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Zeebrugge, une des plaques tournantes européennes pour le commerce mondial de GNL russe, devrait selon toute logique être touchée par la nouvelle salve de sanctions européennes, formellement adoptées lundi à l'encontre de la Russie.
Alors que les élections législatives doivent se tenir le 4 juillet au Royaume-Uni, de nombreuses organisations écologistes, dont Extinction Rebellion et WWF, ont organisé cette marche pour faire pression sur les représentants.
La décision, soutenue par vingt Etats sur les Vingt-Sept lors d’une réunion des ministres de l’environnement à Luxembourg, ouvre la voie à l’entrée en vigueur de ce texte destiné à enrayer la perte de biodiversité. Il avait déjà été validé par les eurodéputés.
La loi sur la restauration de la nature a été adoptée aujourd’hui par le Conseil de l’UE, validant ainsi la dernière étape nécessaire pour que cette loi devienne réalité. La Coalition belge pour la biodiversité réagit avec soulagement. Les yeux se tournent à présent vers les États membres, dont la Belgique, qui devront maintenant développer leurs plans nationaux de restauration afin de mettre en œuvre les objectifs fixés par la loi.
Après de longues tractations au Parlement et plusieurs mois de blocage, la loi sur la restauration de la nature a été définitivement adopté.
Le Conseil (États membres) de l'Union européenne a adopté définitivement, lundi à Luxembourg, le projet de règlement européen sur la restauration des écosystèmes dégradés. Ce vote a été soutenu par 20 États membres représentant 66,07% de la population de l'UE, soit une majorité qualifiée. Seuls six pays ont voté contre. La Belgique s'est abstenue. Le vote met fin à deux années de dure controverse politique au sein de l'Union européenne. Projet phare du Pacte vert européen dans son volet biodiversité, cette législation fixe aux États membres l'objectif de restaurer au moins 20% des écosystèmes dégradés (terres et des mers) de l'UE d'ici 2030 et l'ensemble des écosystèmes ayant besoin d'être restaurés d'ici 2050.
La loi controversée sur la restauration de la nature pourrait finalement être adoptée après un revirement inattendu de l’Autriche. Le vote du Conseil de l’Union européenne est prévu ce 17 juin. Adoptée par le Parlement européen à l’issue de débats houleux, la loi sur la restauration de la nature vise à enrayer la destruction des écosystèmes naturels. Cependant, ses détracteurs, comme les Pays-Bas, estiment qu’elle constitue une entrave pour les agriculteurs et les entreprises.
Le régime d’indemnisation des catastrophes naturelles est dans le rouge en raison du changement climatique.
« L’écologie à la française » conçue par Emmanuel Macron n’a pas de quoi nous rendre fiers, démontre l’auteur de cette tribune. Elle ne respecte pas le droit de la nature face aux intérêts économiques. Antoine Gatet est président de France Nature Environnement (FNE) et représentant de FNE au Conseil économique, social et environnemental (Cese). Monsieur le président de la République, Le 4 mai, dans un entretien accordé à La Tribune Dimanche, vous avez décrit votre conception de « l’écologie à la française (...)
Birdlife(a) et d’autres ONG environnementales européennes dressent le bilan de la dernière législature pour les groupes politiques européens, et tous les partis nationaux(b). Décryptage
Si la protection de l'environnement figure parmi les critères qui orientent le vote des Belges, c'est souvent le climat qui est au cœur du débat. Pourtant, les événements récents montrent que la nature est aussi éminemment politique. Le déclin de la biodiversité met en péril la viabilité des territoires et sa protection ne peut reposer exclusivement sur la création de réserves. Natagora plaide pour que chaque décision politique soit guidée par la nécessité impérieuse de préserver cette trame complexe et indispensable à notre existence. Découvrez les 7 priorités que nos équipes ont présentées aux présidents et présidentes de partis.
Suite à une étude européenne sur la présence alarmante des métabolites de PFAS dans les eaux, Nature & Progrès et Pesticide Action Network Europe demandent une action politique rapide et efficace pour stopper cette pollution chimique délibérément passée inaperçue.
