Vinz Kanté
L’ouverture de la Cop 28 et les élections belges de 2024 donnent du grain à moudre aux entrepreneurs qui veulent apporter une réponse concrète à la crise climatique. Rencontre avec le président de Kaya, la coalition belge des écopreneurs.
Des chercheurs et des entrepreneurs belges débattent de l’opportunité de créer un cadre légal instaurant, comme en France, le statut de “société à mission”. Marek Hudon, professeur à la Solvay Brussels School (ULB), en est un fervent défenseur. Mais pas à n’importe quelles conditions.
La semaine a été marquée par des décisions et des prises de position tranchées à l’égard de l’intelligence artificielle et, en particulier, de celle développée par OpenAI.
L’experte française, qui prendra part ce jeudi à la Semaine européenne de l’intelligence artificielle, souligne la nécessité d’encadrer les nouveaux systèmes d’IA, à la fois puissants et opaques.
Mieke De Ketelaere, experte belge en intelligence artificielle, commente le suicide récent d’un jeune Belge confronté à un agent conversationnel qui n’a rien fait pour l’en dissuader. Elle dénonce l’absence totale de transparence et de responsabilité de ces technologies manipulatrices.
L’intelligence artificielle (IA) a fait une entrée tonitruante, le 30 novembre, dans le quotidien de dizaines de millions d’individus. On le doit à la start-up californienne OpenAI et à son logiciel ChatGPT, un modèle de traitement du langage surpuissant capable de générer des textes en réponse à une requête, d’écrire du code informatique, de dialoguer, … ChatGPT a atteint 100 millions d’utilisateurs en deux mois. Jamais une technologie n’avait enregistré un tel succès dans un délai aussi court.
Laurent Lievens, professeur à l'UCLouvain, condamne le modèle des "business school" actuelles.
Tapio, fondée à Bruxelles en 2019, figure parmi les start-up climate tech pionnières en Europe. "Dans les appels d'offres européens, nous revenons systématiquement dans les 5 ou 6 sociétés retenues pour déposer une offre", explique Nathan Clarke, cofondateur et CEO de Tapio (nom qui, pour la petite histoire, fait référence à une divinité protectrice de la forêt dans la mythologie finnoise).
Le projet initié par David Schmitz vise à sécuriser la blockchain grâce à la protection légale d’officiers judiciaires. Il bénéficie du soutien financier du fonds WING by Digital Wallonia.