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exploitation minière
Les ressources minières des fonds marins n’en finissent plus de cristalliser des tensions internationales. Alors que la prochaine session de négociations de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM) doit débuter le 7 juillet, l’autorité onusienne se trouve sous pression. Tandis qu’elle planche encore sur l’élaboration d’un Code minier international pour les fonds marins, elle pourrait fait face à une tentative de passage en force de certains industriels et de leur allié américain.
Le sommet des océans s'achève vendredi à Nice, après cinq jours de discussions et de débats, avec de nombreuses promesses notamment pour une meilleure protection de la haute mer, la lutte contre la pêche illégale ou encore la mise en place d'aires marines protégées. Mais si de nombreux pays ont pris des engagements pour le Grand Bleu, ces avancées devront encore se concrétiser lors des prochains grands rendez-vous.
La conférence de l'ONU sur les océans s'est ouverte lundi à Nice par des appels à la mobilisation et au multilatéralisme pour éviter le chacun-pour-soi dans les eaux internationales, avec en filigrane une dénonciation de la politique unilatérale du président américain Donald Trump, absent du sommet.
Le gouvernement américain a abrogé lundi 1er juin les protections dont jouissait la Réserve nationale pétrolière d’Alaska, un écrin de biodiversité. L’industrie pétrolière s’en est félicitée.
A une semaine du sommet de l’ONU sur les océans, la ministre de la Transition écologique a écrit à ses homologues pour les inviter à faire pression sur deux compagnies d’extraction minière, The Metals Company et Allseas, qui veulent s’allier avec les Etats-Unis de Donald Trump.
Le Parlement ukrainien a ratifié jeudi l'accord "historique" avec les États-Unis sur l'exploitation des ressources naturelles du pays, signé après des semaines de négociations houleuses, a annoncé la ministre ukrainienne de l'Économie.
Alors que l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) a pris du retard sur l'adoption d'un code minier, Donald Trump et le Canadien The Metals Company se sont engouffrés dans la brèche pour lancer la toute première exploitation commerciale minière en fonds marins, au détriment des impacts environnementaux.
Jeudi dernier, le président américain a annoncé lancer l’extraction à grande échelle des métaux présents dans les profondeurs de l’océan, y compris dans les eaux internationales. Une première mondiale qui chamboule le droit de la mer et relance le bras de fer diplomatique sur la préservation de ces écosystèmes uniques au monde.
Figure de la lutte internationale pour la défense des océans, Anne-Sophie Roux revient pour Vert sur le décret signé jeudi dernier par Donald Trump visant à lancer l’exploitation commerciale des fonds marins dans les eaux internationales.
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé mardi avoir déposé une première demande d'exploitation minière des fonds marins auprès des États-Unis. Son objectif : aller puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Depuis l’année dernière, le Venezuela est frappé par une sécheresse redoutable, en grande partie en raison d’un phénomène El Niño plus intense que prévu. La situation dans le pays est difficile, également amplifiée par le déclin des réserves d’eau de l’imposant barrage de Guri, sur la rivière Caroni en raison de l’exploitation des mines de fer. L’objectif du gouvernement Maduro est d’économiser l’eau du barrage servant d’ordinaire à produire pas moins de 75% de l’électricité du pays.
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé vouloir s'allier aux États-Unis pour puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Alors que les négociations reprennent ce lundi 17 mars en Jamaïque dans l’espoir de parvenir à l’adoption d’un code minier encadrant l’extraction minière en haute mer, les scientifiques, poussés par les industriels, tentent de percer les mystères de la biodiversité de ces zones très convoitées.
De plus en plus indispensable dans différents domaines, le cuivre est aujourd’hui très prisé. L’exploitation du célèbre métal rougeâtre doit toutefois évoluer sur le plan environnemental. En effet, les industriels devront absolument trouver un moyen de l’extraire en limitant les pollutions.
Donald Trump a affirmé que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, devait lui rendre visite vendredi pour signer cet accord sur les terres rares, essentielles aux nouvelles technologies et à la défense. Kiev n’a pas encore confirmé officiellement.
Depuis sa diffusion le 9 février, un documentaire controversé sur les sommes engrangées par le Danemark grâce à une ancienne mine du Groenland fait des vagues dans ce territoire autonome, à un mois des élections parlementaires. La polémique pourrait jouer en faveur des indépendantistes.
Cherchant à assurer la pérennité du soutien américain face à l’ennemi russe, le président ukrainien ouvre la porte à une exploitation de ces ressources stratégiques.