Le Brésil vit l’une des pires catastrophes naturelles de son histoire, avec les inondations dans le sud du pays. Le gouvernement local est pointé du doigt, accusé d’avoir mal anticipé, puis mal géré ce désastre. Rio de Janeiro (Brésil), correspondance 162 morts, 82 disparus, 580 000 déplacés, 178 000 personnes sans électricité… Les inondations en cours dans le Rio Grande du Sud, dans le sud du Brésil, sont encore loin d’être finies, mais elles sont déjà l’une des plus graves catastrophes naturelles de (...)
Un chantier d’envergure a été officiellement lancé hier à Seneffe: celui de la réhabilitation de l’ancien site...
Le gouvernement flamand reconnaîtra probablement les graves inondations survenues la nuit dernière à Fourons, commune à facilités de la province de Limbourg, comme catastrophe naturelle, ont annoncé samedi le ministre-président flamand Jan Jambon et la ministre de l'Environnement Zuhal Demir.
Le ministre-président wallon Elio Di Rupo a déclenché, samedi, le processus de reconnaissance des inondations en tant que calamité naturelle publique, a-t-il annoncé dans un communiqué. Cela permet d'activer le Fonds wallon des calamités pour "apporter une aide financière aux personnes sinistrées".
Des dizaines d'ONG de défense de l'environnement s'inquiètent d'un "démantèlement des mesures vertes" au sein de l'Union européenne et pressent les responsables politiques d'"arrêter avant qu'il ne soit trop tard", dans une lettre ouverte publiée lundi. "La nature n'est pas en conflit avec la capacité de notre société à prospérer, elle est à son fondement même. Mais certains politiciens dans les capitales européennes, et dans les institutions de l'UE à Bruxelles, accélèrent les crises de la nature et du climat, risquant les vies des personnes qu'ils représentent", met en garde la lettre publiée sur leurs sites internet respectifs.
L’analyse de 186 études d’évaluation de différentes mesures de conservation de part le monde prouve l’efficacité globale de ces dispositifs. Mais il faut en faire plus pour éradiquer la chute du vivant en cours.
L’art de la réduction. Aura-t-on assez d’eau pour tout le monde ? Faut-il limiter ses émissions de CO2 à l’aide d’un «compte carbone» ? À l’heure des bouleversements climatiques, l’idée d’un rationnement des ressources gagne du terrain. On fait le point.
Extension de droits d'extraction de gaz, usine de liquéfaction et parc solaire pour l'alimenter: TotalEnergies a annoncé lundi des investissements supplémentaires dans le sultanat d'Oman pour produire du GNL, avec à la clé un contrat de plus de 500 millions d'euros pour Technip Energies.Depuis 2021, TotalEnergies s'est allié à la compagnie pétrolière nationale de ce pays stratégique du Golfe, OQ, pour créer une coentreprise qui produit du gaz naturel à partir du champ Mabrouk North-East, sur lequel elle aura désormais des droits jusqu'en 2050, selon un communiqué.
Le robinet sera définitivement coupé le 1ᵉʳ octobre 2024, un an après la fin de l’exploitation du gisement et après des années de lutte politique.
Des activistes de Greenpeace ont déposé jeudi matin une pomme géante devant le Parlement européen. Ils exhortent les députés européens à ne pas offrir de "cadeau empoisonné" aux agriculteurs via la suppression des mesures de protection de la nature de la politique agricole commune (PAC).
L’un des principaux arguments qui visent à décourager les efforts pour limiter le réchauffement climatique consiste à affirmer que la nature s’est toujours adaptée. La logique fallacieuse de cet argument est que "si la faune et la flore ont pu rencontrer des changements climatiques importants par le passé, elle pourra également les rencontrer aujourd’hui".
Le géant français TotalEnergies, premier exportateur de gaz naturel liquéfié (GNL) américain, a annoncé lundi un accord pour renforcer sa production de gaz naturel dans le pays, selon un communiqué.La quatrième major mondiale fait part d'un accord "pour acquérir la participation de 20% détenue par Lewis Energy Group dans les permis d'exploitation de Dorado opérés par EOG Resources (80%) dans le bassin d'Eagle Ford au Texas".
