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The Energy Institute is, as of 2023, the home of the Statistical Review of World Energy, published previously for more than 70 years by bp. The Statistical Review analyses data on world energy markets from the prior year. It has been providing timely, comprehensive and objective data to the energy community since 1952.

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Evidence shows a continuing increase in the frequency and severity of global heatwaves1,2, raising concerns about the future impacts of climate change and the associated socioeconomic costs3,4. Here we develop a disaster footprint analytical framework by integrating climate, epidemiological and hybrid input–output and computable general equilibrium global trade models to estimate the midcentury socioeconomic impacts of heat stress. We consider health costs related to heat exposure, the value of heat-induced labour productivity loss and indirect losses due to economic disruptions cascading through supply chains. Here we show that the global annual incremental gross domestic product loss increases exponentially from 0.03 ± 0.01 (SSP 245)–0.05 ± 0.03 (SSP 585) percentage points during 2030–2040 to 0.05 ± 0.01–0.15 ± 0.04 percentage points during 2050–2060. By 2060, the expected global economic losses reach a total of 0.6–4.6% with losses attributed to health loss (37–45%), labour productivity loss (18–37%) and i
L'Allemagne s'est fixé l'objectif ambitieux d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2045, en misant essentiellement sur le développement des énergies renouvelables et des gains d'efficacité énergétique. Dans l'analyse ci-après (en anglais) publiée le 30 juin par l'Oxford Institute for Energy Studies, Ralf Dickel(1) « montre pourquoi, pour l'Allemagne, une approche entièrement renouvelable et principalement électrique pour atteindre zéro émission nette d'ici 2045 ne fonctionnera pas, et ne permettra pas de maintenir un approvisionnement énergétique fiable ». Il souligne à ce titre le rôle essentiel du captage et de la séquestration du CO2 dans le cas allemand. L'auteur s'interroge en particulier sur les possibilités et infrastructures nécessaires pour exporter le CO2 capté sur le territoire allemand vers la Norvège.
En novembre 2020, la Commission européenne a présenté une stratégie visant à développer massivement l'éolien offshore dans l'UE, avec un objectif non contraignant de 300 GW cumulés au sein des différents États membres à l'horizon 2050 (et un objectif intermédiaire de 60 GW éoliens offshore en 2030)(1). En l'état des politiques actuelles et du cadre juridique, l'UE ne pourra toutefois porter la puissance installée potentielle de son parc éolien offshore qu'à 90 GW d'ici la moitié du XXIe siècle, selon les estimations de la Commission. Cette dernière réfléchit ainsi aux moyens de faciliter ce déploiement de l'éolien en mer, en « mettant davantage de pression sur les États membres », expliquent Elin Akinci et Siddarth Iyer dans l'analyse ci-après (en anglais) publiée le 9 juin par l'Oxford Institute for Energy Studies. Les auteurs y évoquent « les défis politiques et réglementaires » auxquels est actuellement confrontée l'industrie éolienne offshore et les moyens pour les entreprises du secteur de sur