Lisbonne nouvelle. Ce vendredi, le Parlement portugais a voté un moratoire qui vise à interdire l’extraction de minerais des grands fonds marins de ses eaux territoriales, jusqu’en 2050. Une telle interdiction serait inédite sur le vieux continent.
Alors que Donald Trump a annoncé le 7 janvier vouloir annexer le Groenland – s'il le faut, par la force – après son investiture à la tête des États-Unis, de nombreuses questions se posent. Le pays, qui regorge de ressources précieuses en eau, en sable, en fer, en or, en nickel, en pétrole… tente de freiner leur exploitation.
Le groupe français exploiterait un gisement débouchant sur une production en 2028. Le projet, qui a mis des décennies à se concrétiser, doit encore être validé par le Parlement mongol, alors que le pays est soumis à la pression de ses voisins russe et chinois.
En manque d’énergies fossiles, le pouvoir turc favorise l’exploitation minière et l’édification de centrales hydroélectriques dans le nord-est rural du pays, malgré l’opposition des habitants concernés.
La République démocratique du Congo a porté plainte contre des filiales d'Apple en France et en Belgique pour "l'exportation et la livraison illégale" à l'international de minerais du pays, via le Rwanda et "au prix de la commission de nombreux crimes", ont annoncé des avocats mardi.
La Bolivie a signé mardi un contrat avec une société chinoise pour la construction de deux usines de carbonate de lithium, a annoncé l'entreprise publique Yacimientos de Litio Bolivianos (YLB).La société Hong Kong CBC Investment, filiale du groupe chinois CATL, plus grand producteur mondial de batteries au lithium, va investir environ un milliard de dollars dans la construction de ces deux usines dans les salines d'Uyuni, dans le sud-ouest du pays.
L’exploitation artisanale et industrielle des minerais pour les technologies et la transition énergétique, le cobalt et le cuivre, expose des femmes à des risques pour leur santé reproductive en République Démocratique du Congo. Des cas de malformations congénitales des fœtus, des enfants morts avant la naissance ou juste après avoir vu le jour, ainsi que des infections génitales se multiplient.
Entre 2018 et 2023, la production du cobalt en RDC est passée de 104.000 tonnes à 170.000. Soit, une augmentation de 63%, due à l’accélération de l’exploitation de ce minerai stratégique pour la transition énergétique mais nuisible à l’environnement et à la santé de la reproduction. A Musonoï, un quartier de l’Ouest de la ville de Kolwezi, les femmes sont les plus exposées. Des cas d’avortements, de fausses couches et, même, de malformations congénitales y sont de plus en plus fréquents.
Le projet d'ouverture à l'exploitation minière d'une vaste zone des fonds marins de l'Arctique causera des "dommages irréversibles" à la biodiversité, a averti Greenpeace, vendredi. Le groupe de défense de l'environnement demande instamment à la Norvège — qui prévoit d'accorder des licences aux sociétés minières pour l'exploration des minéraux des fonds marins — d'interrompre ses projets et de soutenir un moratoire sur l'exploitation minière des fonds marins, comme l'ont fait d'autres pays.
Emma Wilson, chargée de plaidoyer d’une coalition d’ONG, fait le bilan du sommet annuel de l’Autorité internationale des fonds marins, achevé vendredi 2 août. Et se réjouit qu’une océanographe ait été élue secrétaire générale.
Face à la résistance farouche des partisans de l'extraction minière sous-marine, les opposants à cette activité controversée ont essuyé un revers vendredi à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM), échouant à faire un premier pas vers un éventuel moratoire.
Selon l’Association nucléaire mondiale, le site de Jabiluka est l’un des plus grands gisements à forte teneur en uranium inexploités au monde.
Près de 5 000 espèces de vertébrés sont menacées par le secteur de l’industrie extractive, en particulier dans les zones tropicales, révèle une étude britannique.
L’Autorité internationale des fonds marins réunit ses instances annuelles à partir du 15 juillet, à la Jamaïque. Ses membres s’opposent sur l’intérêt et les risques liés à la récolte des métaux présents sur le plancher des océans.
Pour The Conversation France, la chercheuse Fanny Verrax a suivi les débats et présentations du projet d'exploitation de lithium dans l'Allier, présenté comme « une mine responsable ».
Des affrontements entre forces de l’ordre et habitants ont eu lieu à Palo Quemado, une commune rurale équatorienne située à une centaine de kilomètres au sud-est de Quito. En cause, la résistance des habitants à un projet de concession minière accordé à une entreprise canadienne, et qui pourrait menacer la culture de canne à sucre, labellisée bio et rémunératrice pour les communautés locales.
