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intelligence énergie
Dans cet échange entre Vinz et Théo, un ingénieur en IA et co-président de l'ONG Data for Good, on explore l'impact écologique et social de l'intelligence artificielle. Théo Alves Da Costa analyse l'explosion des données et des algorithmes et met en lumière les défis liés à la croissance exponentielle de l'IA, notamment en matière de consommation énergétique et de perte de compétences. Ils discutent de l'optimisation continue de notre société par les GAFAM, des questions éthiques et écologiques autour de l'IA, et de l'importance de réguler l'usage de ces technologies pour éviter un futur où la machine prendrait trop de contrôle sur l'humain. Le tout est abordé avec un regard critique sur l'avenir et des propositions alternatives pour une IA plus responsable.
Gourmande en énergie, en eau et en minerais, l’intelligence artificielle est au cœur de la course aux ressources qui oppose les grandes puissances. D’après l’hebdomadaire allemand “Die Zeit”, son essor pourrait même mener à une lutte pour les terres rares, lancée sur Terre et dans l’espace, au détriment du combat contre le dérèglement climatique. Traduit de l’allemand
Dans le monde des supercalculateurs IA, une tendance existe depuis quelques années. En effet, ces monstres de calcul doublent de performance environ une fois par an. Selon une récente étude, le plus grand superordinateur servant à l’intelligence artificielle en 2030 pourrait consommer jusqu’à 9 GW d’électricité.
Selon le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la demande électrique liée à l’intelligence artificielle (IA) devrait quadrupler d’ici 2030. Un chiffre alarmant notamment pour l’Europe qui s’est engagée à réduire ses émissions carbone de moitié d’ici là… Alors, aura-t-on assez d’énergie pour alimenter l’IA ?
A cette échéance, les data centers nécessiteront un peu moins de 3 % de l’électricité mondiale, « soit la consommation totale d’électricité du Japon aujourd’hui », précise le rapport. Portée par l’essor de l’intelligence artificielle (IA), la consommation d’électricité des centres de données devrait « plus que doubler » d’ici à 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) publié jeudi 10 avril.
Dopée par l'intelligence artificielle, la consommation d'électricité des centres de données devrait "plus que doubler" d'ici 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) publié jeudi.Consulter le rapport Energy and AI (Agence internationale de l'énergie, avril 2025)
L'essor des centres de données s'accompagne d'une hausse massive de leurs besoins en électricité, dopés par l'intelligence artificielle (IA), qui soulève des défis pour la sécurité énergétique et le changement climatique. Voici cinq chiffres d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) consacré aux répercussions de l'IA sur le système énergétique publié jeudi.
Donald Trump a signé mardi des décrets destinés à "doper" l'extraction de charbon aux États-Unis, qui selon lui doivent "plus que doubler" leur production d'électricité afin notamment de répondre à l'essor de l'intelligence artificielle. Les textes qu'il a ratifiés, entouré de mineurs coiffés de leurs casques de chantier, visent à lever les barrières réglementaires à l'extraction de charbon, et à suspendre les fermetures prévues de nombreuses centrales à charbon à travers tout le pays.
L’énergie de fusion nucléaire, source d’énergie propre et potentiellement illimitée inspirée par les réactions qui se déroulent au cœur du Soleil, pourrait bien révolutionner notre futur énergétique. Pour maîtriser cette technologie complexe et prometteuse, des ingénieurs sont en train de construire le réacteur de fusion le plus sophistiqué jamais imaginé. Situé dans le sud-est de la France, le projet ITER chercheur à démontrer que la fusion nucléaire peut devenir une source d’énergie viable. Un défi de taille, rendu possible grâce à des outils de pointe, et notamment à l’intelligence artificielle (IA), qui est au cœur de la conception et de la gestion de ce réacteur futuriste.
IA qu’à forer. Avec l’aide du géant de l’informatique, les majors pétrolières espèrent gagner en productivité et ne pas perdre une goutte d’or noir. Exxon Mobil, Equinor, TotalEnergies et consorts bardent leurs forages d’intelligence artificielle pour optimiser leur production et découvrir de nouveaux gisements.
