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Poutine

juillet 2025

Donald Trump a accusé Vladimir Poutine de dire "beaucoup de conneries" à propos de l'Ukraine, tout en laissant entendre qu'il souhaitait imposer de nouvelles sanctions à Moscou, lors d'un Conseil des ministres mardi.
La suspension des aides américaines, à Kiev, s’inscrit bien dans les plans militaires du chef du Kremlin : intensifier cet été son offensive en Ukraine et entretenir un conflit sans fin, synonyme de survie de son régime grâce à la nouvelle « stabilité » bâtie sur l’économie de guerre.
Le ministre russe des Transports, Roman Starovoït, démis de ses fonctions lundi par le président Vladimir Poutine, s'est suicidé, a annoncé quelques heures plus tard le Comité d'enquête russe dans un communiqué.
Le président américain Donald Trump s'est dit vendredi "très mécontent" de son appel téléphonique la veille avec Vladimir Poutine, qui n'a pas apporté de progrès pour parvenir à mettre fin à la guerre en Ukraine, estimant que son homologue russe voulait "juste continuer à tuer des gens".
Au lendemain de son dernier échange avec le président russe concernant la guerre en Ukraine, le locataire de la Maison Blanche a concédé vendredi 4 juillet au soir que la situation est «très difficile».
A l’heure du désengagement américain, et où l’attention générale est tournée vers le Moyen-Orient, Kyiv a besoin d’un soutien occidental franc pour espérer une issue au conflit favorable aux Ukrainiens.
Au forum de Saint-Pétersbourg, qui s’est tenu du 18 au 21 juin, le chef du Kremlin a exclu toute entrée en récession, mais les chiffres indiquent bel et bien un ralentissement. Au gouvernement, les voix sont discordantes.

juin 2025

La création de cette cour permettrait de contourner l’impossibilité de juger le «crime d’agression» à la Cour pénale internationale, non reconnue par la Russie.
Au lendemain des attaques ukrainiennes sur le territoire russe, nous avons échangé avec Alain De Neve, chercheur à l'École royale militaire. Si cette opération a fait autant de dégâts que ceux avancés par Kiev, quel impact sur la guerre dans son ensemble ?
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.

