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Le secteur des transports fait régulièrement l'objet de comparaisons, souvent orientées par les promoteurs de tel ou tel moyen, sur leur impact environnemental. Les uns se réclament parfois plusieurs fois plus vertueux que les autres, et réciproquement, à jeu d'arguments plus ou moins fondés, souvent focalisés sur l'aspect ou le poste sur lequel ils excellent.
Parler d’énergie, oui, mais pas n’importe comment. Il n’existe pas de solution purement technologique. Il faut remettre en question nos besoins sans cesse croissants, pas s’acharner à les assouvir par tous les moyens. Ne miser que sur la réduction des émissions de carbone nous enferme dans une logique de destruction continue des écosystèmes et d’épuisement des ressources.

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Les débats suscités au début de l’année 2023 par l’arrivée de ChatGPT et, aujourd’hui, de plusieurs autres robots conversationnels1 dépassent très largement le cercle des passionnés du numérique. Un peu partout en effet, dans le monde de l’enseignement, on s’essaye à ces outils et il est rare qu’on ne soit pas impressionné par le résultat obtenu.
Dans la foulée de la précédente note de l'IDD « Le pouvoir d'achat énergétique : évolutions 1990-2023 » (version définitive – 9 juillet 2023), cette note complémentaire exploite les données les plus récentes disponibles pour comprendre les tendances en matière de consommation énergétique des ménages. La source de ces données est EUROSTAT1 (qui reçoit les données du SPF Économie). Les données exploitables portent sur la seule période 2004-20222 alors que des bilans énergétiques des ménages sont disponibles depuis 1990. La raison est simple : les données de la consommation ont été révisées avec de nouvelles méthodologies à partir de 2004 mais n'ont pas été revues pour les années 1990-2003 par manque de données sources ; c'est en particulier le cas pour l'électricité pour lequel il y a une rupture de série manifeste entre 2003 et 2004 (voir graphique en annexe).
I l y a quelques mois, les déclarations d’Augustin de Romanet, le patron d’Aéroports de Paris, invitant « les gens à être plus raisonnables » et à faire preuve de modération dans leur usage du transport aérien, ont été remarquées, voire saluées. Dans le même temps, il ajoutait que « sur le long terme, c’est le transport aérien qui sera le système le moins émetteur de CO2 », car « l’infrastructure de l’avion, c’est l’air » et si « vous analysez la quantité de CO2 émise pour faire des voies de chemin de fer, du ballast, vous savez que sur le long terme, le transport aérien est extrêmement vertueux » 1 .
Les prix des énergies consommées par les ménages sont, comme le montre le graphique suivant, en recul depuis la fin 2022. Pour ce qui est de l’électricité, et plus encore du gaz, on peut même parler de chute des prix. Pour les carburants routiers le recul est moindre.
Quatre chercheurs, dont Philippe Ciais, climatologue CEA au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement, se sont penchés sur la santé des forêts françaises, fragilisées par les conséquences du changement climatique et par les activités humaines. Verdict : elles se détériorent à grande vitesse et pourraient bien perdre leur capacité à absorber le CO2. Une étude à lire dans un rapport publié par l’Académie des sciences et l’Académie d’agriculture de France, le 7 juin 2023.
Terrestrial ecosystems have taken up about 32% of the total anthropogenic CO2 emissions in the past six decades1. Large uncertainties in terrestrial carbon–climate feedbacks, however, make it difficult to predict how the land carbon sink will respond to future climate change2. Interannual variations in the atmospheric CO2 growth rate (CGR) are dominated by land–atmosphere carbon fluxes in the tropics, providing an opportunity to explore land carbon–climate interactions3–6. It is thought that variations in CGR are largely controlled by temperature7–10 but there is also evidence for a tight coupling between water availability and CGR11. Here, we use a record of global atmospheric CO2, terrestrial water storage and precipitation data to investigate changes in the interannual relationship between tropical land climate conditions and CGR under a changing climate. We find that the interannual relationship between tropical water availability and CGR became increasingly negative during 1989–2018 compared to 1960–1989
Global CO2 emissions for 2022 increased by 1.5% relative to 2021 (+7.9% and +2.0% relative to 2020 and 2019, respectively), reaching 36.1 GtCO2. These 2022 emissions consumed 13%–36% of the remaining carbon budget to limit warming to 1.5 °C, suggesting permissible emissions could be depleted within 2–7 years (67% likelihood).
The modern agricultural production system relies heavily on the use of synthetic pesticides, but over the course of recent decades various concerns have been raised on the associated negative externalities touching a variety of dimensions, such as human health and the environment. Yet, the magnitude of those effects is still unclear and data availability is scattered and heterogenous across dimensions, regions, and time. The public sector is called upon to develop and implement strategies to face those externalities and their associated social costs. This study aims to provide an assessment of social costs of pesticides in France in the prospect of an integration to the public budget spending, helping public authorities to identify financial flows of public funding with an impact perspective, within a methodological framework based on the social norms at the core of the public system. The results show that the social costs attributable to synthetic pesticide use in France amounted to 372 million euros, of whi
Following record-level declines in 2020, near-real-time data indicate that global CO2 emissions rebounded by 4.8% in 2021, reaching 34.9 GtCO2. These 2021 emissions consumed 8.7% of the remaining carbon budget for limiting anthropogenic warming to 1.5 °C, which if current trajectories continue, might be used up in 9.5 years at 67% likelihood.
Plateforme wallonne pour le GIEC - Lettre n°24 - Édition spéciale - Février 2022 - Aperçu du Résumé pour les décideurs
Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
Les facteurs démographiques à l’œuvre dans les évolutions entre 2002 et 2018. Le vieillissement démographique suscite des craintes budgétaires, notamment en matière de santé ; à cet égard il est utile de disposer de la structure des dépenses de santé par âge et, plus encore, de son évolution.