Quel est l'impact des parcs d'éoliennes terrestres ou de panneaux photovoltaïques sur la flore, la faune et les paysages? Un observatoire national est créé pour y voir plus clair, via un décret publié dimanche au Journal officiel.La création de cet "observatoire des énergies renouvelables et de la biodiversité" était prévue par la loi visant à accélérer la production d'énergies renouvelables, promulguée le 10 mars 2023.
Agriculture bio, non-labour... Les solutions sont là, déjà, amassées grâce à l’écologie et les sciences du vivant. Mais « on ne pense pas au vivant », regrette le biologiste Marc-André Sélosse, auteur de Nature et préjugés.
Un total de 399 catastrophes naturelles ont coûté la vie à 86.473 personnes dans le monde en 2023, selon un rapport du Centre de recherche sur l'épidémiologie des désastres (Cred) de l'UCLouvain, publié vendredi.
Le rapport remis au gouvernement préconise de revoir la surprime catastrophes naturelles pour éviter les "déserts assurantiels".
Un rapport a été remis ce mardi 2 avril au gouvernement pour tenter de répondre aux enjeux d’assurabilité dans les régions exposées aux phénomènes météorologiques extrêmes. L’exécutif se laisse cinq mois pour en étudier les préconisations.
La moyenne des coûts des sinistres climatiques a presque doublé ces dernières années, selon France assureurs.
Depuis Sainte-Soline, le Gouvernement n’a eu de cesse de criminaliser les défenseurs de la nature et d’étouffer la démocratie environnementale, dans une logique de contrôle et de répression de la société civile.
Avec l'augmentation du risque de catastrophes naturelles, les tarifs des assurances risquent d'exploser. Jean-Marc Jancovici explique l'importance de mettre en place des mesures de prévention.
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, les principaux groupes bancaires de l'Union européenne ont octroyé un total de 256 milliards d'euros de crédit aux entreprises qui menacent les forêts, les savanes et d'autres écosystèmes confrontés à des situations climatiques critiques, selon un rapport du cabinet d'études néerlandais Profundo, rendu public par Greenpeace International, Milieudefensie, Harvest et Global Witness.
Après le revirement de la Hongrie, le vote de l’une des pièces maîtresses du Pacte vert par les ministres de l’Environnement de l’UE a été annulé à la dernière minute. Son avenir semble incertain.
La plantation d'arbres, outil classique de la lutte contre le réchauffement climatique, peut avoir l'effet inverse si elle transforme des terrains clairs, qui réfléchissent l'énergie du soleil, en une forêt sombre qui l'absorbe, avertit une étude publiée mardi, qui cartographie les lieux propices au reboisement.
Le bras de fer se poursuit autour de la loi européenne sur la restauration de la nature. Le texte rassemble contre lui des élus d’extrême-droite et d’une partie de la droite, ainsi que de nombreux lobbys. Alors qu’un accord semblait entériné, le retrait surprise de la Hongrie bloque l’adoption du texte.
Pluies insuffisantes, inondations, sécheresse : 44,3 % des cultures du maïs du pays ont été « endommagées », menaçant de famine près de 2 millions de familles.
Les ministres de l’Environnement de plusieurs Etats membres ont manifesté lundi leur mécontentement envers ceux qui, actuellement, bloquent l’adoption définitive de la loi européenne sur la restauration de la nature, un important texte du Green Deal portant sur la biodiversité. Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil (Etats membres) étaient parvenus en novembre dernier à un accord provisoire, qui a été validé en plénière du Parlement le mois dernier.
Pascal Canfin, président français de la commission de l’Environnement du Parlement européen, s’inquiète du blocage de la loi sur la restauration de la nature. Et affirme disposer de « beaucoup de signaux » concernant une action en sous-main d’Alexander De Croo contre la loi.
