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Lors de la COP15 qui s’est tenue à Montréal du 7 au 19 décembre 2022, le Collectif COP15 de la société civile québécoise, sous le leadership de la SNAP Québec, a organisé une conférence internationale sur les causes sous-jacentes responsables de la perte de biodiversité. L’Appel de Montréal a été lancé à la suite de cet événement, comme une invitation aux parties prenantes du monde entier à poursuivre et accélérer la réflexion sur les solutions permettant la mise en œuvre de changements à un modèle économique et un système de valeurs dommageables pour la nature lors des futures COP, biodiversité et climat confondues.
Il y a le feu à l’océan. L’océan n’a jamais été aussi chaud, pollué et dévasté par les pêches industrielles. Les courants océaniques qui dictent la régulation du climat sont à risque d’effondrement. Les canicules marines explosent, les baleines meurent de faim. Si l’océan tombe, nous tombons avec lui. Restaurer la santé de l’océan n’est pas une option, c’est un impératif. Protéger l’océan n’est pas compliqué, il suffit d’arrêter de le détruire. Exigeons du pouvoir politique qu’il protège l’océan et l’humanité. Notre survie en dépend. Rejoignez notre coalition pour agir avant qu’il ne soit trop tard. Une coalition, c’est mieux qu’une pétition. C’est la formation d’une communauté qui agira jusqu’à la victoire.
Tous les numéros à télécharger librement ci-dessous !
Chercheur in-terre-dépendant et auteur
Si vous venez sur LIMIT ce n’est pas pour qu’on vous caresse dans le sens du poil et ça tombe bien car un nouveau rapport scientifique est sorti et va demander à ce que vous attachiez solidement vos ceintures. Pensez déjà à qui vous allez partager cet article pour qu’il passe aussi une bonne journée. …
Ils ont enfin décidé de s’occuper sérieusement de notre environnement. (On espère). Jeudi dernier, l’Union européenne et le Parlement européen ont trouvé un terrain d’entente pour une loi qui va changer la donne et inédit dans notre civilisation thermo-industrielle qui éclate la planète pour construire des supermarchés, des routes et des parking à la con.Leur …
Une exposition itinérante de médiation scientifique qui aborde les enjeux du climat et de la biodiversité. Exposition tous publics.
We Are Nature est issue d’une mobilisation citoyenne portée par de nombreux collectifs citoyens et associations qui agissent pour défendre la nature bruxelloise, dans l’intérêt de tous et en premier lieu des personnes et des groupes les plus vulnérables.
If Nature were to draw a map of the world, what would it look like? One Earth presents a novel biogeographical framework called Bioregions 2023, which delineates 185 discrete bioregions organized within the world's major biogeographical realms.
La Fabrique des Consom'Acteurs: vers une déconsommation des productions industrielles, pour un consommation active, citoyenne, raisonnable et respectueuse de notre environnement.
Inauguré en 2019, le projet Pot'Ingé est à l'initiative d'un petit groupe de doctorant·e·s de la Faculté des Sciences Appliquées. L'équipe s'est vite agrandie: une vingtaine de membres se partagent leurs idées et viennent régulièrement entretenir la parcelle située à deux pas du B52. Ce projet collectif souhaite conscientiser la communauté universitaire sur la biodiversité, les circuits courts et le développement durable.
A qui s’adresse Ecotera ? Ecotera ambitionne de transformer un ancien camping de 5 ha en un éco-lieu destiné à la villégiature de loisirs et à se préparer en douceur aux défis du monde de demain. Il s’adresse à quiconque souhaite retrouver une harmonie avec l’environnement et se réapproprier les connaissances et techniques de nos grands-parents pour apprendre à s’affranchir progressivement des dépendances industrielles. Les membres d’Ecotera construisent leur habitat léger et écologique et forment une communauté donnant une plus grande place à l’humain, aux émotions et à l’intelligence collective. Ils y séjournent les week-ends et congés, voire beaucoup plus mais ne peuvent pas s’y domicilier actuellement. Une manière pour certains d’aller vers la transition sans devoir faire une rupture trop importante d’avec le quotidien.
