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Le changement climatique est là. Ses impacts se généralisent et s’intensifient. En trois heures et demie, les Ateliers de l’Adaptation au changement climatique donnent les clefs pour faire collectivement les meilleurs choix possibles et éviter les maladaptations.
Les PPM : un indicateur crucial pour mesurer l’impact des activités humaines sur le climat Sur leurs bras, un nombre et un sigle : PPM, portés comme un étendard. Mais que veulent dire exactement ces trois lettres ? Il s’agit de l’acronyme de « parties par million », l’unité de mesure qui permet notamment d’évaluer la concentration de CO2 dans l’atmosphère. Ce taux ne cesse d’augmenter année après année. Le point de départ de cette accélération : 1850, date de la deuxième révolution industrielle, où les énergies fossiles comme le pétrole et le charbon ont commencé à être utilisées en masse pour faire fonctionner notre économie. La conséquence : une hausse de la température moyenne au niveau mondial. La mesure du CO2 en PPM constitue donc un marqueur tangible de l’origine humaine du changement climatique. Et des conséquences sur chacun de nous.
Les combustibles fossiles, à savoir le charbon, le pétrole et le gaz, sont de loin les plus grands contributeurs au changement climatique mondial ; ils sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et de près de 90 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone. Les émissions de gaz à effet de serre enveloppant la Terre, elles retiennent la chaleur du soleil. Cela entraîne un réchauffement climatique et un changement climatique. Le monde se réchauffe désormais à une vitesse jamais observée dans l’histoire documentée. Au fil du temps, les températures plus élevées entraînent des variations climatiques et déstabilisent l’équilibre habituel de la nature. Cette situation pose de nombreux risques pour les êtres humains et toute autre forme de vie sur Terre.
Dans ce troisième volet du 6e rapport d’évaluation dédié à l’atténuation du changement climatique, les experts du GIEC plaident pour une réduction immédiate des émissions dans tous les secteurs et proposent des solutions et actions pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C... ou au moins à 2,0 degrés par rapport à l'ère préindustrielle (1850).
Nous le constatons toute l’année, le climat est en plein changement. L’influence de l’activité humaine sur sa rapidité est clairement établie.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a publié le 9 août 2021 le premier volet de son sixième rapport d’évaluation (Assessment Report 6) "Changements climatiques : les éléments scientifiques". Ce rapport, dont la rédaction a débuté en 2017-2018, rassemble les connaissances scientifiques les plus récentes et les plus complètes du système climatique et des changements climatiques à ce jour. Le précédent rapport de ce type datait de 2013-2014.
La température moyenne de notre planète a augmenté de 1 °C depuis 1850 et celle de la France de 1,5 °C. Ce réchauffement, directement lié aux activités humaines, s'intensifie.
Le changement climatique est un phénomène lié aux activités humaines qui nous concerne tous. D’abord, parce que nous en sommes responsables. Ensuite, car il a et aura encore des conséquences sur nos modes de vie, nos habitudes et nos comportements. Enfin car il touche aussi notre environnement naturel.
Avec My2050, le Service Changements climatiques souhaite encourager tous les citoyens (et en particulier les élèves à partir de la 4e année du secondaire) à entamer un débat quant à la manière dont nous pouvons faire évoluer vers une société bas carbone d'ici 2050.
Le groupe Agence française de développement (AFD) finance, accompagne et accélère les transitions vers un monde plus juste et durable. Climat, biodiversité, paix, éducation, urbanisme, santé, gouvernance… : nos équipes sont engagées dans plus de 4000 projets dans les Outre-mer et 115 pays. Nous contribuons ainsi à l’engagement de la France et des Français en faveur des Objectifs de développement durable (ODD).

