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Gourmande en énergie, en eau et en minerais, l’intelligence artificielle est au cœur de la course aux ressources qui oppose les grandes puissances. D’après l’hebdomadaire allemand “Die Zeit”, son essor pourrait même mener à une lutte pour les terres rares, lancée sur Terre et dans l’espace, au détriment du combat contre le dérèglement climatique. Traduit de l’allemand
À cran géant. De nouveaux chiffres de l’Ademe mettent en lumière l’impact environnemental croissant du secteur numérique, en constante progression. Le poids des équipements, toujours majoritaires dans l'empreinte carbone du secteur, est peu à peu concurrencé par celui des usages, qui connaissent un essor grandissant. La vague de l’intelligence artificielle générative devrait contribuer à les faire encore grimper.
Hausse des émissions carbone, consommation massive d’eau, conditions de travail précaires… Les impacts méconnus de ChatGPT.
Régulièrement pointés du doigt pour l'impact de leurs centres de données, les acteurs de l'Intelligence artificielle (IA) doivent surveiller leur consommation d'énergie et d'eau, sous peine de "dommages irréparables à l'environnement", prévient vendredi un rapport à destination du gouvernement britannique.
Depuis quelques jours, une nouvelle intelligence artificielle chinoise, annoncée comme étant moins énergivore, est arrivée sur le marché : DeepSeek. Aujourd’hui, l’IA n’est plus une simple curiosité technologique : elle est présente au quotidien et est devenue un élément central de nos vies. DeepSeek, ChatGPT, Gemini,… La question de leur impact sur le climat se pose de plus en plus. Pasquale Nardone, professeur au département de physique à l’Université Libre de Bruxelles, en parle dans "Quel Temps pour la Planète ?".
GPT la planète ? L’impact environnemental de l’incontournable outil d’intelligence artificielle est souvent insoupçonné et sous-estimé, et risque bien d’empirer dans les années à venir. Décryptage.
Si les centres de données sont réputés pour leur consommation colossale d’énergie, ils nécessitent également une quantité importante d’eau pour refroidir leurs serveurs et éviter ainsi la surchauffe. Microsoft a choisi d’installer l’un de ces centres à Goodyear, en Arizona, un État connu pour son climat aride. Selon un rapport, ce centre consomme une quantité d’eau équivalente à celle de plus de 600 familles.
De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.
L’essor de ChatGPT n’est que la face émergée de l’Intelligence artificielle (IA), qui s’insère un peu partout dans nos vies. En créant de nouveaux usages et en permettant aux grandes entreprises d’accélérer encore leur croissance, l’IA sera-t-elle le dernier clou à notre cercueil ?
Dans leurs derniers rapports de responsabilité environnementale, Microsoft et Google ont fait état de pics de consommation d'eau l'année passée, pointe un article de l'agence Associated Press. En cause : la technologie de l'intelligence artificielle (IA) générative.
Une nouvelle étude épingle l’impact environnemental de ChatGPT. Le chatbot aujourd’hui sur toutes les lèvres serait à l’origine d’une consommation d’eau de plusieurs milliers, voire plusieurs millions, de litres d’eau. La faute aux data centers des grandes entreprises de la tech qui tardent à prendre en considération ces enjeux.
Les chatbots IA consomment d'énormes quantités d'eau. Des chercheurs ont estimé que la formation de ChatGPT a consommé au moins 700 000 litres d'eau, et qu'une conversation moyenne équivaut à consommer une bouteille de 500 ml.
Les IA génératives comme ChatGPT sont particulièrement gourmandes en eau, concluent des chercheurs américains, qui craignent les répercussions sur l’approvisionnement des populations.


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