Ecores est un bureau d’accompagnement et de conseil en développement durable qui accompagne les entreprises, les organisations publiques et les territoires dans la transition vers une économie régénérative. Depuis 2007, EcoRes assure des missions de diagnostic et d’accompagnement, ainsi qu’un large éventail de services liés aux défis de la durabilité (études, formations, activités de coaching …), dans divers domaines d’expertises.
Unir et aider 1 milliard de personnes pour stabiliser le climat et restaurer le vivant.
The Global Tipping Points Report was launched at COP28 on 6 December 2023. The report is an authoritative assessment of the risks and opportunities of both negative and positive tipping points in the Earth system and society. Global Tipping Points is led by Professor Tim Lenton from the University of Exeter’s Global Systems Institute with the support of more than 200 researchers from over 90 organisations in 26 countries.
Le B.A.-BA du climat et de la biodiversité est une formation, proposée par le Cned, permettant à toutes les personnes qui le souhaitent, d’acquérir les connaissances fondamentales sur le changement climatique et la biodiversité. Il est le fruit d’une collaboration entre experts scientifiques reconnus et experts de la pédagogie numérique.
BiodiversiTree est un outil co-financé par l'autorité fédérale et les 3 régions et reçoit l'appui scientifique de l'Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique.
BiodiversiTree is een instrument dat door de federale overheid en de 3 gewesten wordt gefinancierd en wetenschappelijk wordt ondersteund door het Koninklijk Belgisch Instituut voor Natuurwetenschappen.
Ces dernières années, et même s’il s’agit d’un sujet crucial, il faut avouer que le problème écologique a été surtout réduit à la question du changement climatique et ses conséquences, du moins dans la presse et les discussions de comptoir. Pourtant, celui-ci est beaucoup plus vaste et concerne globalement tout ce qui impacte les milieux de vie, les vivants eux-mêmes ainsi que les interactions avec et entre ceux-ci, au point d’entamer des bouleversements irréversibles et extrêmement rapides : bien plus fulgurants que les changements qui proviendraient d’une évolution naturelle des cycles géologiques, biogéochimiques, astronomiques,… Aujourd’hui, ceux-ci mettent en péril les conditions d’habitabilité de notre planète, pas seulement pour nous humains, aussi pour les autres espèces et leurs individus.
ARf est un groupement informel de personnes rassemblées autour de l'importance de la prise en compte de la situation environnementale planétaire catastrophique et des déclins et effondrements à venir. ARf reconnaît l'avalanche d'émotions et de questions qui vient cette prise en compte. Particulièrement, ARf reconnaît le droit à la négativité et est dans l'acceptation inconditionnelle des émotions "négatives" (douloureuses, désagréables, inconfortables) ; pour autant, nous reconnaissons l'importance de la culture régénératrice pour ne pas s'enfermer dans la négativité.
Dérèglement climatique, effondrement de la biodiversité, inventaire des risques et des solutions… Un cours en ligne complet et gratuit
Faisons un rapide bilan. Combien de fois, lors des prises de parole gouvernementales sur les ambitions de l’Accord de Paris, ou lors des affichages en grande pompe des engagements environnementaux soi-disant « ambitieux » des entreprises, avons-nous entendu parler de biodiversité ? Soyons honnêtes : très rarement (ou très succinctement). C’est simple, l’urgence écologique est la plupart du temps traitée sous le prisme unique de l’impact carbone, c’est-à-dire des émissions de gaz à effet de serre – quand ce ne sont pas uniquement celles de CO2 [1]. La course à la neutralité carbone menée par tous les secteurs économiques en est un symptôme révélateur, témoin à la fois de notre refus d’admettre la diversité et l’ampleur de nos impacts (que dire des diverses pollutions causées par nos activités ? Ou des méthodes souvent colonialistes de surextraction de matières premières ?...), et de la méconnaissance générale du fonctionnement systémique du vivant.
We are an interdisciplinary research centre within the University of Cambridge dedicated to the study and mitigation of existential risks
Un Film de la Fondation Européenne pour le droit du vivant
Ces dernières années, des citoyen·ne·s du monde entier sont descendu·e·s dans la rue par millions pour exiger des politiques climatiques et sociales ambitieuses et équitables. Les progrès sont rares et un changement profond et systémique est loin d’être gagné. Pendant ce temps, le climat déraille littéralement sous nos yeux et les conditions de vie de plus en plus de personnes à travers le monde ne cessent de se dégrader. Des grands changements dans l’histoire ont souvent eu lieu après des actes massifs de désobéissance civile. Des gens ordinaires ont choisi de résister et d’enfreindre la loi pour exiger avec détermination le changement, ensemble. C’est exactement ce que nous allons faire. Il est temps de pousser l’ère fossile vers la sortie et de bâtir ensemble un avenir viable et socialement juste.