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infographie
GIEC rapport - Changements climatique 2021 - rapport technique du 6ème rapport du GIEC du groupe 1 - en français
L’objectif de cet article est d’esquisser les contours d’une sociologie de l’éducation au changement climatique. Pour ce faire, nous discutons du récit paradoxal sur l’urgence climatique, selon lequel nos sociétés ne réagissent pas alors qu’elles entendent l’alerte. Notre hypothèse est que ce récit d’(in)action publique, devenu leitmotiv, cadre de manière inadéquate la manière dont nous pensons l’éducation au changement climatique. En examinant la manière dont l’éducation au changement climatique a été traditionnellement pensée et pratiquée, nous constatons qu’elle est le plus souvent basée sur un modèle inadéquat qui rend les gens réticents à recevoir des informations sur le changement climatique et crée un fossé entre les attitudes et les comportements. Cependant, nous identifions aussi la montée en puissance de nouvelles façons d’envisager l’éducation au changement climatique. Recourant souvent à l’art, celles-ci semblent prometteuses car rendant sensibles et tangibles les transformations en cours elles pe
Les forêts françaises couvrent 31% du territoire métropolitain. Elles contribuent de multiples façons au bienêtre humain (production de bois, purification de l’air et de l’eau, maintien des sols, habitat pour la biodiversité, alimentation, santé, activités récréatives, etc.) et participent aux Objectifs de Développement Durable fixés par l’ONU. En particulier, la France s’étant engagée à atteindre la neutralité carbone dès 2050, le rôle de puits et de stockage de carbone des forêts est considéré comme un élément majeur de sa Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC). Depuis quelques années, les forêts françaises, dont la surface n’avait cessé de croître depuis plus d’un siècle, connaissent, de façon inquiétante, une diminution de productivité, des dépérissements massifs et un risque incendie accru. Le changement climatique en cours met ainsi en péril les ressources forestières et leur contribution attendue pour préserver la biodiversité, favoriser le développement rural et la bioéconomie, renforcer la production
L’Agenda 21 local de la commune de Saint-Gilles (Bruxelles, Belgique) est désormais remplacé par le Plan Climat Saint-gillois (PCSG) qui s’articule autour de trois axes: l’énergie, la mobilité et la nature. Ce Plan est complété par la présente étude qui effectue : 1) la synthèse des perspectives climatiques pour la Belgique et Bruxelles à l’horizon 2050-2100 pour les principaux aléas concernés par le changement climatique ; 2) l’analyse des risques et vulnérabilités du territoire de Saint-Gilles en lien avec le changement climatique et l’identification des inégalités environnementales corollaires.
Un guide sur l’attribution pour les journalistes - traduction
Contribution du Groupe de travail I au sixième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat - traduction officielle
Météo, climat et GIEC Quel que soit l’endroit où nous habitons, nous vivons tous avec la météo : comment les conditions de notre atmosphère évoluent au fil des minutes, des heures, des jours et des semaines. Nous vivons également tous avec le climat, c’est-à-dire, en un lieu donné, l’ensemble des caractéristiques météorologiques moyennes sur plusieurs décennies. On parle de changement climatique lorsque ces conditions moyennes commencent à se modifier, du fait de causes naturelles ou du fait des activités humaines. La hausse des températures, les variations des précipitations, l’intensification de phénomènes météorologiques extrêmes sont autant d’exemples de changements climatiques, parmi bien d’autres caractéristiques
L'unité de travail du Groupe I du GIEC/@IPCC_CH a produit un "Résumé tout public" clair et concis 🙏, je me suis permis d'en faire une traduction citoyenne. Pour les profs, les gnomes, les décideurs, les élus, chefs d'entreprise, le voisin, etc. Enjoy!😉 Yann Webb
En toute transparence, voici les points clés de ma présentation #climat au séminaire de rentrée gouvernemental
Différentes pressions s’exercent sur l’espace alpin, où on observe une augmentation moyenne de la température de 2°C depuis 1950, ce qui entraîne un déficit hydrique, de nouveaux parasites, et impacte les arbres des forêts et de l’espace urbain. On sait également que les forêts ne peuvent pas s’adapter aussi rapidement que les changements climatiques interviennent.
« Paris face au changement climatique » : c’est le titre d’un essai intéressant paru ce mois-ci aux éditions de l’Aube. L’auteur, Franck Lirzin, a été l’un des dirigeants du groupe immobilier Gecina. Voici ci-dessous les éléments que j’en retiens.
Plateforme wallonne pour le GIEC - Lettre n°24 - Édition spéciale - Février 2022 - Aperçu du Résumé pour les décideurs
Des recherches menées par le FMI et d’autres organismes indiquent que les coûts publics d’adaptation atteindront environ 0,25 % du produit intérieur brut mondial par an au cours des prochaines décennies. Si ces estimations peuvent sembler acceptables à l’échelle mondiale, elles ne reflètent pas l’ampleur du défi auquel sont confrontés de nombreux pays pauvres et vulnérables. Nous estimons que les besoins annuels dépasseront 1 % du PIB dans une cinquantaine de pays à faible revenu et en développement au cours des dix prochaines années.