Ce samedi 23 mars, notre pays a épuisé son crédit de ressources naturelles que la Terre est capable de produire en un an. En d’autres termes, il nous faudrait plus de quatre planètes si toute l’humanité vivait comme un belge moyen. Cette date arrive quatre mois avant celle du Jour du Dépassement de la Terre, qui tombera le 25 juillet cette année.
La coalition pour la biodiversité tire la sonnette d’alarme. En dépit d’un large plébiscite populaire, d’un accord négocié avec soin en trilogue et d’un vote favorable au Parlement européen, le pouvoir exécutif des États membres pourrait s’opposer à l’adoption de la loi sur la restauration de la nature lors du vote au Conseil des ministres du 25 mars 2024. Sans raison valable, le soutien de la Hongrie ne serait en effet plus assuré, mettant ainsi la loi en péril. Les récentes allégations concernant les prises de positions partisanes au sein de la Présidence belge du Conseil sont alarmantes. La Belgique doit prendre à cœur son rôle de médiateur impartial et efficace au sein de l’Union européenne.
Les Européens et les gouvernements belges sont toujours divisés sur la loi européenne sur la restauration de la nature. Le vote approche et certains agissent en sous-main pour faire capoter le dossier. Le nom du Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) est cité. Un sondage du WWF suggère que la population en veut pourtant davantage.
Face à la perte galopante de biodiversité, les naturalistes testent diverses approches pour préserver la diversité des écosystèmes. Parmi elles, le réensauvagement aussi appelé “rewilding”, une méthode née aux États-Unis qui rencontre un succès croissant en Europe mais n’est pas épargnée pas les ratés et les controverses.
La découverte de cette énorme réserve d'hélium est une avancée significative dans le domaine de l'exploration des ressources naturelles.
Pétrole, gaz, exploitation des forêts, extraction de métaux rares, agriculture… nos usages des ressources naturelles de la planète ont explosé en un demi siècle.
A l’aube d’un soulèvement des terres et des hommes qu’incarnent aujourd’hui les luttes écologiques, comme celle contre l’A69, la précarité du «Droit vivant» n’a jamais été aussi forte. Dans son essai du Contrat Social, Rousseau nous renseignait sur la nécessité d’une association entre citoyens pour atteindre une société légitime et égalitaire œuvrant pour le bien commun. Avec le dérèglement climatique, les effondrements et les délitements socio-économiques provoqués par le capitalisme, il demeure essentiel de redéfinir les contours de ce bien commun et de l’intérêt général pour construire une société écologique et vivable.
Biomasse, métaux, minerais, matières fossiles… Les Nations Unies appellent à « infléchir la trajectoire » de l’usage des ressources planétaires, qui pourrait croître de 60 % d’ici à 2060 si rien n’est fait.
Les autorités congolaises et le groupe italien d'hydrocarbures Eni ont lancé mardi près de Pointe-Noire (sud du Congo) la production de gaz naturel liquéfié (GNL), en grande partie destiné à l'exportation, a constaté un journaliste de l'AFP.Sur le site de Litchendjili, près de la capitale économique et pétrolière du Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou-Nguesso, en compagnie du PDG d'Eni Claudio Descalzi, a ouvert une vanne, symbolisant le démarrage de cette production.
Après une âpre bataille politique qui a contribué à l’édulcorer, la législation a fait l’objet d’un accord mi-novembre entre les négociateurs du Parlement européen et des Etats membres. Un compromis entériné ce mardi 27 février en plénière.
En 4 ans, la Région Wallonne a acquis pas moins de 5042 ha de terres pour pouvoir les protéger. Confrontés à la sixième extinction de masse des espèces et au réchauffement climatique, nos territoires souffrent. Dans certaines régions, les terres s’assèchent de façon dramatique, dans beaucoup d’autres, elles s’appauvrissent. Les arbres sont décimés par le scolyte ou autres maladies qui viennent les frapper parce qu’ils sont affaiblis par les nouvelles conditions climatiques. Comment aider la nature à passer ce mauvais cap et à s’adapter plus facilement au changement climatique, c’est là tout l’enjeu.