Les problèmes concernant la biodiversité concernent l'humanité toute entière !
"Parlons des Limites Planétaires."
Chaque thème part d’une situation-mobilisatrice et met en lien les notions abordées. Vous y trouverez des outils pédagogiques pour découvrir la thématique, ainsi que pour passer à l’action et participer aux changements.
Dans ce troisième volet du 6e rapport d’évaluation dédié à l’atténuation du changement climatique, les experts du GIEC plaident pour une réduction immédiate des émissions dans tous les secteurs et proposent des solutions et actions pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C... ou au moins à 2,0 degrés par rapport à l'ère préindustrielle (1850).
L’Association des Encyclopédies de l’Environnement et de l’Énergie (A3E) a été créée sous les auspices de l’Université Grenoble Alpes et de Grenoble INP. Avec l’Encyclopédie de l’environnement & l’Encyclopédie de l’énergie, A3E diffuse des connaissances sous la forme d’articles rédigés par des experts reconnus de l’énergie et de l’environnement. Les membres des comités éditoriaux propres à chacune des encyclopédies veillent à ce qu’elles soient exprimées dans un langage accessible au plus grand nombre, avec la plus grande objectivité possible. A3E met ainsi à disposition du grand public, des enseignants de tous niveaux (écoles, collèges, lycées et universités) et des étudiants, ainsi que des entrepreneurs et de tous les autres acteurs potentiels, des connaissances et informations validées, objectives et accessibles sur les thématiques de l’environnement et de l’énergie. Toutes les disciplines scientifiques et techniques, de la physique à la biologie, l’économie et la sociologie, sont liées dans une vision tra

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Natural ecosystems store large amounts of carbon globally, as organisms absorb carbon from the atmosphere to build large, long-lasting, or slow-decaying structures such as tree bark or root systems. An ecosystem’s carbon sequestration potential is tightly linked to its biological diversity. Yet when considering future projections, many carbon sequestration models fail to account for the role biodiversity plays in carbon storage. Here, we assess the consequences of plant biodiversity loss for carbon storage under multiple climate and land-use change scenarios. We link a macroecological model projecting changes in vascular plant richness under different scenarios with empirical data on relationships between biodiversity and biomass. We find that biodiversity declines from climate and land use change could lead to a global loss of between 7.44-103.14 PgC (global sustainability scenario) and 10.87-145.95 PgC (fossil-fueled development scenario). This indicates a self-reinforcing feedback loop, where higher levels
Les organisations internationales, nationales ou régionales recommandent fréquemment de prioriser la mine secondaire (valorisation des ressources métalliques contenues dans les produits mis au rebut) par rapport à la mine primaire (valorisation des ressources métalliques contenues dans les minerais). Dans ce cadre, la mine secondaire et les concepts associés sont régulièrement présentés comme un modèle alternatif permettant de maintenir les paradigmes socio-économiques actuels tout en réduisant la consommation de ressources et l’empreinte environnementale associée.