mai 2025

Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
Donald Trump, qui pourrait annoncer bientôt de nouvelles sanctions contre la Russie selon des médias américains, a une nouvelle fois laissé éclater mardi sa frustration envers Vladimir Poutine, estimant qu'il "jouait avec le feu".
Donald Trump a affirmé dimanche que Vladimir Poutine était "devenu complètement fou", durcissant le ton contre Moscou après un week-end d'attaques russes meurtrières contre l'Ukraine malgré les appels au cessez-le-feu.
Après un week-end marqué par des attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, le président américain a durci le ton contre Moscou, évoquant même une potentielle «chute de la Russie» si Poutine s’emparait du territoire ukrainien.Comme à son habitude, Donald Trump n’y est pas allé par quatre chemins. «J’ai toujours eu de très bonnes relations avec [le président] russe, Vladimir Poutine, mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement FOU ! Il tue inutilement un grand nombre de personnes, et je ne parle pas seulement des soldats», a écrit dimanche 25 mai le président américain sur son propre réseau, Truth Social, durcissant le ton contre Moscou après un week-end d’attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, et ce malgré les appels au cessez-le-feu.
À la suite du "Mage du Kremlin" son précédent ouvrage qui a remporté un énorme succès public et critique, Giuliano da Empoli, écrivain et conseiller politique, présente "L’Heure des prédateurs" (Gallimard). Il y analyse l’émergence de leaders politiques comme Trump, Poutine, et des figures de la Silicon Valley. Quel rôle l’intelligence artificielle et les géants de la Silicon Valley jouent-ils dans la transformation de la politique et de la société ? Comment le déclin des technos démocraties est-il couplé avec le retour d’une forme politique où se déploient la force et l’agressivité ? Rencontre avec Giuliano da Empoli dans Le Monde en direct.
L’Ukraine a rejeté vendredi la proposition du président russe Vladimir Poutine de créer une zone tampon le long de la frontière ukrainienne. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga estime que ces plans montrent que la Russie n’a aucune intention de mener des pourparlers de paix. "Poutine reste la seule raison de l’effusion de sang actuelle", a-t-il écrit sur X (anciennement Twitter).
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit.
Les présidents américain et russe se sont entretenus ce lundi 19 mai par téléphone pour faire avancer un dossier totalement bloqué par les exigences impossibles de Moscou.
Dans une tribune au « Monde », l’économiste russe Vladislav Inozemtsev et le chercheur ukrainien Mykola Vorobiov constatent que les appels au président russe pour arrêter la guerre ont toujours été peine perdue. Selon eux, il ne consentira à négocier que si la guerre devient dangereuse pour son propre compte.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
Volodymyr Zelensky a accusé ce mardi 20 mai la Russie «d’essayer de gagner du temps» en faisant traîner les discussions en vue d’un cessez-le-feu. Selon Kyiv, au lendemain d’un entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le seul but de Moscou est de «poursuivre» son invasion de l’Ukraine. Dans le même temps, la vice-présidente de la Commission européenne, Kaja Kallas a annoncé l’adoption formelle par l’UE d’un 17e paquet de sanctions contre la Russie.
Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l'Ukraine allaient "démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu" après son appel avec son homologue russe, Vladimir Poutine, lequel n'a cependant pas consenti à un arrêt des combats sans conditions comme réclamé par Washington et Kiev.
Alors qu’une frappe russe sur un minibus de civils a fait 9 morts ce samedi en Ukraine, le président américain, pressé par Emmanuel Macron, a confirmé qu’il parlerait au président russe lundi 19 mai.Encore et encore. Donald Trump a assuré ce samedi 17 mai qu’il parlerait au président russe au téléphone lundi pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine, avant de parler au président ukrainien Volodymyr Zelensky et à plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan. «Les sujets de l’appel seront : mettre fin au “bain de sang”», a déclaré le président américain sur sa plateforme Truth Social.
Au lendemain de discussions sans progrès entre Russes et Ukrainiens à Istanbul, le Kremlin a annoncé, samedi, qu'une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky ne serait "possible" qu'à la seule condition que Moscou et Kiev trouvent des "accords" au préalable. Le président américain Donald Trump a déclaré, par ailleurs, qu'il s'entretiendra lundi avec ses homologues russe et ukrainien.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis vendredi d'accroître la pression sur Moscou jusqu'à ce que le président russe Vladimir Poutine soit "prêt pour la paix" dans les discussions avec l'Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky "était prêt à une rencontre. Le président Poutine ne s'est pas présenté. Cela démontre une chose: le président Poutine ne veut pas la paix", a-t-elle déclaré puis Tirana.
Ancien ministre de la Culture et historien aux vues nationalistes, le conseiller de Vladimir Poutine, Vladimir Medinski, emmène la délégation russe aux négociations de paix avec l'Ukraine à Istanbul, un rôle qu'il a déjà joué en mars 2022, au tout début du conflit. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait mis au défi son homologue russe de se rendre "en personne" à cette rencontre, mais Vladimir Poutine y a envoyé une délégation composée de responsables de second rang et dirigée par M. Medinski.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a jugé vendredi, à son arrivée à Tirana (Albanie) pour une réunion de la Communauté politique européenne, qu'il était temps d'intensifier la pression sur la Russie jusqu'à ce que Vladimir Poutine soit prêt pour la paix.
