– Outil de recherche de références documentaires –
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
intelligence artificielle
L'IA supprimera sans doute des tâches routinières. Mais c'est aussi une fabrique à nouveaux métiers. À nous de ne pas regarder passer le train.
Le directeur général de Softbank, Masayoshi Son, a affirmé vendredi que la superintelligence artificielle pourrait remporter le prix Nobel de littérature et dépasser les humains au point d’en faire des "poissons rouges".
Le contrat encadre l’usage des contenus publiés par « Le Monde », « Télérama », le « Huffington Post » et « Le Nouvel Obs » dans les services d’IA développés par le groupe américain, propriétaire de Facebook, Instagram et WhatsApp.
Face à la menace climatique, les assureurs multiplient les innovations technologiques. Intelligence artificielle générative, assurance paramétrique… Ces solutions sont-elles à la hauteur de l'enjeu climatique ? Ou risquent-elles d'aggraver les inégalités d'accès à l'assurance ?
En effectuant des expériences sur différents modèles d’IA, un groupe de chercheurs a découvert que même les plus performants peuvent se laisser manipuler par de la poésie pour lever leurs « garde-fous ». En les formulant sous forme de poème, les modèles répondaient facilement à des demandes nuisibles telles que la fabrication d’armes nucléaires ou l’incitation à l’automutilation – des requêtes qu’ils sont censés avoir été entraînés à éviter.
Le géant américain s’apprêterait à annoncer la baisse d’un tiers du budget 2026 de sa branche travaillant sur ce monde en pixels, affirme «Bloomberg» ce jeudi 4 décembre. Un virage à 180° au moment où les investissements dans l’IA culminent.
Pendant que les débats publics tournent autour du réchauffement climatique, trois menaces silencieuses se profilent à l’horizon — chacune capable de déstabiliser nos sociétés de façon irréversible. Ces dangers ne concernent pas les glaciers ou les océans, mais notre santé, nos cognitions et l’infrastructure invisible sur laquelle repose toute notre civilisation. Et contrairement au changement climatique, les scientifiques avertissent que nous avons peut-être seulement quelques années pour agir.
– L’Echo – 3 décembre 2025 L’IA promet un bond de productivité historique, mais prépare aussi une profonde crise sociale si le partage des richesses reste capté par les seuls capitalistes technologiques
Une expérience relativement simple consistant à demander à une intelligence artificielle générative de comparer deux objets de tailles très différentes permet de réfléchir aux limites de ces technologies.
L'agent de développement Antigravity de Google a eu la main lourde. Très lourde. En voulant simplifier la vie d'un utilisateur, cette IA « prometteuse » a tout simplement vaporisé le contenu de son disque dur, balayant au passage la notion de corbeille. Bienvenue dans l'ère où coder à la cool signifie aussi tout perdre.
L'IA agentique, de nouvelle génération, va encore transformer en profondeur le travail au sein de la première banque du pays. Et les relations avec ses clients.
Alors que ce que l’on considère comme la quatrième révolution industrielle de l’histoire est à l’œuvre dans le sillage du développement de l’intelligence artificielle, il est encore difficile d’anticiper ses conséquences pour le travail. Plutôt destruction créatrice ou aliénation ?
En 2025, la vraie question n'est plus : "Faut-il faire quelque chose en IA ?", mais : "Sur quels 3 à 5 processus concrets allons-nous engager un vrai chantier de transformation, avec budget, sponsor et indicateurs clairs ?"
C’est l’une des premières fois qu’une entreprise de taille importante fait publiquement un lien direct entre des réductions de personnel et la mise en place d’outils IA.
Alors que l’ampleur des suppressions et des créations d’emplois liées à l’IA reste peu quantifiable, les premiers impacts de cette technologie sur le travail deviennent tangibles, notamment dans les métiers créatifs ou intellectuels.
Des chercheurs ont développé une architecture informatique optique permettant d’effectuer un calcul tensoriel – à la base des grands modèles linguistiques actuels – en une seule étape et à la vitesse de la lumière. Cette approche pourrait transformer la manière dont l’IA est entraînée et exécutée, en remplaçant notamment le calcul électronique par le calcul optique. La technologie pourrait constituer une base potentielle pour l’IA générale.