Global projections of macroeconomic climate-change damages typically consider impacts from average annual and national temperatures over long time horizons1–6. Here we use recent empirical findings from more than 1,600 regions worldwide over the past 40 years to project sub-national damages from temperature and precipitation, including daily variability and extremes7,8. Using an empirical approach that provides a robust lower bound on the persistence of impacts on economic growth, we find that the world economy is committed to an income reduction of 19% within the next 26 years independent of future emission choices (relative to a baseline without climate impacts, likely range of 11–29% accounting for physical climate and empirical uncertainty). These damages already outweigh the mitigation costs required to limit global warming to 2 °C by sixfold over this near-term time frame and thereafter diverge strongly dependent on emission choices. Committed damages arise predominantly through changes in average tempe
Evidence shows a continuing increase in the frequency and severity of global heatwaves1,2, raising concerns about the future impacts of climate change and the associated socioeconomic costs3,4. Here we develop a disaster footprint analytical framework by integrating climate, epidemiological and hybrid input–output and computable general equilibrium global trade models to estimate the midcentury socioeconomic impacts of heat stress. We consider health costs related to heat exposure, the value of heat-induced labour productivity loss and indirect losses due to economic disruptions cascading through supply chains. Here we show that the global annual incremental gross domestic product loss increases exponentially from 0.03 ± 0.01 (SSP 245)–0.05 ± 0.03 (SSP 585) percentage points during 2030–2040 to 0.05 ± 0.01–0.15 ± 0.04 percentage points during 2050–2060. By 2060, the expected global economic losses reach a total of 0.6–4.6% with losses attributed to health loss (37–45%), labour productivity loss (18–37%) and i
Anthropogenic emissions drive global-scale warming yet the temperature increase relative to pre-industrial levels is uncertain. Using 300 years of ocean mixed-layer temperature records preserved in sclerosponge carbonate skeletons, we demonstrate that industrial-era warming began in the mid-1860s, more than 80 years earlier than instrumental sea surface temperature records. The Sr/Ca palaeothermometer was calibrated against ‘modern’ (post-1963) highly correlated (R2 = 0.91) instrumental records of global sea surface temperatures, with the pre-industrial defined by nearly constant (<±0.1 °C) temperatures from 1700 to the early 1860s. Increasing ocean and land-air temperatures overlap until the late twentieth century, when the land began warming at nearly twice the rate of the surface oceans. Hotter land temperatures, together with the earlier onset of industrial-era warming, indicate that global warming was already 1.7 ± 0.1 °C above pre-industrial levels by 2020. Our result is 0.5 °C higher than IPCC estim
Les débats suscités au début de l’année 2023 par l’arrivée de ChatGPT et, aujourd’hui, de plusieurs autres robots conversationnels1 dépassent très largement le cercle des passionnés du numérique. Un peu partout en effet, dans le monde de l’enseignement, on s’essaye à ces outils et il est rare qu’on ne soit pas impressionné par le résultat obtenu.
Mis en lumière par la chercheuse Elinor Ostrom à la fin du XXe siècle, les communs sont un modèle de gouvernance à part, évitant les écueils de la propriété privée ou de la gestion publique. Une ressource naturelle, un espace public, une forêt, un service, des œuvres créatives, ou l’information peuvent être gérés de façon originale par et pour des citoyen·ne·s d’horizons divers.
Life on planet Earth is under siege. We are now in an uncharted territory. For several decades, scientists have consistently warned of a future marked by extreme climatic conditions because of escalating global temperatures caused by ongoing human activities that release harmful greenhouse gasses into the atmosphere. Unfortunately, time is up. We are seeing the manifestation of those predictions as an alarming and unprecedented succession of climate records are broken, causing profoundly distressing scenes of suffering to unfold. We are entering an unfamiliar domain regarding our climate crisis, a situation no one has ever witnessed firsthand in the history of humanity.
Mode d'emploi de la page du projet juin2024.eu
Background Scientists have raised concerns about whether high-income countries, with their high per-capita CO2 emissions, can decarbonise fast enough to meet their obligations under the Paris Agreement if they continue to pursue aggregate economic growth. Over the past decade, some countries have reduced their CO2 emissions while increasing their gross domestic product (absolute decoupling). Politicians and media have hailed this as green growth. In this empirical study, we aimed to assess whether these achievements are consistent with the Paris Agreement, and whether Paris-compliant decoupling is within reach.
"À chaque fois qu’on évoque un microbe, c’est pour parler d’une maladie alors 95% de nos microbes sont nos amis et nécessaires à notre vie. En réalité, la biodiversité est avant tout microbienne. Pendant trois milliards d'années, il n'y avait que des microbes. Aujourd’hui, on ne sait pas combien il y a de microbes sur la Terre, autrement dit avec qui on habite.
Dans cette note d’analyse, l’Association négaWatt dresse un état des lieux de l’extraction du lithium, de ses impacts et des alternatives possibles à son utilisation. Le lithium est un métal de plus en plus recherché en raison de la demande toujours plus forte pour les véhicules électriques. Les projections indiquent ainsi que la consommation de lithium pourrait être huit fois supérieure à la production minière actuelle mondiale d’ici 2040. Cette augmentation soulève de nombreuses (...)
