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Vinz Kanté



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Les quantités de HCFC, des substances destructrices de la couche d’ozone ayant une capacité de réchauffement 2 000 fois supérieure à celle du CO₂, sont en train de diminuer dans l’atmosphère. Une bonne nouvelle pour la couche d’ozone et pour le climat.
Les engagements internationaux pour protéger la couche d'ozone portent leurs fruits alors que les concentrations dans l'atmosphère d'une famille de gaz nocifs, les HCFC, ont commencé à décliner plus vite que prévu, selon une étude publiée mardi.
Grâce aux engagements internationaux, les hydrochlorofluorocarbures (HCFC), ces gaz climaticides utilisés dans les systèmes de réfrigération, de climatisation et les aérosols, sont en baisse, selon une étude publiée ce mardi.
L'ozone (O3) reste l'un des seuls polluants de l'air dont la concentration continue de croître. Et plus les émissions de gaz à effet de serre et la température planétaire en feront de même, plus cette variété instable de l'oxygène, à double tranchant, sera présente dans l'atmosphère. Cette logique, admise depuis longtemps, a été quantifiée pour l'une des premières fois dans une étude (1) publiée, le 2 juin, dans la revue Earth's Future. Quatre chercheurs américains et canadiens ont modélisé l'augmentation de l'O3 aux basses altitudes à l'horizon 2050 en fonction des projections du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec).
Au début du mois dernier, le vortex polaire arctique — une masse d’air froid circulant au-dessus du pôle — a complètement inversé sa trajectoire.
In 1987, the Montreal Protocol established a ban on substances responsible for destroying the ozone layer, which is essential for protection against the sun’s rays.
Une nouvelle étude réfute les évaluations précédentes et largement acceptées concernant l'état de la couche d'ozone (qui montraient qu'elle reviendrait à ses niveaux des années 1980 dès 2040).
En dépit de la diminution des chlorofluorocarbones, le trou au-dessus de l’Antarctique n’a pas encore été réduit de manière significative, selon une étude publiée mardi dans « Nature Communications ».
Depuis le début des relevés d’observations dans les années 1970, le trou présent dans la couche d’ozone n’a jamais été aussi important. Un résultat étonnant, car les dernières prédictions se montraient optimistes.
Le trou de cette année dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique est l'un des plus grands jamais observés.
Signé il y a plus de trente ans, le protocole de Montréal a permis de préserver la couche d’ozone mais aussi de retarder un peu le réchauffement climatique. Voilà qui montre à quel point le respect des accords internationaux peut être fructueux.
Depuis quelques jours, la France connaît un épisode de pollution aux particules fines. La physicienne de l’atmosphère Cathy Clerbaux explique les différentes pollutions de l'air et leur lien avec le réchauffement climatique.
Le trou dans la couche d'ozone devrait se résorber d'ici quarante ans au-dessus de l’Antarctique, et dès 2040 dans le reste du monde. Il avait été créé par la pollution humaine, particulièrement les chlorofluorocarbures (CFC) autrefois émis par de nombreux réfrigérateurs. Mais un protocole international a permis leur élimination. Une victoire qu’on pourrait répliquer au climat ? Réponse avec Sophie Godin-Beekmann, directrice de recherche au CNRS et présidente de la Commission internationale sur l’ozone.
Menacée par la pollution humaine, la couche d’ozone est désormais «en bonne voie» pour se reconstituer, grâce à l’interdiction des substances qui la menaçaient. Mais de nouveaux projets de géo-ingénierie pourraient à la mettre en danger.
Le trou de la couche d’ozone pourrait se résorber d’ici à quatre décennies, mais de potentiels projets de géoingénierie solaire destinés à limiter le réchauffement climatique pourraient avoir des effets indésirables, ont mis en garde des scientifiques lundi.
La couche d’ozone devrait se reconstituer dans les quatre décennies à venir et l’élimination progressive à l’échelle mondiale des substances chimiques nocives pour l’ozone contribue déjà à l’atténuation du changement climatique. Telle est la conclusion d’un groupe d’experts parrainé par les Nations Unies, présentée aujourd’hui lors de la 103e réunion annuelle de l’American Meteorological Society. Après s’être penché pour la première fois sur les technologies innovantes telles que la géo‑ingénierie, le groupe d’experts met aussi en garde contre les effets indésirables que ces dernières pourraient avoir sur la couche d’ozone.
Selon les données de la Nasa et de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, le trou dans la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique a continué à se réduire.
Les multiples incendies de forêt qui sévissent en France depuis le début de l'été ont déjà libéré des quantités records de dioxyde de carbone dans l'atmosphère, selon des données satellitaires. Favorisés par le réchauffement climatique, ces feux renforcent eux aussi l’effet de serre en relâchant notamment du CO2 tout en diminuant le nombre d’arbres disponibles pour absorber le carbone.
Les scientifiques du service Copernicus pour le changement climatique (CAMS) tirent la sonnette d'alarme mardi sur les taux alarmants de pollution par l'ozone de surface dans une grande partie de l'Europe, en conséquence directe de la hausse exceptionnelle des températures et de l'épisode de canicule en cours, selon un communiqué du programme d'observation Copernicus. Les niveaux très élevés de pollution à l'ozone dans le sud de l'Europe, causés par la canicule, pourraient maintenant affecter les régions du nord-ouest au cours des prochains jours.
