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Sécurité énergétique
Centrale de Sizewell C, petits réacteurs et recherche sur la fusion: le gouvernement britannique a promis mardi des milliards de livres pour relancer l'énergie nucléaire dans le pays, jugée indispensable pour sa sécurité énergétique et ses ambitions climatiques.
Face à la croissance rapide de sa population et de son économie, l’Inde mise sur les énergies renouvelables et le nucléaire mais aussi sur le développement de ses champs pétroliers et le développement de sa capacité de raffinage. Si le pays affiche un objectif « Net Zéro » pour 2070, la sécurité énergétique et la capacité à fournir une énergie abordable à son milliard et demi d’habitants demeurent les objectifs principaux.
Les États-Unis ont fustigé jeudi les politiques hostiles aux énergies fossiles, les qualifiant de "néfastes et dangereuses", au premier jour du sommet de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) sur la sécurité énergétique, à Londres, s'opposant fermement aux pays favorables aux renouvelables. "Certains veulent réglementer toutes les formes d'énergie, sauf les soi-disant renouvelables, jusqu'à leur disparition complète, au nom de la neutralité carbone. Nous nous opposons à ces politiques néfastes et dangereuses", a déclaré Tommy Joyce, secrétaire adjoint par intérim à l'Energie pour les affaires internationales.
Les menaces qui pèsent sur les systèmes électriques s’accroissent rapidement. Conflits, événements climatiques extrêmes et rupture des chaînes d’approvisionnement sont autant de risques pour le bon fonctionnement de nos réseaux. Or les sociétés contemporaines sont particulièrement dépendantes de leurs systèmes électriques, notamment du fait de l’électrification des usages. Les véhicules électriques, les pompes à chaleur, un nombre croissant de processus industriels et la numérisation de l’économie créent de nouveaux besoins. Plus critique encore, l’électricité est essentielle au fonctionnement de nos hôpitaux, à la sécurité ainsi qu’aux circuits d’approvisionnement en eau et en nourriture.
Créée en 1974 après la première crise pétrolière, l'Agence internationale de l’énergie (AIE) a toujours eu pour mission principale de veiller à assurer la sécurité de l'approvisionnement en pétrole et de gaz naturel des pays membres en cas de crise, de préparer la sécurité du moyen-long terme en
« La fabrique du savoir » (2/5). Indispensable à tous, l’énergie n’est fournie que par ceux qui la vendent. Dans un monde où les crises géopolitiques sont multiples, l’indépendance énergétique garantit-elle nos libertés et nos démocraties ? C’est le sujet de ce deuxième épisode.
Olena Halushka et Victoria Voytsitska, membres de l’International Center for Ukrainian Victory expliquent, dans une tribune au « Monde », ce que l’Europe peut faire pour sauver le secteur énergétique ukrainien du terrorisme nucléaire russe.
Dans l'étude ci-après publiée ce 18 mars par le Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri, Jeanette Süẞ(1) décrit la nouvelle approche de la « diplomatie climatique » allemande et les défis associés. « Klimaauẞenpolitik » : une nouvelle approche de la politique étrangère allemande sur le climat
Le Royaume-Uni va accueillir une réunion internationale sur la sécurité énergétique au printemps prochain pour éviter les crises comme celles causées par l'invasion russe de l'Ukraine en 2022 ou le choc pétrolier dans les années 1970, a annoncé jeudi le gouvernement.L'événement prévu à Londres, qui coïncidera avec le deuxième anniversaire de l'invasion russe en Ukraine, réunira à Londres ministres et patrons du secteur, selon un communiqué du ministère de l'Energie.
Dix ans, jour pour jour, après l’attaque terroriste d’In Amenas qui avait fait des dizaines de morts sur un site gazier, l’Algérie semble avoir retenu la leçon. Conscient que son économie dépend en grande partie de la vente d’hydrocarbures, le pays a vanté ses investissements massifs pour la sécurisation des infrastructures pétrolières et gazières.
Le président américain Joe Biden a estimé vendredi, lors d'une conférence des grandes économies sur le climat, que l'invasion russe de l'Ukraine démontrait l'importance des énergies renouvelables pour la sécurité nationale ainsi que pour la lutte contre la crise climatique. "L'attaque brutale et non provoquée de la Russie contre sa voisine, l'Ukraine, a alimenté une crise énergétique mondiale et rendu encore plus clair le besoin d'atteindre une sécurité énergétique fiable et de long terme", a-t-il dit en ouverture de ce forum auquel il a convié les principales économies du monde. C'est la troisième fois que le dirigeant américain, sous pression aux États-Unis face à l'inflation galopante notamment tirée par la hausse des prix du carburant, réunit le Forum des grandes économies sur le climat et l'énergie (MEF).
Ce débat nucléaire VS renouvelables devient lassant (en fait il me gonfle prodigieusement). Ce n’est pas comme si on avait l’embarras du choix. Les industries fossiles se frottent les mains devant nos querelles improductives, ainsi que les pays dont la France est sous domination énergétique. Le sujet occupe un espace complètement disproportionné par rapport à la place de l’électricité dans le sujet énergétique et écologique. Et même en ce qui concerne l’électricité, il n’est pas à la hauteur de l’enjeu fondamental qu’est la sécurité de plus en plus compromise de notre approvisionnement, et ce que cela implique pour notre quotidien et notre cohésion sociale.
Les sénateurs roumains ont voté mercredi une proposition de loi ouvrant la voie à l'extraction du gaz en mer Noire, un pas crucial pour compenser les importations russes, ciblées par des sanctions des Occidentaux depuis l'invasion de l'Ukraine. Adopté à une large majorité, le texte qui vise à "assurer la sécurité énergétique" de la Roumanie et lui permettre à terme de devenir un exportateur de gaz amende une loi adoptée en octobre 2018, dont les conditions restrictives ont bloqué tout projet d'extraction offshore.
La protection des marsouins passe après la création de terminaux gaziers pour s'émanciper du gaz russe, a jugé le vice-chancelier allemand, un écologiste, mettant en garde les défenseurs de l'environnement contre un recours qui ferait selon lui le jeu de Vladimir Poutine.
Qualifiant "d'accablant" le nouveau rapport du Giec, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a dénoncé lundi les mensonges de "certains gouvernements et responsables d'entreprises" en matière de lutte contre le changement climatique. "La science nous explique que ce sera le résultat de nos politiques énergétiques actuelles", a-t-il poursuivi, accusant " des pays et entreprises gros émetteurs (de gaz à effet de serre) de ne pas seulement détourner les yeux, mais de mettre de l'huile sur le feu". "Ils étouffent notre planète, au nom de leurs intérêts acquis et de leurs investissements historiques dans les énergies fossiles, alors que des solutions renouvelables moins chères offrent des emplois verts, la sécurité énergétique et une plus grande stabilité des prix."
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