La Commission européenne a présenté le 5 juillet sa proposition de nouveau cadre législatif pour les nouvelles techniques de modification génétique, qui vise à d’exclure les OGM obtenus par mutagénèse dirigée et cisgenèse des obligations d’évaluation des risques, d’étiquetage, de traçabilité et de contrôle.
Permafrost and glaciers in the high Arctic form an impermeable ‘cryospheric cap’ that traps a large reservoir of subsurface methane, preventing it from reaching the atmosphere. Cryospheric vulnerability to climate warming is making releases of this methane possible. On Svalbard, where air temperatures are rising more than two times faster than the average for the Arctic, glaciers are retreating and leaving behind exposed forefields that enable rapid methane escape. Here we document how methane-rich groundwater springs have formed in recently revealed forefields of 78 land-terminating glaciers across central Svalbard, bringing deep-seated methane gas to the surface. Waters collected from these springs during February–May of 2021 and 2022 are supersaturated with methane up to 600,000 times greater than atmospheric equilibration. Spatial sampling reveals a geological dependency on the extent of methane supersaturation, with isotopic evidence of a thermogenic source. We estimate annual methane emissions from prog
Although humans have long been predators with enduring nutritive and cultural relationships with their prey, seldom have conservation ecologists considered the divergent predatory behavior of contemporary, industrialized humans. Recognizing that the number, strength and diversity of predator-prey relationships can profoundly influence biodiversity, here we analyze humanity’s modern day predatory interactions with vertebrates and estimate their ecological consequences. Analysing IUCN ‘use and trade’ data for ~47,000 species, we show that fishers, hunters and other animal collectors prey on more than a third (~15,000 species) of Earth’s vertebrates. Assessed over equivalent ranges, humans exploit up to 300 times more species than comparable non-human predators. Exploitation for the pet trade, medicine, and other uses now affects almost as many species as those targeted for food consumption, and almost 40% of exploited species are threatened by human use. Trait space analyses show that birds and mammals threaten
10 ans de chiffres-clés par l'Observatoire national de la biodiversité
Terrestrial ecosystems have taken up about 32% of the total anthropogenic CO2 emissions in the past six decades1. Large uncertainties in terrestrial carbon–climate feedbacks, however, make it difficult to predict how the land carbon sink will respond to future climate change2. Interannual variations in the atmospheric CO2 growth rate (CGR) are dominated by land–atmosphere carbon fluxes in the tropics, providing an opportunity to explore land carbon–climate interactions3–6. It is thought that variations in CGR are largely controlled by temperature7–10 but there is also evidence for a tight coupling between water availability and CGR11. Here, we use a record of global atmospheric CO2, terrestrial water storage and precipitation data to investigate changes in the interannual relationship between tropical land climate conditions and CGR under a changing climate. We find that the interannual relationship between tropical water availability and CGR became increasingly negative during 1989–2018 compared to 1960–1989
The stability and resilience of the Earth system and human well-being are inseparably linked1–3, yet their interdependencies are generally under-recognized; consequently, they are often treated independently4,5. Here, we use modelling and literature assessment to quantify safe and just Earth system boundaries (ESBs) for climate, the biosphere, water and nutrient cycles, and aerosols at global and subglobal scales. We propose ESBs for maintaining the resilience and stability of the Earth system (safe ESBs) and minimizing exposure to significant harm to humans from Earth system change (a necessary but not sufficient condition for justice)4. The stricter of the safe or just boundaries sets the integrated safe and just ESB. Our findings show that justice considerations constrain the integrated ESBs more than safety considerations for climate and atmospheric aerosol loading. Seven of eight globally quantified safe and just ESBs and at least two regional safe and just ESBs in over half of global land area are alrea
Disposition des Québécoises et des Québécois envers les défis climatiques
Flash drought, characterized by unusually rapid drying, can have substantial impact on many socioeconomic sectors, particularly agriculture. However, potential changes to flash drought risk in a warming climate remain unknown. In this study, projected changes in flash drought frequency and cropland risk from flash drought are quantified using global climate model simulations. We find that flash drought occurrence is expected to increase globally among all scenarios, with the sharpest increases seen in scenarios with higher radiative forcing and greater fossil fuel usage. Flash drought risk over cropland is expected to increase globally, with the largest increases projected across North America (change in annual risk from 32% in 2015 to 49% in 2100) and Europe (32% to 53%) in the most extreme emissions scenario. Following low-end and medium scenarios compared to high-end scenarios indicates a notable reduction in annual flash drought risk over cropland. Flash droughts are projected to become more frequent unde
L'histoire d'une course technologique fatale contre le thon et la vie marine
Global CO2 emissions for 2022 increased by 1.5% relative to 2021 (+7.9% and +2.0% relative to 2020 and 2019, respectively), reaching 36.1 GtCO2. These 2022 emissions consumed 13%–36% of the remaining carbon budget to limit warming to 1.5 °C, suggesting permissible emissions could be depleted within 2–7 years (67% likelihood).