Des délégations russe et ukrainienne sont attendues jeudi à Istanbul, en Turquie, pour y mener leurs premiers pourparlers directs depuis le printemps 2022, bien que les modalités de cette rencontre, à laquelle le président russe Vladimir Poutine a refusé de participer, restent peu claires à ce stade.
Le président brésilien, présent aux cérémonies commémoratives du 9 mai à Moscou, a exhorté son homologue russe à se rendre en personne aux négociations sur l’issue de la guerre en Ukraine qui doivent se dérouler ce jeudi en Turquie.
Donald Trump a évoqué mercredi la "possibilité" de se rendre en Turquie si le président russe Vladimir Poutine s'y déplace pour des pourparlers avec le chef d'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky.
La Russie a refusé d’annoncer mardi si le président russe se rendrait à Istanbul pour y rencontrer son homologue ukrainien dans le cadre de négociations directes pour mettre fin au conflit.
Le silence du président russe Vladimir Poutine face à la proposition du président ukrainien Volodymyr Zelensky de le rencontrer jeudi à Istanbul signifie que le Russe a "probablement été surpris" par cette proposition, a commenté mardi la porte-parole en chef de la Commission européenne.
Des images satellites dévoilent une préoccupante activité russe près de la frontière finlandaise, avec des méthodes similaires à celles utilisées avant l'invasion de l'Ukraine. De quoi inquiéter l'OTAN ?
En proposant à Vladimir Poutine une rencontre en Turquie jeudi, Volodymyr Zelensky a réussi à le mettre dos au mur. Un énième tour de force qui pourrait amadouer les États-Unis et peser lourd dans le bras de fer diplomatique.
Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations "directes" et "sans condition préalable" avec l'Ukraine dès jeudi à Istanbul, tout en repoussant à ces discussions toute possibilité de cessez-le-feu, pourtant exigé par les alliés de Kiev. De son côté, Volodymyr Zelensky attend un engagement de Moscou en faveur d'une trêve, tout en se disant "prêt" à entamer des pourparlers. Il évoque des "signes positifs" laissant penser que la Russie commence à envisager la fin du conflit.
Le président russe a proposé dans la nuit de samedi à dimanche des négociations «directes» et «sans condition préalable» entre la Russie et l’Ukraine jeudi 15 mai à Istanbul.Vladimir Poutine n’aime pas les ultimatums. Rien de surprenant donc qu’il rejette celui que lui ont lancé les Occidentaux, venus rendre visite samedi 10 mai à Volodymyr Zelensky à Kyiv. Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre Donald Tusk, portant la volonté de la «coalition des volontaires» et avec la bénédiction de Donald Trump, ont exigé que la Russie accepte, sans conditions, dès lundi, un cessez-le-feu complet de 30 jours. Faute de quoi les alliés se sont accordés sur la nécessité de renforcer les sanctions contre Moscou et l’aide militaire à l’Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré dimanche qu'il "attendrait" son homologue russe Vladimir Poutine en Turquie, où ce dernier a proposé plus tôt de tenir des discussions à partir de jeudi."Nous attendons un cessez-le-feu total et durable, à partir de demain, pour fournir une base nécessaire à la diplomatie", a-t-il écrit sur X, ajoutant: "J'attendrai Poutine en Turquie jeudi. Personnellement. J'espère que cette fois, les Russes ne chercheront pas d'excuses".
Le président ukrainien a répondu positivement ce dimanche 11 mai à la proposition de Vladimir Poutine, tout en affirmant attendre l’application d’un «cessez-le-feu complet» dès lundi.«J’attendrai Poutine en Turquie jeudi. Personnellement. J’espère que cette fois-ci, les Russes ne chercheront pas d’excuses.» Ce dimanche 11 mai au soir, Volodymyr Zelensky a annoncé sur X avoir accepté la proposition émise dans la nuit de samedi à dimanche par Vladimir Poutine d’entamer des négociations «directes» à Istanbul dès le 15 mai.
Le président ukrainien a pris au mot le maître du Kremlin qui réclamait une rencontre avant toute trêve. Il l’attendra jeudi 15 mai en Turquie, «en personne». Un week-end à rebondissements qui ne permet certainement pas de s’attendre à un arrêt rapide de la guerre de la Russie en Ukraine, ni même à l’installation durable d’un cessez-le-feu. Avec un animal politique aussi torve que Vladimir Poutine, ce serait aller trop vite en besogne.
L'Ukraine et ses alliés européens ont approuvé la création d'un tribunal pour juger la Russie pour son invasion. Kiev espère que ce tribunal spécial permettra de condamner en justice le président russe Vladimir Poutine, a déclaré vendredi le chef de la diplomatie ukrainienne à Lviv (ouest). "Pour nous, le plus important est de préserver le principe de l'inévitabilité de la punition pour tous, y compris (...) le président russe", a déclaré Andriï Sybiga. "Ce tribunal est en train d'être mis en place pour prononcer des peines appropriées à l'avenir", a-t-il ajouté.
Alors qu’à Moscou se déroulait le défilé de la victoire, vendredi 9 mai, 35 délégations étrangères se sont réunies à Lviv, en Ukraine, pour annoncer la mise en place d’une instance destinée à juger les dirigeants de la fédération de Russie.
Les autorités ukrainiennes ont fait état jeudi de nouveaux bombardements en déput du cessez-le-feu unilatéral annoncé par le président russe Vladimir Poutine, et qui devait entrer en vigueur à minuit dans la nuit de mercredi à jeudi.
Malgré la guerre qu'il a déclenchée contre l'Ukraine, le président russe Vladimir Poutine croit en la réconciliation avec le pays voisin.Il a affirmé que Moscou avait les moyens militaires de mener la guerre "à sa conclusion logique, avec le résultat nécessaire pour la Russie".Le Kremlin exige non seulement que l'Ukraine renonce à adhérer à l'Otan, mais il revendique également de vastes régions de l'État voisin.
Dans des propos diffusés ce samedi 3 mai, le président ukrainien estime aussi que Donald Trump voit désormais les choses «un peu différemment» depuis leur entrevue au Vatican, le 26 avril.

