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L’activité humaine contemporaine émet dans l’atmosphère des gaz à effet de serre en telle quantité que le climat en est modifié. L’humanité doit - nous devons - réduire drastiquement les émissions dès à présent afin de maintenir des conditions favorables à la vie sur Terre. La dépendance de toute notre économie aux énergies fossiles est la principale cause de ces émissions. Pour réaliser des actes aussi fondamentaux que manger, se loger, se vêtir, se déplacer, nous brûlons généralement des combustibles fossiles. Se déplacer en avion est aujourd’hui un moyen très efficace de rejoindre le lointain : ce mode de transport permet un élargissement des horizons. C’est en revanche aussi une des manières les plus efficaces d’émettre une quantité importante de gaz à effet de serre dans un temps court1 . L’usage de l’avion de manière régulière est par ailleurs réservé à une faible part de la population mondiale. Même au sein d’un pays occidental comme la France, la « démocratisation » annoncée n’a pas vraiment eu lieu2
Les tendances d’évolution du volume d’eau douce renouvelable et des facteurs qui la constituent sont analysées pour la France métropolitaine et ses 34 sous-bassins. Sur la période 1990-2018, l’évolution du volume annuel est marquée par une baisse à partir de 2002 sur le territoire métropolitain et une hétérogénéité territoriale selon les sous-bassins. Entre 1959 et 2018, le changement le plus remarquable est l’augmentation de l’évapotranspiration à l’échelle annuelle et saisonnière : cette hausse s’observe dans la majorité des sous-bassins en automne et en hiver et dans tous les sous-bassins au printemps. Sur cette période, le volume annuel d’eau douce renouvelable qui provient des précipitations décroît dans 41 % des sous-bassins, presque tous situés dans le sud de la France. Les territoires les plus fragiles vis-à-vis de l’accès à l’eau pour ses différents usages se situent majoritairement dans l’ouest de la France.
Pour rester alignés sur une trajectoire de réchauffement de 1,5°C, quelle est l’ampleur des mesures à mettre en œuvre ? - Infographie
Analyse de la faisabilité technique et mise en perspective de l’ampleur et de la rapidité des mesures à mettre en place.
Cette première partie introductive présente brièvement les usages de l’eau par les activités humaines, ainsi que les enjeux de la connaissance des prélèvements.