Le rapport Meadows

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Fin des années 60, le Club de Rome commande une étude sur la viabilité de la croissance économique. Cette étude sera publiée en 1972 sous le titre « The limits to growth » (« Les limites à la croissance » en français) ou « Rapport Meadows ».

Voici nos références avec le mot-clef « Meadows » :

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2020

Que l’on nous nomme collapsologues ou autrement, nous – femmes et hommes particulièrement attentifs aux signaux systémiques – sommes confrontés à une réalité qui dépasse l’appréciation inquiète que nous pouvions en avoir il y a cinq ans à peine. L’emballement tant redouté se matérialise sous nos yeux.
Les passagers dorment. Dépassées la périphérie, la zone industrielle, l’insipide autoroute. La départementale serpente sous un soleil d’automne. La brume matinale se dissipe. On accélère...
Pour Joseph Tainter, théoricien de l’effondrement, la théorie du conflit problématise l’État comme institution coercitive de la domination et de l’exploitation. La théorie de l’intégration en fait une solution: l’institution consensuelle des intérêts sociaux partagés. Dépassant ces visions limitées, le philosophe Michel Foucault rejette l’idée d’État comme trop abstraite etse concentre sur les modes d’exercice pratiques du pouvoir, la gouvernementalité. ...
‘The political economy of Degrowth’. Timothée Parrique, docteur en économie et spécialiste de la décroissance, y propose un nouveau projet de société. Il y analyse non seulement les limites de notre modèle actuel, mais fait ce qu’il y a de plus difficile à faire : proposer....
On parle de l'extrême complexité technique de notre monde, de la grande difficulté à développer la résilience, et de l’éternel débat entre lanceurs d’alerte écolo et cornucopiens techno-béats.
Dans sa chronique, la sociologue Dominique Meda avertit que la pandémie de Covid-19 doit être comprise non pas comme une catastrophe naturelle dont il faudrait juste éviter qu’elle ne se reproduise, mais comme un coup de semonce exigeant une bifurcation radicale.

2019

rendre soin des arbres, c’est s’ouvrir à d'autres chemins de compréhension des mondes et à de nouvelles coexistences entre nature et culture.
La période 2020 – 2050 sera la plus bouleversante qu'aura jamais vécu l'humanité en si peu de temps. L'effondrement de notre civilisation industrielle s'y produira à l'échelle mondiale, probablement dans les années 2020, certainement dans les années 2030. L'ouvrage examine les origines écologiques, économiques, financières et politiques de cet effondrement et, surtout, leurs relations systémiques.
la collapsologie n'est pas une croyance, ni un postulat, mais une démarche qui vise à renforcer la résilience de nos sociétés dans un contexte marqué par l'instabilité, l’interdépendance et l'imprévisibilité, ainsi que par un renforcement substantiel des crises, notamment liés au changement climatique.....
Trois membres de l’Institut Momentum appellent à assumer l’effondrement systémique global qui vient pour préparer l’avènement d’une société « résiliente ».
Extrait de la conférence qui a eu lieu le 17 janvier 2019 à Sciences Po Lille, organisée par Virage énergie (http://www.virage-energie-npdc.org/) et la Maison Régionale de l’Environnement et des Solidarités (MRES : https://mres-asso.org/). Avec Luc Semal : https://www.institutmomentum.org/auth...

2018

Le physicien américain juge que « notre mode de vie gourmand en biens matériels et en énergies fossiles n’est pas soutenable ».
La situation critique dans laquelle se trouve la planète n'est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d’autres s’amorcent, faisant grandir la possibilité d’un emballement global qui signifierait la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est cornélien : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des cataclysmes à venir, soit, pour en éviter certains, nous prenons un virage si serré qu’il déclencherait notre propre fin-du-monde-industriel.

2017

Aujourd’hui, l’accélération des crises environnementales, sociales et économiques permet de dégager une certitude : notre avenir n’est pas linéaire. Une hypothèse désormais réaliste est celle d’un effondrement systémique global dans les prochaines années. Sur base de cette hypothèse, par une approche globale et interdisciplinaire, ce document tente de modéliser un scénario de résiliences territoriales. Et de répondre à la question, tellement importante : « à quoi pourraient ressembler nos paysages, après l’effondrement du système industriel ? »

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