avril 2025

Donald Trump a estimé mardi que Vladimir Poutine voulait la paix en Ukraine, quelques jours après avoir émis des doutes sur les intentions de son homologue russe.
Le président russe, Vladimir Poutine, a reconnu, pour la première fois, que des soldats nord-coréens avaient participé aux combats dans la région de Koursk contre l’Ukraine. La fin d’un secret de Polichinelle qui intervient à un moment très opportun pour Moscou et Pyongyang qui signent, aux yeux du monde, une victoire militaire commune sur le front ukrainien.
Volodymyr Zelensky a mis en garde mardi contre toute concession territoriale à Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre, alors que Washington semblerait envisager la reconnaissance de régions occupées par la Russie.
Le président américain Donald Trump exhorte Kiev et Moscou à conclure un cessez-le-feu et un accord de paix, trois ans après le début d'une offensive russe ayant déjà fait des dizaines de milliers de morts civils et militaires. "A partir de minuit entre le 7 et le 8 mai, et jusqu'à minuit entre le 10 et le 11 mai, la partie russe annonce un cessez-le-feu", a indiqué le Kremlin dans un communiqué.
Le président américain a condamné jeudi une nouvelle vague de frappes meurtrières russes sur l’Ukraine. Une critique “rare” adressée à Moscou, remarque la presse américaine, qui estime que l’administration Trump est pressée d’obtenir un accord de paix pour redorer son blason, après le “fiasco des droits de douane”.
Vladimir Poutine a assuré, lundi, être prêt à parler directement avec le "régime de Kiev" pour un éventuel arrêt des frappes sur les infrastructures civiles. C’est la première fois que le président russe ouvre la porte à des négociations bilatérales avec l’Ukraine. Une proposition qui peut représenter un piège pour Kiev.
Le vice-président américain J.D. Vance a déclaré mercredi que Moscou et Kiev doivent parvenir à un accord, faute de quoi Washington mettra fin à ses efforts de médiation. Selon la Maison Blanche, la Russie et l'Ukraine vont devoir faire des "échanges territoriaux" dans le cadre de négociations de paix. L'"intégrité territoriale" de l'Ukraine reste une "exigence très forte" des Européens, a rétorqué l'Élysée alors qu'une nouvelle réunion des alliés se tient à Londres.
La guerre en Ukraine aurait-elle pris une tournure décisive ce mardi 22 avril ? Nos confrères du Financial Times, qui s'appuient sur trois sources, ont affirmé que Vladimir Poutine aurait proposé d'arrêter les attaques russes sur les lignes de front ukrainiennes.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné ce samedi 19 avril à ses troupes d’observer un cessez-le-feu en Ukraine à l’occasion de Pâques, à partir de 15 heures GMT (17 heures à Paris) et jusqu’à la nuit de dimanche à lundi, appelant Kyiv à faire de même.- […] Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé dans la foulée samedi une «tentative de jouer avec les vies humaines» de la part de son homologue russe Vladimir Poutine. «Une nouvelle tentative de Poutine de jouer avec les vies humaines», a indiqué Volodymyr Zelensky sur Telegram, soulignant que «des drones d’attaque russes ont été détectés» dans le ciel ukrainien. Il n’a toutefois pas formulé clairement la position de Kyiv au sujet de ce cessez-le-feu.
L'ordre donné le 18 mars dernier par le président russe Vladimir Poutine d'arrêter pendant 30 jours les frappes sur les sites énergétiques en Ukraine "a expiré", a annoncé vendredi le Kremlin. "Le mois (de moratoire) a en effet expiré. Pour le moment, il n'y a pas eu d'autres instructions de la part du commandant en chef suprême, le président Poutine", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien, en réponse à une question de l'AFP. Il a ainsi acté la fin, côté russe, de ce fragile moratoire que Moscou et Kiev se sont accusés mutuellement de violer, tout en saluant cette trêve partielle comme "un certain progrès" sur le chemin vers un règlement du conflit en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.