Pour la première fois, des travaux ont démontré un lien de cause à effet entre la présence d’un déficit en ozone au-dessus du pôle nord et la survenue de certaines anomalies météorologiques à l’échelle de l’hémisphère. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Geoscience ce 7 juillet.
Le réchauffement climatique engendre des conséquences catastrophiques pour notre planète. Si bien que l'un des plus grands glaciers au monde menace de commencer à disparaître d'ici 2030. Avec sa disparition, le niveau des mers et des océans augmenterait de plus de 3 mètres.
Une étude revient sur la réaction en chaîne qui a provoqué ce trou dans la couche d'ozone au-dessus du Pôle Nord. Les auteurs suggèrent que cela pourrait se reproduire.
À l’occasion de la Journée internationale pour la préservation de la couche d’ozone, les scientifiques du Service Copernicus pour la surveillance de l’atmosphère (CAMS) font un premier point sur le trou stratosphérique qui apparaît chaque année au printemps austral et sur la couche d’ozone qui protège la Terre des propriétés nocives des rayons du soleil.
Cet accord, signé en 1987, a permis d’éviter une augmentation de la température de 2,5 °C. Une réussite en termes de négociations internationales environnementales.
CFC chemicals once used in refrigerators would have driven 2.5C of extra warming by 2100 if they had not been outlawed, researchers claim
De bescherming van de ozonlaag heeft een doemscenario vermeden. Als de internationale gemeenschap eind jaren tachtig niet was overeengekomen om samen de ozonlaag te beschermen, zou de aarde volgens een nieuwe studie nog een pak sneller opwarmen dan nu.
Le protocole de Montréal qui, en 1987, a progressivement banni les gaz CFC, a permis de réduire l'augmentation des températures sur la planète, selon une récente étude publiée dans "Nature".
Plug gaps to measure ozone-destroying chemicals and greenhouse gases and verify compliance with Paris and Montreal treaties.
Malgré les efforts pour bannir les composés halogénés destructeurs de la couche d’ozone, cette dernière ne récupère pas aussi facilement qu’on aurait pu l’espérer. C’est en particulier vrai au niveau des pôles où l’on a observé un déficit boréal record au printemps 2020. De récents travaux montrent comment le changement climatique s’oppose au rétablissement de ce bouclier naturel en augmentant l’efficacité des réactions chimiques consommant l’ozone.
La combustion des satellites en fin de vie et des carburants des fusées pourrait engendrer un nouveau trou dans la couche d'ozone et bouleverser le climat mondial. En cause : la grande quantité d'aluminium contenue dans ces milliers de satellites.
Beaucoup de chercheurs posent sur la géoingénierie - l'idée d'intervenir à grande échelle sur le climat pour contrebalancer le réchauffement anthropique - un regard méfiant. Ils en craignent notamment les effets collatéraux non maîtrisés. Mais le philosophe Frédéric Neyrat va un peu plus loin encore. Selon lui, le recours à la géoingénierie ne fera qu'entretenir le désastre. Il nous explique sa pensée.
La diversité biologique est également essentielle pour le bon déroulement de notre société ; elle nous offre des moyens de subsistance (approvisionnement en nourriture, filtration de l’eau, production d’oxygène), des remèdes, des matières premières et autres. La biodiversité joue également un rôle essentiel dans le climat. En effet, il existe un lien très étroit entre le climat et la biodiversité.
Pour faire face à la crise climatique déjà largement enclenchée, un ensemble de mesures pourraient permettre de modifier artificiellement et à grande échelle le climat : il s’agit de la géo-ingénierie solaire. Alors que les émissions de gaz à effet de serre sont encore loin de baisser de manière suffisante pour atteindre les objectifs climatiques de l’Accord de Paris, et que les indicateurs du changement climatiques se font de plus en plus alarmants, le déploiement de ce type de méthodes de géo-ingénierie fait l’objet de discussions et débats. L’une de ces techniques consiste à modifier le rayonnement solaire par l’injection d’aérosols dans la stratosphère, dont le but est de faire baisser la température moyenne planétaire. Une technique à la fois potentiellement efficace, et très contestée, étant donné l’incertitude autour de ses bénéfices, les difficultés relatives à sa mise en œuvre mais surtout les nombreux risques qu’elle induit. Un article de Loïc Giaccone.
Si l’océan a jusqu’à présent absorbé une partie de nos émissions de chlorofluorocarbones (CFCs), la situation menace de s’inverser en seconde partie de siècle. Un phénomène jusqu’à présent ignoré qui demanderait de revoir l’horizon de réémission effective de la couche d’ozone. Les résultats sont publiés dans la revue PNAS ce 23 mars.
L’épaisseur de la couche d’ozone évolue plutôt dans le bon sens grâce à un accord international contraignant. Sauf que, les gaz HFC, dorénavant utilisés par l’industrie du froid car non destructeurs de l’ozone, ont un effet de serre très supérieur à celui du CO2.


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