Il y a d’abord les bouleversements écologiques : demain, nous devrons faire mieux, avec moins, en tous les cas changer de modèle. Des métiers vont disparaître, évoluer, se créer. L’IA transforme aussi radicalement l’organisation du travail, au-delà du lien homme machine. Elle impacte jusqu’aux métiers qualifiés qui étaient jusqu’ici plutôt préservés par la mécanisation ou la robotique, et elle se propage très vite. Souvenons-nous qu’en 2004, Facebook a mis dix mois pour atteindre un million d’utilisateurs. ChatGPT y est arrivé en cinq jours… Quant au troisième «tsunami», il concerne la démographie : dans quinze ans, la population active va baisser, une situation inédite depuis la Seconde Guerre Mondiale.
AgiBot A2 est parti de Suzhou de 10 novembre pour rejoindre Shanghai. Une prouesse jamais vue jusqu’ici pour un androïde, homologuée après vérification par l’ouvrage de référence en la matière.
J'ignore si l'IA aura un jour du cœur, mais n'oublions jamais que sans amour, l'intellect est aveugle.
Une équipe de chercheurs de l’Université Aalto a franchi une étape majeure vers une intelligence artificielle de nouvelle génération. Plutôt que de s’appuyer sur les processeurs électroniques classiques, les scientifiques ont démontré qu’il est possible d’effectuer des calculs tensoriels complexes en une seule étape, à la vitesse de la lumière. Cette approche révolutionnaire pourrait transformer radicalement la manière dont les machines apprennent et traitent l’information, tout en réduisant considérablement la consommation énergétique des systèmes d’IA.
Les chefs d'État et de gouvernement du G20 se réunissent à partir de samedi à Johannesburg, en Afrique du Sud, pour un sommet organisé pour la première fois sur le continent africain et auquel ne participeront pas les États-Unis. Il aura notamment pour ordre du jour la préparation aux catastrophes liées au climat, l'allègement de la dette, les minerais de la transition énergétique ou encore l'intelligence artificielle.
Depuis le 10 octobre, le service de messagerie électronique de Google scanne nos e-mails avec l’IA. Mais il est possible de désactiver cette fonction. Vert vous explique comment faire, étape par étape.
La parenthèse se referme, mais ce qu'elle contient reste précieux. À nous de décider si nous la refermons comme on claque un livre qu'on ne rouvrira jamais… ou comme on glisse un ouvrage clé dans une bibliothèque vivante, au milieu d'un monde redevenu bavard, mouvant, oral – et désormais, artificiellement intelligent.
Le titre perdait plus de 10% à la fermeture de la Bourse de Tokyo.
Une simple bulle spéculative ? Malgré les bons résultats de Nvidia et ses processeurs graphiques, les inquiétudes autour d'une survalorisation des entreprises liées à l'intelligence artificielle (IA) ont repris le dessus sur les marchés boursiers.
Dernièrement, des hackers probablement chinois ont manipulé l’intelligence artificielle Claude Code afin de mener une vaste opération d’espionnage. Cette attaque, dont la contribution de l’IA serait à hauteur de 80 à 90% a été déjouée par Anthropic, à l’origine de cette même IA. Pour la société, il pourrait s’agir de la première attaque du genre à avoir été documentée.
Le chercheur français dit vouloir travailler sur « la prochaine grande révolution de l’IA : des systèmes susceptibles de comprendre le monde physique ». Meta a, au contraire, décidé de se concentrer sur le développement des grands modèles de langage, envers lesquels Yann LeCun s’est montré critique.
Il a été formé sur plus de 41 000 données vidéo pour utiliser la CAO de manière quasi humaine.
Circulez, il n’y a rien à voir ? Les estimations du bilan environnemental de l’intelligence artificielle générative, comme celles réalisées à l’été 2025 par Google sur son IA Gemini, semblent rassurantes : seulement 0,003 g de CO2 et cinq gouttes d’eau par « prompt ». Des résultats qui dépendent en réalité beaucoup des choix méthodologiques réalisés, alors que de telles études sont le plus souvent menées en interne et manquent de transparence. Le problème est que ces chiffres font de plus en plus souvent figure d’argument marketing pour inciter à l’utilisation de l’IA générative, tout en ignorant le risque bien réel d’effet rebond lié à l’explosion des usages.
Grok, le robot conversationnel de la plateforme d’Elon Musk, a publié un message dans lequel il conteste l’utilisation du camp d’extermination d’Auschwitz par les nazis pour exterminer des Juifs.