La décision de Joe Biden de retarder les nouveaux projets d'infrastructures gazières au nom de la "menace" climatique n'aura pas d'effet à court terme pour l'Europe, accro au gaz américain depuis la guerre en Ukraine, mais pourrait avoir des effets dans la prochaine décennie.Applaudi comme une "victoire" par les ONG anti-énergies fossiles, le plan a été accueilli froidement par une industrie gazière en pleine euphorie.
Le gaz liquéfié (GNL), dans lequel TotalEnergies notamment investit beaucoup, a aussi un impact sur le réchauffement climatique, pouvant même parfois "saper le bénéfice d'une conversion du charbon vers le gaz", a mis en garde lundi la climatologue Valérie Masson-Delmotte, interrogée au Sénat.
C'est une victoire majeure pour le climat. Joe Biden a annoncé ce vendredi 26 janvier qu'il instaurait un moratoire sur les nouveaux terminaux de gaz naturel liquéfié (GNL) en raison notamment de l'impact de cette énergie fossile sur le climat. Alors que les États-Unis sont devenus le premier exportateur mondial de GNL, cette décision lance la campagne présidentielle sur le thème de l'écologie.
Le gouvernement américain a annoncé vendredi un moratoire sur la construction de nouveaux terminaux d'exportation de gaz naturel liquéfié (GNL), le temps d'évaluer notamment leur impact sur l'environnement, un coup d'arrêt pour une industrie en pleine accélération."A mesure que les exportations augmentent, nous devons examiner les demandes d'exportation à la lumière des analyses les plus récentes sur le plan économique, environnemental et de la sécurité nationale", a déclaré la ministre de l'Energie, Jennifer Granholm, lors d'une conférence téléphonique.
La journaliste et essayiste Pascale d’Erm est spécialiste des mouvements écologistes menés par des femmes à travers le monde.
Restaurer, c’est revenir à un état initial et antérieur. Mais lequel ? Et lorsqu’il est question de la nature, est-ce seulement possible ?
En visite sur l’île, le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer a annoncé qu’une procédure accéléré permettra aux victimes de l’ouragan d’être indemnisées le plus vite possible.
Une base de données, reconnue mondialement et créée par la chercheuse de l'UCLouvain Debarati Guha-Sapir permet de prévenir les risques liés aux catastrophes naturelles.
Inondations, sécheresse... Les catastrophes naturelles s’enchaînent dans les communes d’Ecques et de Blangy-sur-Ternoise, dans le Pas-de-Calais. Refusant de fuir, les habitants s’organisent pour vivre avec.
La facture des catastrophes climatiques ne cesse de s’alourdir. Au point de faire craquer le système d’indemnisation français, basé sur une prise en charge à 50% par la Caisse centrale de réassurance et sur une garantie de l’État. Le gouvernement vient de décider d’une augmentation de la surprime sur les contrats d’assurance qui alimente ce régime en déficit constant depuis plusieurs années. Mais elle risque d’être insuffisante face à l’augmentation de l’intensité et de la fréquence des événements climatiques.
C'est ce qu'affirme le réassureur allemand Munich Re.
Le Brésil et l'Innovation contre les Maladies Transmises par les Moustiques Le Brésil se lance dans une entreprise audacieuse pour lutter contre les maladies transmises par les moustiques, comme la dengue, le Zika et la fièvre jaune. En 2024, le pays prévoit de disperser cinq milliards de moustiques infectés par un virus spécifique qui bloque la transmission de ces maladies. Cette initiative, soutenue par le World Mosquito Program (WMP), vise à remplacer progressivement les populations de moustiques vecteurs de maladies par des populations inoffensives. Le WMP, une organisation à but non lucratif affiliée à l'Université Monash en Australie, se consacre à la protection de la communauté mondiale contre ces maladies. En 2022, le Brésil a enregistré 1,2 million de cas de maladies transmises par les moustiques, soulignant l'urgence de trouver des solutions efficaces.
La surprime qui finance le régime des catastrophes naturelles va passer de 12 à 20% au 1er janvier 2025. Ce système est en déficit depuis 2015.
