en 2050 ; les émissions de CO2 diminuent à peine d’ici 2050 ; la température mondiale n’est pas stabilisée avant la fin du siècle.
Le rapport annuel du Programme des Nations unies pour l’environnement vient de tomber avec une révélation que personne ne souhaite entendre : quand bien même l’intégralité des engagements climatiques seraient honorés à la lettre, l’objectif phare de l’accord de Paris sera pulvérisé avant 2035. Cette projection n’émane pas de militants écologistes alarmistes, mais d’une analyse rigoureuse menée par des dizaines de scientifiques mandatés par l’ONU. Les chiffres sont sans appel et redessinent brutalement notre avenir climatique.
Les engagements des pays en matière de climat dirigent le monde vers un réchauffement de 2,5 °C, très au-delà de ce que vise l'accord de Paris, a alerté mardi l'ONU, à deux jours de l'arrivée des dirigeants mondiaux dans la ville amazonienne de Belém pour la COP30.
Les plans climat élaborés par les pays signataires de l'accord de Paris conduisent la planète vers un réchauffement de 2,3 à 2,5°C d'ici la fin du siècle, avertit le Programme des Nations unies pour l'environnement (Pnue) dans un nouveau rapport publié mardi, à quelques jours de l'ouverture de la COP30, à Belém, au Brésil.
La poursuite des politiques actuellement en place conduit la planète vers une hausse des températures mondiales de 2,8 °C d’ici à la fin du siècle, selon le Programme des Nations unies pour l’environnement.
L’ONU a publié ce mardi 4 novembre sa nouvelle la trajectoire climatique mondiale pour ce siècle actualisée avec les nouveaux engagements des pays : il y a un léger mieux par rapport à l’an dernier, mais encore bien loin d’être suffisant.
À deux jours de l'arrivée des dirigeants mondiaux à Belem pour la COP30, le bilan est tombé : les engagements des pays dirigent le monde vers un réchauffement de 2,5°C, très au-delà de ce que vise l'accord de Paris, alerte l'ONU mardi. Si les feuilles de route sont respectées… Le réchauffement est attendu entre 2,3°C et 2,5°C au cours de ce siècle, qui plus est si les feuilles de route climatiques des pays sont intégralement mises en œuvre, selon les calculs de l'ONU Environnement (PNUE) publiés avant la 30e conférence sur le climat des Nations unies dans la ville amazonienne de Belem, au Brésil.
À quelques jours du sommet mondial (COP30) sur le climat, l’ONU révèle que les derniers engagements climatiques des États réduisent seulement légèrement les projections de réchauffement mondial d’ici à 2100. Pourtant, les outils existent pour faire mieux.
The 2024 ‘State of the climate’ report says climate scientists are more worried than ever and calls for ‘transformative science-based solutions across all aspects of society.’
A deux semaines de la COP29, l'ONU sonne une nouvelle fois l'alarme: les engagements climatiques actuels des pays ne sont pas du tout sur la bonne voie pour contenir le réchauffement à 1,5°C et ainsi éviter les conséquences les plus catastrophiques. Ces engagements mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à la limite la plus ambitieuse de l'accord de Paris, a alerté lundi l'ONU Climat dans un rapport mis à jour chaque année.
L'ONU a tiré l'alarme lundi sur la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre, à deux semaines de l'ouverture de la COP29. Ces engagements mènent à seulement 2,6 % de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43 % préconisés.
Le Haut conseil pour le climat (HCC), organe consultatif mis en place par Emmanuel Macron, vient de publier son désormais traditionnel rapport annuel. Celui-ci passe au crible l'action du gouvernement en matière climatique. Et encore une fois, la trajectoire n'est pas la bonne, aucun secteur n'est sur la bonne voie. Alors que l'année record de 2022 est appelée à devenir la norme, la France ne se prépare pas suffisamment aux conséquences de la crise climatique, alerte le HCC.
À l’occasion de la sortie de la série-documentaire “Un Monde Nouveau” de Cyril Dion et Thierry Robert sur Arte.tv, le climatologue Chirstophe Cassou revient les scénarios du réchauffement climatique.
Les effets du changement climatique sont nombreux et leur multiplication ainsi que leurs conséquences désastreuses sur nos modes de vies, nos aménagements et notre économie suivent une trajectoire aléatoire mais crescendo. Jean-Marc Jancovici, le Réveilleur et François Gémène nous montrent des exemples et nous expliquent leur logique d'apparition. Tout ça avec un p'tit brin d'humour à la VDB
Pour atteindre l'objectif climatique porté par l'Accord de Paris, l'humanité doit décroître sa production de pétrole et de gaz de 3 % par an d'ici 2050. Cela signifie qu'il est nécessaire de laisser sous terre plus de la moitié de ces réserves de pétrole et 90 % des réserves de charbon, indique une étude parue dans la revue Nature début septembre. Mais le monde est sur la trajectoire inverse.
Combinées aux effets des pressions non climatiques sur les milieux, ces conséquences expliquent que nombre d’espèces et d’écosystèmes devront faire face à de hauts niveaux d’impacts, même dans le cas d’un réchauffement atmosphérique global limité à +2 °C. Tous les systèmes humains seront concernés au cours de ce siècle, tout simplement car il n’existe pas de société ni d’économie qui ne dépende plus ou moins directement des conditions environnementales terrestres ou marines.
Que peut-on affirmer (et ne pas affirmer) sur les liens entre énergie et PIB ? La question est aiguë aujourd’hui car nous sommes face à de nombreux défis et de nombreuses interrogations.

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