L’Institut de l’économie pour le climat ( I4CE – Institute for climate economics) est une association experte de l’économie et de la finance dont la mission est de faire avancer l’action contre les changements climatiques.
Comment programmer la sortie des énergies fossiles alors que celles-ci ne font pas partie de la négociation sur le changement climatique ?
deux questions : 1/ Le changement climatique a-t-il sur eux des incidences émotionnelles, si oui lesquelles, et celles-ci ont-elles évolué dans le temps ? ; 2/ Comment perçoivent-ils le sujet de l’écoanxiété (l’angoisse liée au changement climatique et aux dégradations écologiques, qui fait de plus en plus parler, s’agissant des jeunes générations mais pas seulement), et estiment-ils avoir un rôle à jouer sur ce sujet en tant que climatologues ?
L'agriculture est prise dans une boucle vicieuse, car l'agriculture industrielle est à la fois le moteur du changement climatique et en souffre. Pour nous aider à sortir de la crise climatique et à maintenir la production alimentaire, les entreprises de biotechnologie prétendent avoir la réponse : de nouveaux organismes génétiquement modifiés (OGM) . Ce nouveau briefing des Amis de la Terre Europe démystifie cette fausse promesse qui fait obstacle à des solutions réelles et déjà éprouvées comme l'agroécologie.
Elle donne un aperçu du Résumé pour les décideurs du rapport, sous la forme de ses 14 messages clés. Cet automne, une lettre plus substantielle sera consacrée à ce nouveau rapport de près de 4000 pages, mais vous disposez ainsi déjà de l'essentiel, en français (la traduction officielle paraîtra dans plusieurs mois).
SI vous vous êtes déjà demandé quel était le lien entre la montée du niveau des océans et le changement climatique, nous espérons que cette planche vous aidera à y voir plus clair. Nous avons bénéficié de l'aide d'Anny Cazenave, chercheuse CNES au LEGOS (Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales), membre de l’Académie des sciences et l’un des principaux auteurs du chapitre « Élévation du niveau de la mer » du 5e rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).
L'Accord de Paris signé en décembre 2015 lors de la COP 21 a pour objectif – central et ultime – de « contenir l'élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre l'action menée pour limiter l'élévation de la température à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels ». Toutes les Parties à la Convention Climat se sont accordées sur cet objectif, et y contribuent, appuyées par l’ensemble des acteurs non étatiques, par différents types d'engagements et d'instruments de suivi...
Le dossier thématique propose des séquences d'enseignement-apprentissage sur le changement climatique, la protection du climat et la politique climatique destinées aux 2e et 3e cycles de l'enseignement obligatoire et aux degrés postobligatoires, qui ont été développées, testées et finalisées sur la base des connaissances scientifiques les plus récentes.
Bien que les acteurs locaux soient les premiers à subir les conséquences des changements climatiques, il ne leur est pas toujours facile de comprendre les phénomènes en cause et de faire des choix d’actions pertinents. En se basant sur des études menées au Canada et en Équateur, cet article montre à quel point il est important de connaître les besoins de formation des différentes communautés et d’adopter des approches et stratégies éducatives appropriées.
Figurant comme une des obligations de l’Accord de Paris ratifié en 2016, l’éducation au changement climatique est un outil précieux pour agir à grande échelle sur les comportements et les choix des sociétés.
A la lumière de travaux internationaux, ce dossier de veille s’attache à mieux comprendre la complexité d’une éducation au changement climatique (ECC) qui apparait aujourd’hui plus que jamais nécessaire.
La marche persistante d’un climat en réchauffement se manifeste par une multitude de changements continus et progressifs. Les niveaux de CO2 dans l’atmosphère. La teneur en chaleur des océans. L’élévation du niveau de la mer à l’échelle mondiale. Chacune s’élève d’année en année, alimentée par les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine. Et si les records climatiques sont régulièrement battus, l’impact cumulatif de ces changements pourrait également entraîner des changements radicaux et irréversibles dans des parties fondamentales du système terrestre.
Une stratégie de protection des baleines peut limiter les gaz à effet de serre et le réchauffement climatique