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TSEB (Transition Sociale Ecologique en Belgique) est un collectif citoyen destiné à réunir citoyen.nes belges et professions autour des enjeux socio-écologiques afin d’apporter des propositions et solutions systémiques concrètes, à la hauteur de l’indispensable changement de notre société. Vous aussi souhaitez un avenir désirable pour les générations actuelles et futures de notre pays ? Alors n’attendez plus et rejoignez-nous pour construire cet autre possible !
Mettre au cœur du pilotage de l’économie des indicateurs alternatifs au PIB qui reflètent mieux l’état de santé sociale et écologique.
L’invasion de l’Ukraine nous a mis face à une conséquence dérangeante de nos modes de vie : notre dépendance aux combustibles fossiles importés. Mais, en réalité, cela fait longtemps que les crises écologiques, économiques et sociales auraient dû nous inciter à questionner notre consommation.
Nous vivons une époque passionnante : nous sommes au cœur de l’effondrement d’une civilisation et au bord de l’émergence d’un monde nouveau que nous espérons plus juste économiquement, socialement et écologiquement. Citoyens parmi bien d’autres, nous sommes désireux de participer à la mouvance sociale, aux changements de comportements, à la recherche de nouvelles structures politiques .
Contre la folie nucléaire et fossile, pour une autre politique énergétique, climatique et sociale.
Cette page présente le projet de sécurité sociale de l'alimentation rédigé par ISF-AgriSTA, mis en ligne pour la première fois en février 2019. Elle est mise à jour régulièrement pour présenter l'avancée des travaux et les liens utiles pour suivre le projet. Bonne lecture !

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Mémoire de Fin d'Études présenté par DUPONT, Victor-Henry en vue de l'obtention du grade académique de Master en Sciences et Gestion de l'Environnement Finalité Gestion de l’Environnement M-ENVIG Année Académique : 2022-2023
En septembre 2022, Laurent Lievens annonçait dans une longue lettre son choix de quitter la Louvain School of Management (LSM), l’école de gestion rattachée à l’UCL.
Comprendre les 739 décès de juillet 1995 requiert ce que l’auteur appelle une « autopsie sociale », qui consiste, en suivant la métaphore organiciste, à disséquer les différents « organes sociaux de la ville et [à] identifier les conditions » (p. 64) qui ont conduit à la mort d’autant de personnes. Dans une veine résolument critique, il s’agit d’ébranler le « monopole de l’explication, de la définition et de la classification officielles des questions de vie et de mort » (p. 64) que détiennent les institutions politiques et médicales....
Le vocable « écoanxiété » a récemment fait son entrée dans le discours médiatique, celui des mouvements sociaux et au sein des milieux éducatifs. Si le milieu de la recherche n'est pas en reste, trop peu d'écrits, particulièrement en français, se sont penchés sur le phénomène que le terme « écoanxiété » tente de saisir et sa prise en compte en éducation. En vue de contribuer à combler cet écart, cet article mobilise des perspectives ancrées en psychologie et en sociologie critique, fondées sur une recension d’écrits et les résultats d’une recherche empirique exploratoire. Il a pour objectifs 1) de clarifier les contours de cette notion, 2) d’exposer certaines stratégies de régulation de l’écoanxiété et les enjeux qui y sont associés, et 3) de fournir des pistes de réflexion pour l’intervention en éducation relative à l’environnement (ERE).
Le dernier rapport du GIEC réaffirme que nous n’avons plus qu’une dizaine d’années avant de dépasser le quota d’émissions de gaz à effet de serre (GES) menant à une élévation des températures globales à 1,5°C. Face à l’urgence de la situation, les jeunes s’engagent pour le climat et font entendre leur voix en demandant une justice tant climatique que sociale. Dans ce contexte, la communication est clé pour mobiliser autour de ces enjeux.
En 10 ans d’existence, la coopérative Agricovert a rassemblé la confiance de dizaines de producteurs (maraichers, céréaliers, éleveurs…) ainsi que de consommateurs. Une initiative basée sur la collaboration et qui base son organisation sur les principes de l’économie sociale.
Exploration de la situation sociale des personnes dites « électrosensibles », dont le corps et la santé souffrent des rayonnements des technologies sans fil. Dans cette situation, toutes les dimensions de l’existence sont profondément perturbées.
Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien.
Les coopératives d'énergie renouvelable ne cessent de se multiplier en Belgique, comptant toujours davantage de membres. Maxime Lebrun a voulu savoir si ces coopératives sont de nature à corriger les défauts des structures classiques de production d'énergie renouvelable (position dominante de quelques firmes, manque de confiance du consommateur, informations peu disponibles, etc.). Il a d'abord dressé un inventaire des valeurs et principes des coopératives en question. Il a ensuite donné un aperçu des différentes coopératives présentes en Belgique. L'originalité de son approche est d'avoir questionné ces structures sous un regard économique pluriel, tout en utilisant également l'apport des sciences sociales. Son travail révèle l'importance du capital social (confiance des coopérateurs, sentiment d'appartenance à une communauté et engagement dans l'action collective) dans l'adoption et l'acceptabilité des énergies renouvelables. Il présente les coopératives comme des modèles hybrides d'organisation