Schneider Electric a signé avec l'opérateur américain Switch un contrat d'un montant de 1,9 milliard de dollars pour la fourniture de solutions pour accompagner l'essor des centres de données liés à l'intelligence artificielle (IA) aux Etats-Unis, a-t-il annoncé mercredi.
Halluciner, percevoir ou sentir quelque chose qui n’existe pas, est souvent le signe d’un trouble psychologique. C’est pourtant ainsi que les firmes de la tech ont choisi de désigner les affirmations erronées produites par les intelligences artificielles. Une manière d’anthropomorphiser la machine jusque dans ses manquements.
Avec ses vastes fermes de serveurs, l'Irlande est devenue un pôle mondial de l'informatique en nuage, aujourd'hui en plein boom avec l'intelligence artificielle. Mais cette position-phare en Europe la place aussi au coeur du débat sur les coûts énergétiques et environnementaux du secteur. L'Irlande accueille aujourd'hui plus de 80 centres de données, essentiellement dans de grands entrepôts autour de Dublin, une des plus fortes concentrations au monde, selon le cabinet spécialisé américain Synergy.
Les investisseurs s'inquiètent de plus en plus d'une bulle spéculative dans le secteur de l'intelligence artificielle, après des mois d'enthousiasme débordant.
Grokipedia, le nouveau projet d’Elon Musk, mis en ligne le 27 octobre 2025, promet plus de neutralité que Wikipédia. Pourtant, les modèles d’IA sur lesquels il repose restent marqués par les biais de leurs données.
Le projet bénéficie d'un premier financement de 6,2 milliards de dollars (5,4 milliards d'euros), dont une partie provenant des fonds de Jeff Bezos.
Le sud-coréen a notamment approuvé ce dimanche 16 novembre la construction de Pyeongtaek Plant 5, une installation de semi-conducteurs conçue «pour répondre aux besoins en puces mémoire», indispensables pour le calcul de l’IA.
Les usages de l’intelligence artificielle se déploient avant tout au sein du grand public, dans la vie quotidienne, quand les organisations peinent à l’intégrer, explique le consultant Georges Nahon dans une tribune au « Monde ».
Un tiers des 40 000 morceaux mis en ligne quotidiennement sur la plateforme Deezer est artificiel. Cette tendance, qui ne cesse de s'amplifier avec la démocratisation des outils de l'IA, relance les appels à une meilleure régulation pour protéger les droits d'auteur et les revenus des artistes.
Actuellement, le géant Microsoft vient de lancer une équipe dont la mission sera de travailler sur la mise au point d’une intelligence artificielle surpuissante. L’objectif de ce projet est d’obtenir des avancées majeurs dans le secteur médical d’ici deux ou trois ans.
Exowatt, une petite start-up énergétique dont Sam Altman figure parmi les principaux investisseurs, propose d’alimenter les centres de données d’IA à l’aide de l’énergie thermique tirée de pierres chaudes. Ces dernières sont installées à l’intérieur de boîtiers spéciaux convertissant l’énergie thermique en électricité et qui, à terme, pourraient réduire le coût énergétique à seulement un centime le kilowattheure. L’entreprise ambitionne ainsi avec sa technologie de contribuer à atténuer la pression énergétique liée à l’essor de l’IA.
Les géants américains et chinois se disputent la suprématie dans le secteur de l'intelligence artificielle, avec des investissements colossaux. L'IA générative, qui produit textes, images et musiques, est au coeur de cette bataille. Cette révolution technologique soulève des enjeux stratégiques et éthiques. Certaines instances, l'UE en tête, tentent d’organiser une règlementation pour limiter les risques liés aux divers usages de l’IA. Guerre des puces, course aux brevets, compétition pour attirer les talents et ingénieurs d’élite, contrôle des données via les gigantesques data centers aux lourdes implications écologiques. Cette bataille pour le leadership mondial de l’intelligence artificielle se joue sur plusieurs fronts. Magazine (France, 2025, 12mn)
Dans les entrailles d’une usine nucléaire française, une machine vient de franchir un cap que l’industrie attendait depuis des décennies. Son nom : Hoxo. Sa particularité : elle ne se contente plus d’exécuter des ordres, elle comprend son environnement et prend des décisions. Bienvenue dans l’ère où l’intelligence artificielle s’invite là où l’humain ne peut plus aller.