Le président américain Donald Trump a signé un décret vendredi créant un "Conseil national pour la domination énergétique" chargé de développer la production d'électricité afin de distancer la Chine en matière d'intelligence artificielle (IA)."Nous serons les plus gros producteurs d'énergie au monde, sans parler de toute l'électricité que nous allons produire pour tous les sites [dédiés à l'] IA", a déclaré le chef de l’État à des journalistes au moment de signer le décret.
Les actions du constructeur automobile chinois BYD, spécialisé dans l'électrique, ont bondi mardi après l'annonce par l'entreprise du déploiement d'un système avancé de conduite autonome sur la quasi-totalité de ses voitures, y compris celles d'entrée de gamme.Le constructeur a également indiqué qu'il intégrerait les modèles d'intelligence artificielle (IA) de la start-up chinoise DeepSeek dans ses véhicules, comme l'ont déjà fait ses rivaux nationaux comme Geely, Great Wall Motors et Leapmotor.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) va lancer en avril un observatoire pour mesurer l'impact de l'intelligence artificielle (IA) sur la consommation d'énergie dans le monde, a annoncé mardi son directeur exécutif Fatih Birol lors du Sommet de Paris sur l'IA." Nous allons examiner tous les centres de données et la quantité d'électricité dont ils auront besoin", a indiqué Fatih Birol. "Le monde entier pourra tirer des leçons des meilleures pratiques, et cela sera en source ouverte pour tout le monde", a précisé M. Birol.
Le secteur de l'électricité en opération séduction: à l'occasion du sommet de l'intelligence artificielle (IA) à Paris, le groupe électricien français EDF et le gestionnaire du réseau haute tension RTE ont dévoilé leurs offres pour attirer sur le territoire national des centres de données, très gourmands en énergie.Le gouvernement a dévoilé la carte des régions avec les 35 sites "prêts à l'emploi" qui pourront accueillir les centres de données dédiés à l'IA, ces gigantesques bâtiments qui stockent les données et fournissent les énormes capacités de calcul requises par l'IA.
Régulièrement pointés du doigt pour l'impact de leurs centres de données, les acteurs de l'Intelligence artificielle (IA) doivent surveiller leur consommation d'énergie et d'eau, sous peine de "dommages irréparables à l'environnement", prévient vendredi un rapport à destination du gouvernement britannique.
La consommation énergétique de l’intelligence artificielle explose aux États-Unis. L'arrivée de DeepSeek et de son modèle d’IA plus économe ne devrait pas alléger l’empreinte environnementale du secteur.
L'irruption du Chinois DeepSeek, qui ébranle les géants de la Silicon Valley en raison du bien moindre coût de son modèle d'intelligence artificielle, remet aussi en question un autre aspect fondamental pour le secteur de l'IA: ses besoins en énergie.
Essentiels au développement de l’IA, les data centers font l’objet de milliards de dollars d’investissement. Mais leur déploiement va considérablement peser sur la consommation énergétique mondiale.
Alors que l’intelligence artificielle ne cesse de se développer et de s’insérer dans nos usages, la question de son impact sur le climat se pose de plus en plus. Le numérique va-t-il aggraver notre empreinte écologique ? Peut-il être un allié pour la réduire ? On s’interroge en compagnie de Benoît Frénay, professeur d’informatique à l’UNamur, spécialiste en intelligence artificielle et Hugues Ferreboeuf, chef de projet pour The Shift Project, l’organisation présidée par Jean-Marc Jancovici, les invités du Tournant.
Les géants de la tech se sont lancés dans une course à l'énergie abondante et décarbonée pour nourrir les appétits d'ogre de l'intelligence artificielle, mais leurs besoins en électricité doivent être mieux connus pour éviter la surchauffe du système, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Les centres de données, ces millions de serveurs qui hébergent nos données informatiques, représentent certes seulement 1% de la consommation d'électricité mondiale, selon l'AIE.