L’exécutif a annoncé ce vendredi 12 avril des mesures de modernisation en faveur de la production énergétique et de l’extraction des matières premières, comme le lithium ou le cuivre.
Une victoire en demi-teinte. Par 80 voix contre 20, le parlement norvégien a autorisé l’exploration minière des fonds marins en mer Arctique, mardi 9 janvier. Quant à leur exploitation, ce n’est pas encore à l’ordre du jour, ce que saluent les défenseurs de l’environnement mobilisés depuis plusieurs jours.
Face aux risques inhérents à l'exploitation minière des fonds marins, les ONG environnementales alertent. La conférence de Nice en 2025 sera une occasion de faire pression pour un moratoire sur l'exploitation minière des fonds marins.
Les négociations au sein de l'Autorité internationale des Fonds marins (AIFM) se sont achevées dans la nuit de vendredi à samedi 29 juillet. Le débat portait sur la finalisation d'un code minier pour exploiter les ressources minières qui se trouvent à 4 000 mètres de profondeur et qui ne sont aujourd’hui pas réglementées. Mais la pression est de plus en plus forte pour un moratoire en attendant d'en savoir plus sur les conséquences environnementales d'une telle pratique.
L’exploitation minière des fonds marins, ou « Deep Sea Mining », est une industrie naissante qui menace notre plus grand puits de carbone et de biodiversité au monde : l’océan profond.
Cuivre, nickel, cobalt... L’extraction minière dans les profondeurs marines fait fuir les animaux. Des scientifiques craignent même l’extinction de certaines espèces.
Une nouvelle session de négociation au sein de l’Autorité internationale des fonds marins a lieu du 10 au 28 juillet. Si le front des opposants à l’exploitation s’élargit, certains Etats et entreprises veulent au contraire se lancer rapidement.
Selon l'Agence internationale de l'énergie, la réalisation des objectifs de l'accord de Paris visant à réduire le réchauffement climatique pourrait quadrupler la demande de métaux tels que le lithium, le cobalt et le nickel d'ici 2040. Environ un cinquième de ces réserves essentielles se trouve en Afrique.
L’exploitation minière des grands fonds marins pourrait être autorisée dès cette année dans les eaux internationales. Or, cette industrie risque de mettre en danger des écosystèmes dont les scientifiques commencent à peine à entrevoir la richesse et l’importance, en affectant la capacité de l’océan à stocker du carbone. Explications à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, le 8 juin.
Au début de l’année 2023, le géant minier suédois LKAB annonçait avoir découvert le plus grand gisement de terres...
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Premier volet de cette nouvelle série : Ternand dans le Rhône, ancienne mine de plomb-argent.
Le 5 avril, Eustacio Alcalá Díaz, militant pour les droits des indigènes et contre l’exploitation minière, a été retrouvé mort dans le Michoacán, au Mexique, trois jours après avoir été enlevé par des hommes armés, alors qu’il voyageait avec des missionnaires catholiques. Il avait organisé et gagné une procédure judiciaire pour bloquer les sociétés minières transnationales Ternium et ArcelorMittal. Il est le neuvième défenseur assassiné ou disparu au Mexique depuis le début de l’année. D’après le quotidien (...)
Les présidents de 6 partis belges tirent la sonnette d’alarme sur les dangers environnementaux de l’exploitation minière des fonds marins qui s’effectuera bientôt à l’échelle industrielle. Ils appellent la Belgique à réaffirmer son statut de «Blue leader».
Notre folie sera-t-elle abyssale ? À nous d’en décider.
Le « prince du carbone », le « roi de l’ivoire »... Dans la série documentaire « Planet Killers », Martin Boudot part à la poursuite de criminels environnementaux. Sur France 5 à partir du 23 janvier. Trafic d’espèces sauvages ou de bois précieux, pollution criminelle, pêche et exploitation minière illégale… Selon Interpol, l’organisation internationale de coopération policière, les crimes contre l’environnement génèrent entre 100 milliards à 250 milliards d’euros par an de bénéfices. Ces écocides sont presque (...)
Le 11 janvier, sur ordre du procureur général salvadorien, la police a arrêté cinq éminents Défenseurs de l'Eau. Ils font partie des leaders de la campagne historique qui a conduit à l'interdiction de l'exploitation minière au Salvador en 2017 au nom de la protection de l'eau. Or, le gouvernement envisagerait désormais d'annuler cette interdiction. Selon les organisations de défense de l'environnement et des droits de l'Homme au Salvador, les arrestations servent un objectif politique, car elles visent à réduire au silence ces Défenseurs de l'Eau et à démobiliser l'opposition communautaire dans un moment critique pour le pays. Avec 250 autres organisations internationales, SystExt apporte aujourd'hui son soutien à une déclaration commune demandant au gouvernement salvadorien d'abandonner les charges retenues et de les libérer de prison, dans l'attente de leur procès.