La hausse de la valeur de l'or dans le monde a amplifié l'exploitation minière illégale en Amazonie, où du mercure liquide est déversé dans le fleuve Amazone. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme, affirmant que les communautés autochtones seront les premières victimes.
Dans un essai très stimulant, les anthropologues Bram Büscher et Robert Fletcher déploient une critique des grandes approches de la conservation de la nature, qui reproduiraient les logiques violentes du capitalisme, et développent une proposition transformatrice de « conservation conviviale ».
Dans les départements de Charente et Charente-Maritime, placés en vigilance orange ce dimanche 17 décembre, le niveau exceptionnellement élevé du fleuve menace des centaines d’habitations. Le pic de crues est attendu dans la nuit prochaine.
le Gouvernement wallon vient d'approuver la création de 47 nouvelles réserves naturelles, dont 5 en province de Namur, ainsi que l’extension de 32 réserves existantes. Au total, ce sont 1.594 hectares qui viennent s'ajouter au réseau actuel des réserves naturelles. Le maillage écologique se renforce donc petit à petit en Wallonie.
Marine Calmet, avocate spécialisée dans les droits de l’environnement, participe ce samedi à la conférence «Comment sanctionner les délits à la nature et mieux protéger les espaces».
Le Mozambique, l'un des pays les plus pauvres du monde, a approuvé vendredi la création d'un fonds souverain qui sera alimenté par plusieurs milliards de dollars issus des recettes liées à l'exploitation de gaz naturel.Le Parlement a approuvé la création de ce fonds par un vote de 165 voix pour et 39 voix contre. Il sera financé par plus de 91 milliards de dollars de revenus que le gouvernement prévoit de tirer du gaz naturel.
Dans une méta-étude publiée cette semaine, les scientifiques alertent sur le désastre écologique que représente le chat domestique, accusé de détruire la biodiversité par son alimentation.
Près de 7.000 milliards de dollars de financements publics et privés soutiennent chaque année des activités ayant un impact négatif sur la nature et alimentant directement le changement climatique – soit environ 30 fois le montant dépensé chaque année pour des solutions fondées sur la nature, selon un rapport choquant de l’ONU publié samedi lors de la COP28 à Dubaï.
La création du Parc naturel Cœur de Condroz a officiellement été approuvée ce jeudi par le gouvernement wallon. Cette...
Le gouvernement français a autorisé pour la première fois en France un projet de recherches d'hydrogène dit "blanc", un gaz naturellement présent dans le sous-sol et dont l'intérêt est croissant pour décarboner l'industrie et les transports, a appris dimanche l'AFP auprès du ministère de la Transition énergétique.
La Première ministre a présenté ce lundi la version finale de quarante mesures pour stopper l’effondrement du vivant à l’horizon 2030. Parmi les objectifs phares, le classement de 10 % du «territoire» national sous «protection forte».
Après le choc de la réautorisation du glyphosate, un herbicide controversé, pour dix ans, l'Union européenne tire aussi un trait sur l'instauration d'un texte réduisant l'usage des pesticides, l'un des piliers du volet "nature" Green Deal. Celui-ci n'a eu de cesse d'être attaqué ces derniers mois, sous couvert d'assurer la sécurité alimentaire du continent.
L’Union européenne a trouvé un accord de lutte contre la criminalité environnementale. Pour Marie Toussaint, eurodéputée écologiste, ce texte peut être considéré comme une avancée historique.
Le contexte de crise écologique favorise l’émergence d’initiatives qui invitent à revoir radicalement le rapport entre les hommes et la nature.
Sous la menace de nouvelles inondations, de nombreuses localités sinistrées bénéficient désormais d’une reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, qui permettra aux habitants d’être indemnisés.
Le Parlement européen et les Etats membres se sont entendus jeudi 9 novembre au soir sur une proposition de texte moins ambitieuse que la version initiale de la Commission mais qui concernera bien tous les écosystèmes.
La coalition belge pour la biodiversité se dit vendredi déçue que de nombreuses exceptions figurent dans l’accord...

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