L'intelligence artificielle (IA) promet de venir à la rescousse du monde de l'énergie, mais son essor fulgurant soulève aussi un enjeu climatique majeur pour sa consommation vorace en électricité. Pour la première fois, un congrès international sur l'énergie se penche mercredi et jeudi sur les "deux faces de la médaille" de l'IA.Les centres de données (data center), ces millions de serveurs qui hébergent nos données informatiques, représentent aujourd'hui seulement 1% de la consommation d'électricité mondiale, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Les mastodontes de l'informatique à distance (cloud) et de l'intelligence artificielle (IA) se tournent de plus en plus ostensiblement vers le nucléaire pour assurer une partie de leurs immenses besoins en électricité. En moins d'un mois, Microsoft, Google et Amazon ont passé coup sur coup des contrats d'approvisionnement qui portent sur une capacité totale de 2,7 gigawatts, de quoi alimenter plus de deux millions de foyers.
Libre Eco week-end | Une chronique de Roald Sieberath, entrepreneur (Accelerate. AI), investisseur pour Noshaq, professeur invité à l'UCLouvain et l'UNamur
L'intelligence artificielle générative a besoin d'énergie pour alimenter les serveurs qui moulinent les modèles IA. De beaucoup d'énergie. Et pourquoi pas celle fournie par… une centrale nucléaire ? Microsoft va relancer celle basée à Three Mile Island, en Pennsylvanie, tristement connue pour son accident nucléaire en 1979.
Une intelligence artificielle (IA) générative utilise "30 fois plus d'énergie" qu'un moteur de recherche classique, alerte la chercheuse Sasha Luccioni qui veut sensibiliser la population à l'impact environnemental de cette nouvelle technologie.Reconnue comme l'une des 100 personnalités les plus influentes du monde de l'IA par le magazine américain Time en 2024, cette Canadienne d'origine russe cherche depuis plusieurs années à quantifier les émissions de programmes comme ChatGPT ou Midjourney.
Les intelligences artificielles peuvent-elles voler au secours de la transition écologique ?
La part des data centers dans la consommation d'électricité en Irlande augmente à un rythme qui inquiète de nombreux observateurs.
La consommation énergétique de l'IA générative est si élevée qu'elle met déjà à rude épreuve les réseaux électriques mondiaux, et le problème ne cesse de s'aggraver.
Microsoft s'est engagé mardi à un achat record de crédits carbone auprès de 1PointFive, une filiale d'Occidental Petroleum, alors que les géants des technologies peinent à concilier leurs investissements massifs dans l'intelligence artificielle (IA) avec leurs objectifs environnementaux.L'accord porte sur 500.000 tonnes de crédits d'élimination du dioxyde de carbone (CDR) sur une période de six ans, d'après un communiqué de 1PointFive.
Les émissions carbone de Google ont grimpé de 48% en cinq ans à cause de l'explosion de l'intelligence artificielle (IA), a indiqué mardi le géant américain, soulignant l'un des problèmes majeurs du développement fulgurant de cette technologie: sa voracité énergétique. Pourquoi l'IA consomme-t-elle de l'énergie? Les modèles de langage sur lesquels sont basés les IA génératives exigent d'énormes capacités de calcul pour s’entrainer sur des milliards de données, ce qui nécessite des serveurs puissants.
L’intelligence artificielle est très gourmande en énergie et en matières premières. Sans remettre en cause le secteur, ses promoteurs s’en remettent à une version améliorée de l’IA, supposément plus « verte » et plus « sobre ». IA ne rime pas avec climat. Le boom actuel du secteur de l’intelligence artificielle (IA) met notamment en péril les plans « net zéro » des grandes entreprises technologiques. Un récent graphique tiré du bilan trimestriel de Microsoft montre qu’à mesure que ses investissements dans l’IA (...)
Google a confirmé mardi dans un rapport que l’explosion des besoins en intelligence artificielle, et donc en puissance informatique, compromet ses efforts de réduction des émissions carbone.