Ces deux dernières décennies, face à la pression grandissante des populations autochtones et locales, de la société civile et des organisations internationales, le secteur minier a développé une stratégie opérationnelle et politique visant à promouvoir sa capacité à limiter les conséquences de ses activités. Trois leviers ont ainsi été mis en place par l’industrie minière : ...
Gestational exposure to ambient fine particles (PM2.5) increases the risk of stillbirth, but the related disease burden is unknown, particularly in low- and middle-income countries (LMICs). We combine state-of-the-art estimates on stillbirths, and multiple exposure–response functions obtained from previous meta-analyses or derived by a self-matched case-control study in 54 LMICs. 13,870 stillbirths and 32,449 livebirths are extracted from 113 geocoded surveys from the Demographic and Health Surveys. Each stillbirth is compared to livebirth(s) of the same mother using a conditional logit regression. We find that 10-µg/m3 increase of PM2.5 is associated with an 11.0% (95% confidence interval [CI] 6.4, 15.7) increase in the risk of stillbirth, and the association is significantly enhanced by maternal age. Based on age-specific nonlinear PM2.5–stillbirth curves, we evaluate the PM2.5-related stillbirths in 137 countries. In 2015, of 2.09 (95% CI: 1.98, 2.20) million stillbirths, 0.83 (0.54, 1.08) million or 39.7%
L'IGN publie son premier atlas des cartes de l'anthropocène. Une invitation à changer d'échelle pour pouvoir agir.
Volet 2 · Tome 1 - Exploration et exploitation minières en eaux profondes - Webinaire - Jeudi 17 novembre 2022
Depuis 1998, nous publions tous les deux ans le Rapport Planète Vivante qui mesure l'état de la biodiversité sur la planète. Cette année encore, le constat est sans appel. Si nous voulons sauver le vivant, il est crucial de s’accorder, de toute urgence, sur un objectif international ambitieux.
Une boîte à outils pour atterrir - Outil pédagogique
The summary for policymakers (SPM) and the chapters of the Methodological assessment regarding the diverse conceptualization of multiple values of nature and its benefits, including biodiversity and ecosystem functions and services (referred to as the “assessment of the diverse values and valuation of nature”), were approved and accepted respectively by the IPBES Plenary during its ninth session, held from 3 to 9 July 2022 in Bonn, Germany. The background of this assessment dates to 2013, when at its second session (IPBES 2) in Antalya, Turkey, the IPBES Plenary approved the initiation of scoping for a methodological assessment. During the third session of the IPBES plenary, in Bonn, Germany in 2015, the expert group established for scoping the methodological assessment and developing a preliminary guide, was requested to revise the scoping report for the methodological assessment based on comments received following an open review by Governments and stakeholders. At IPBES 4, in Kuala Lumpur, Malaysia in 2016
Persistent heat extremes can have severe impacts on ecosystems and societies, including excess mortality, wildfires, and harvest failures. Here we identify Europe as a heatwave hotspot, exhibiting upward trends that are three-to-four times faster compared to the rest of the northern midlatitudes over the past 42 years. This accelerated trend is linked to atmospheric dynamical changes via an increase in the frequency and persistence of double jet stream states over Eurasia. We find that double jet occurrences are particularly important for western European heatwaves, explaining up to 35% of temperature variability. The upward trend in the persistence of double jet events explains almost all of the accelerated heatwave trend in western Europe, and about 30% of it over the extended European region. Those findings provide evidence that in addition to thermodynamical drivers, atmospheric dynamical changes have contributed to the increased rate of European heatwaves, with implications for risk management and potent