Des tirs conduits par l’intelligence artificielle se déroulent quotidiennement depuis l’eté. L’IA n’est plus seulement une assistance dans le traitement des données et des flux vidéo militaires, mais se trouve embarquée au sein de modules très bon marché équipant des munitions rôdeuses.
L’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus de guider nos choix : elle anticipe nos besoins et agit à notre place. En orchestrant décisions et transactions, devient-elle une entité consommatrice ? Que devient notre libre arbitre de consommateur face à un marché piloté par les algorithmes ?
Dans son ouvrage, l’économiste Gregory Verdugo rappelle que l’adoption par les entreprises d’innovations majeures comme l’intelligence artificielle s’orchestre généralement sur le temps long.
Dans une tribune au « Monde », la chercheuse Marine Ragnet pose la question de la gouvernance de l’intelligence artificielle et de ses usages. Ce sujet, souligne-t-elle, n’est « pas seulement une question d’éthique, c’est aussi une question de pouvoir ».
Trois petits pas et patatras : un robot humanoïde russe sort de scène aussi vite qu’il y était monté
(13/11) - Libération,L’androïde, connu sous le nom d’Aidol, a titubé avant de s’effondrer lors d’une présentation technologique à Moscou. Les organisateurs ont attribué cet incident à des problèmes de calibrage et d’éclairage.
Pour financer leurs projets, les géants du secteur ont constitué des montages sophistiqués et astucieux leur permettant de lever des sommes considérables mais au prix de taux d’emprunt mirobolants.
Une étude établit le parallèle entre les stratégies de l'industrie du tabac et l'adoption non critique des technologies d'IA. Approfondissons.
Dans les pays en développement, des entreprises sont en train de réinventer l’IA, explique Julien Bouissou dans sa chronique.
Les acteurs de la tech mondiale se réunissent à partir de mardi au Web Summit à Lisbonne pour présenter leurs dernières innovations, de l'intelligence artificielle (IA) aux robots, sur fond de tensions géopolitiques et commerciales qui affectent le secteur.
Permettre à ChatGPT, comme le prônent certains zélateurs de la modernité, d'entrer dans les classes, serait accepter que nos élèves passent du statut de créateur à celui de créatures.
Le tribunal de Munich a donné raison ce mardi 11 novembre à la société Gema, qui se bat pour que les œuvres humaines ne servent pas de matière première gratuite aux géants de l’IA et reprochait à l’entreprise américaine l’utilisation de paroles de chansons sans licence ni rémunération.
Dans la ruée vers l'IA, les géants américains de la tech ont l'argent et maintenant les puces. Mais leur compétition féroce se heurte à un autre obstacle : électrifier des centres de données énergivores, synonyme à court terme d'un regain de production du gaz et du charbon.
Et si l’amour humain n’était plus l’unique horizon de nos désirs ? Selon une enquête récente, près d’un tiers des adultes aux États-Unis avouent avoir déjà entretenu une relation intime ou romantique avec un système d’intelligence artificielle. Ce chiffre, aussi surprenant qu’inquiétant, révèle à quel point la frontière entre technologie et affect devient poreuse. L’IA, autrefois simple outil de productivité, s’immisce désormais dans la sphère la plus intime de nos vies : celle des émotions et de la fidélité.
Une chronique signée Roald Sieberath, entrepreneur (Accelerate. AI), investisseur pour Noshaq, professeur invité à l'UCLouvain et l'UNamur.
Le fondateur de la start-up, Sam Altman, a démenti vouloir obtenir des garanties de l’Etat pour ses investissements dans les data centers et a cherché à rassurer sur ses 1 400 milliards de dollars d’engagements.
Cela ressemble au scénario d’un film de science-fiction. Et pourtant, c’est une expérience bien réelle menée à l’Université de Stanford. Des chercheurs ont récemment annoncé avoir utilisé une intelligence artificielle pour générer, à partir de zéro, le génome complet d’un virus et donner vie à des particules virales fonctionnelles. Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’un virus humain mais de bactériophages, ces virus inoffensifs pour nous qui ciblent uniquement les bactéries. Cette avancée spectaculaire ouvre des perspectives fascinantes pour la médecine et l’agriculture, tout en soulevant des questions brûlantes sur la biosécurité.
Participations circulaires, explosion des cours de Bourse, accumulation des pertes financières… «Libé» vous donne les clés pour tout saisir sur la bulle spéculative du secteur de l’intelligence artificielle.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.