Un répit pour les océans ? Riches en minerais, les fonds marins sont la cible de compagnies minières. Mais faute de cadre juridique, ces firmes ne peuvent pour le moment rien exploiter.
Dans le contexte du changement climatique, les Etats s’interrogent sur le bien-fondé d’aller puiser des ressources minières situées dans les grandes profondeurs, en haute mer.
Non à l’exploitation minière des fonds marins : ce 26 octobre, parlementaires et organisations de la société civile [1] exhortent le gouvernement français à se positionner en faveur d’un moratoire. D’une durée minimale de dix ans, ce moratoire doit être tenu « jusqu’à ce qu’il ait été démontré, grâce à des études scientifiques indépendantes, que cette activité extractive n’engendre aucune perturbation sur les écosystèmes marins ni aucune perte de biodiversité marine », estiment les ONG.
Grave menace pour les océans, la biodiversité et le climat, l’ouverture de mines au fond de l’océan pourrait débuter dans quelques mois. Alors, que fait-on ? Ensemble, nous pouvons faire pression sur la France car elle joue un rôle important dans les négociations internationales. Mais sa position n’est pas claire : E. Macron a changé d’avis d’une année à l’autre. Début novembre se tient l’assemblée de l’Autorité internationale des fonds marins. La France doit être ferme et demander un moratoire sur l’exploitation des fonds marins. Le fera-t-elle ? Suivez notre décryptage et découvrez pourquoi et comment vous pouvez agir.
Dans ce seizième épisode, mon invitée est Professeure Sophie Opfergelt. Elle m’a emmené dans le grand nord à la découverte du permafrost. Nous avons parlé de notre budget CO2 et de l’impact du permafrost sur celui-ci. Pas de bonnes nouvelles en perspective. Sophie Opfergelt a une license en géologie de la faculté des sciences à l’UCLouvain. Elle a ensuite travaillé en exploitation minière et a enchainé avec une thèse de doctorat en tant qu’aspirante du FNRS mais cette fois en faculté de bioingéniérie. Elle a fait un postdoc à oxford en science de la terre. Depuis 2014, elle est chercheure qualifiée du FNRS et elle a récemment obtenu un financement prestigieux: une ERC Starting Grant pour le projet WeThaw dont on parle dans le podcast.
La seule position valable pour Emmanuel Macron, dans le prolongement du One Ocean Summit de Brest, est de défendre ce moratoire sur l’exploitation des grands fonds devant l’autorité régulatrice, l’Autorité Internationale des Fonds Marins (AIFM). Tout autre positionnement ne serait qu’hypocrisie et jeu de manches”.
Ouvrant un nouveau front dans la lutte pour la préservation des océans, quelques États insulaires du Pacifique et des parlementaires d'une trentaine de pays ont engagé une bataille qui s'annonce difficile contre l'exploitation minière des grands fonds marins.
Par cette Déclaration, les parlementaires du monde entier s’unissent pour appeler à un moratoire sur l’exploitation minière des grands fonds marins, pour adopter un principe de précaution afin de préserver ce patrimoine commun de l’humanité, et pour protéger les droits humains de toutes les personnes qui dépendent des océans.
Alors que les gisements terrestres de minerais s’épuisent, les ressources des fonds marins attirent les convoitises. Pour empêcher leur exploitation industrielle, des parlementaires européens et du Pacifique appellent à adopter un moratoire rapidement.
À la Conférence des Nations unies sur l’océan, à Lisbonne, la lutte grandit contre l’exploitation minière des fonds marins. Une alliance d’États et un appel de parlementaires ont été lancés.
Les gaz à effet de serre émis par les exploitations minières et gazières en Australie, un des plus grands producteurs de charbon et de gaz naturel au monde, sont supérieurs aux engagements des exploitants, selon une association environnementale. Au cours de 18 mois d'une enquête, publiée jeudi en Australie, les chercheurs de l'Australian Conservation Foundation ont ainsi découvert qu'une entreprise de combustibles fossiles sur cinq déclarait que ses émissions avait dépassé la quantité approuvée par le gouvernement. À lui seul, un gazoduc situé dans l'État du Queensland, exploité par Origin Energy, a rejeté 2 000% de plus que la quantité prévue avant l'approbation du projet.
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