mars 2025

Organiser une nouvelle élection en Ukraine sous l’égide de l’ONU, rien de moins. Vladimir Poutine a évoqué vendredi 28 mars l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, avec le contrôle des Nations unies, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités. Et ce, alors que, loi martiale oblige, le scrutin pour désigner le successeur de Volodymyr Zelensky, en mai 2024, a été reporté sine die.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont échangé au téléphone à propos de la perspective d'un accord sur la mer Noire, a annoncé vendredi le Kremlin, qui réclame la levée de sanctions occidentales affectant ses exportations agricoles avant tout engagement à une trêve avec l'Ukraine dans la zone.
"Il s'agit de projets sérieux de la part des États-Unis concernant le Groenland, projets qui ont des racines historiques anciennes", a déclaré M. Poutine lors d'une conférence à Mourmansk consacrée à l'Arctique.
Après deux jours de discussions en Arabie saoudite sous l’égide des Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie ont accepté un cessez-le-feu maritime… que le Kremlin a aussitôt conditionné à la levée de certaines sanctions occidentales.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
Vladimir Poutine et Donald Trump se sont accordés mardi sur une trêve limitée aux infrastructures énergétiques mais leur conversation téléphonique très attendue s'est conclue sans percée majeure en vue d'un réel accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Donald Trump, qui se targue d'avoir une relation privilégiée avec le maître du Kremlin, tentera mardi de rallier Vladimir Poutine à son projet de trêve en Ukraine, alors que Moscou a posé des conditions jugées inacceptables par Kiev.
Les présidents de la Russie et des États-Unis se sont entretenus longuement ce mardi par téléphone. Le Kremlin a accepté une pause de trente jours des frappes russes et ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques. Un résultat qui paraît en deçà des espoirs de la Maison-Blanche, selon la presse d’outre-Atlantique.
Le président américain Donald Trump a indiqué dans la nuit de dimanche à lundi qu'il parlerait mardi à son homologue russe Vladimir Poutine dans le cadre du rapprochement américano-russe pour mettre un terme à la guerre en Ukraine, évoquant des "partages" entre Moscou et Kiev."Je parlerai au président Poutine mardi", a-t-il indiqué à des journalistes à bord de l'avion présidentiel, précisant que "beaucoup de choses ont déjà été discutées avec les deux parties, l'Ukraine et la Russie".
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
Vladimir Poutine a appelé vendredi les soldats ukrainiens à déposer les armes dans la région de Koursk, en écho à Donald Trump qui juge les discussions sur une trêve "productives" quand Kiev accuse Moscou de "chercher à enliser tout le monde".
En posant des conditions inacceptables à la proposition de cessez-le-feu des États-Unis tout en affirmant vouloir dialoguer avec Donald Trump, le président russe emploie une tactique éprouvée : gagner du temps.
Peu atteinte depuis 2022, la capitale russe a été la cible de centaines de drones ukrainiens dans la nuit de lundi à mardi 11 mars, à quelques heures de négociations en Arabie Saoudite pour des accords de paix en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le secrétaire d’État américain Marco Rubio sont en Arabie saoudite pour des discussions mardi qui pourraient s’avérer cruciales sur la guerre avec la Russie, Rubio jugeant prometteuse une proposition ukrainienne de cessez-le-feu partiel. Des responsables ukrainiens et américains doivent se retrouver à Jeddah pour discuter des moyens de mettre fin au conflit entre l’Ukraine et la Russie.
Attaques contre la science ou croisades contre les universités : depuis l’investiture de Donald Trump aux États-Unis, les mesures antisciences se multiplient. Pourquoi la recherche scientifique dérange tant le président des États-Unis et d’autres autocrates comme Vladimir Poutine, Elon Musk ou Javier Millei ? Chronique sur un état d’esprit qui ne veut plus de la nuance, dans Le Monde en direct.
Nate Vance s'est exprimé au sujet des récents propos de son cousin JD Vance et du président américain Donald Trump. ... Nate Vance explique : "Donald Trump et mon cousin croient clairement qu'ils peuvent apaiser Vladimir Poutine. Ils ont tort. Les Russes ne sont pas près d'oublier notre soutien à l'Ukraine. Nous sommes les idiots utiles de Vladimir Poutine."
Préoccupé par l'agression russe et les actes et affirmations de Donald Trump, c'est un Donald Tusk inquiet qui affirme que la Pologne se penche sur la question des armes nucléaires.
Des informations corroborées par différentes sources affirment que des investisseurs américains voudraient racheter Nord Stream 2.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, mais a épargné Vladimir Poutine après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Il est fort probable que l’entente entre Donald Trump et Vladimir Poutine portant sur le dépeçage de l’Ukraine et l’éviction de l’indomptable Zelensky au nom d’une « paix » future ait été conclue en secret bien avant le clash spectaculaire à la Maison-Blanche. Pour Françoise Thom, l’Amérique de Trump procède en accéléré au changement d’un pays démocratique en un pays s’inspirant du modèle poutinien.
La plupart des médias ukrainiens, même ceux qui lui sont peu favorables, soutiennent Volodymyr Zelensky après l’échauffourée du Bureau ovale et critiquent sévèrement Donald Trump, JD Vance et leur équipe. Mais certains relèvent, aussi, deux erreurs du chef de l’État.
Alors que Washington semble prêt à abandonner l’Ukraine, le soutien de l’UE à Kiev est plus vital que jamais. Pour l’Ukraine, bien sûr, mais aussi pour l’UE elle-même.


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