Pour nourrir les immenses besoins de ChatGPT et autres outils d’intelligence artificielle, le secteur de la tech multiplie les centres de données. Ces usines du numérique sont de plus en plus nombreuses, de plus en plus puissantes et de plus en plus voraces en énergie. Un boom mondial dans lequel la France compte prendre sa part.
"Est-ce que ça coûte plus d'énergie que ça n'en rapporte?": le français Schneider Electric, géant des équipements électriques et automatismes industriels, compte de plus en plus sur l'intelligence artificielle (IA) pour aider ses clients à consommer moins d'énergie.
Si les centres de données sont réputés pour leur consommation colossale d’énergie, ils nécessitent également une quantité importante d’eau pour refroidir leurs serveurs et éviter ainsi la surchauffe. Microsoft a choisi d’installer l’un de ces centres à Goodyear, en Arizona, un État connu pour son climat aride. Selon un rapport, ce centre consomme une quantité d’eau équivalente à celle de plus de 600 familles.
De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.
Le programme national de recherche Spin, qui vise à garantir une économie numérique "frugale" et "durable", a officiellement été lancé lundi à Grenoble dans le laboratoire Spintec.Le programme Spin, piloté par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et le Centre national pour la recherche scientifique (CNRS), s'inscrit dans le plan "France relance 2030". Doté de 38 millions d'euros sur huit ans, il doit servir à financer la recherche la plus fondamentale en spintronique.
L'essor de l'IA et des cryptomonnaies pourrait faire doubler la demande énergétique mondiale d'ici 2026, nécessitant des solutions durables.
L’essor de ChatGPT n’est que la face émergée de l’Intelligence artificielle (IA), qui s’insère un peu partout dans nos vies. En créant de nouveaux usages et en permettant aux grandes entreprises d’accélérer encore leur croissance, l’IA sera-t-elle le dernier clou à notre cercueil ?
Le Massachusetts Institute of Technology définie l'IA comme la capacité des ordinateurs à imiter les fonctions cognitives humaines telles que l'apprentissage et la résolution de problèmes, en utilisant les mathématiques et la logique pour simuler le processus de raisonnement qui aide les humains à apprendre de nouvelles informations et à prendre des décisions. L'IA générative, comme ChatGPT, est mentionnée comme étant énergivore, tant pendant l'entraînement que lors de l'inférence. La puissance de calcul nécessaire à l'IA contribue à une consommation électrique importante et à des émissions de CO2 à grande échelle. Les chercheurs comparent le coût énergétique de l'inférence et de l'entraînement, soulignant que ce dernier a un impact environnemental beaucoup plus important.
La consommation énergétique journalière de certains modèles d’IA se mesurerait actuellement en mégawattheures. Dans un avenir proche, il est même prévu que les chiffres augmentent au point de correspondre à la consommation totale de certains pays. C’est ce que révèle une nouvelle étude axée sur l’empreinte énergétique des systèmes d'IA.
L’intelligence artificielle, nouveau gouffre énergétique ? Dans un texte publié le 10 octobre dans la revue scientifique Joule, le chercheur Alex de Vries (actuellement doctorant à l’université Vrije d’Amsterdam) alerte sur les conséquences du recours grandissant à l’intelligence artificielle sur nos systèmes énergétiques.
Les chatbots IA consomment d'énormes quantités d'eau. Des chercheurs ont estimé que la formation de ChatGPT a consommé au moins 700 000 litres d'eau, et qu'une conversation moyenne équivaut à consommer une bouteille de 500 ml.
Notre civilisation numérique consomme beaucoup trop d'électricité et de ressources naturelles. En l'occurrence, l'intelligence artificielle peut être à la fois le problème et la solution. Sera-t-il possible d'accomplir en même temps la transition écologique et la transition numérique ? Dans son récent rapport sur l'intelligence artificielle, Cédric Villani nous alerte fort à propos en écrivant que « la consommation énergétique du numérique augmente de 8,5 % par an, [et que] sa part dans la consommation mondiale d'électricité (en croissance de 2 % par an) pourrait atteindre entre 20 et 50 % en 2030 », voire dépasser la production énergétique mondiale en 2040.


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