8 mars

OA - Liste


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

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Le Soir

2025

Un parent sur cinq en mal-être, 72 % noyés sous la charge mentale. Et dans 40 % des cas, un employeur qui n’offre aucun soutien. Alors que les professionnel(le)s de la petite enfance manifestaient ce mercredi à Bruxelles pour alerter sur leurs conditions de travail, les parents ont eux aussi tiré la sonnette d’alarme dans une enquête de Partenamut. Ils appellent à un changement de modèle.
Professionnels de la santé et scientifiques, nous avons été heurtés par certains propos de la ministre wallonne de l’Agriculture, Madame Anne-Catherine Dalcq, dans Le Soir du 02/04/25. En tant que professionnels du soin et de la science, nous sommes tenus par des obligations déontologiques de veille de la santé physique et mentale de nos patients, d’intégrité de nos pratiques vis-à-vis de nos patients et de la collectivité, et également de correction scientifique. Ces devoirs nous obligent. Nous ne pouvons donc pas rester muets face à certaines déclarations de la ministre qui sont manifestement erronées, inexactes, voire mensongères.
Face au « réarmement » et à une politique industrielle faite d’aides publiques et de dérégulations, les politiques climatiques et environnementales risquent d’être sacrifiées. On a déjà sabré dans l’aide au développement. Un pari risqué.
Depuis 2016, les banques belges ont accordé plus de 20 milliards d’euros de prêts et de souscriptions à des entreprises posant un grand risque de déforestation.
Plusieurs organisations de consommateurs ont réalisé des analyses sur 229 produits de consommation courante afin d’y détecter la présence de PFAS. Au total 68 produits testés contenaient ce type de substance.
Dès 2021, dans une allocution à la conférence du conservatisme national qui se tient à Orlando, l’actuel vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance identifiait l’ennemi qu’il y aura lieu de combattre lorsque le pouvoir aura été repris : les universités.
Face au « réarmement » et à une politique industrielle faite d’aides publiques et de dérégulations, les politiques climatiques et environnementales risquent d’être sacrifiées. On a déjà sabré dans l’aide au développement. Un pari risqué.
La journée du 7 mars s’appelle « Stand up for science ». « Défendre la science », beaucoup de scientifiques n’imaginaient pas devoir en arriver là ; mais aux Etats-Unis, l’affaire a pris la saveur de l’urgence.
Le terme apparaît à plusieurs dizaines de reprises dans le programme du nouveau gouvernement fédéral. A le lire, un nombre incalculable de choses auraient pour vocation à devenir « durables » – de l’emploi en passant par l’économie, la mobilité, la finance, la consommation, les infrastructures, et on en passe. Même l’avenir… Mais au-delà du discours (qui n’est pas propre à cet exécutif), rien de tel qu’une petite confrontation avec les chiffres pour remettre les idées en place.
L’Arizona confirme les engagements climatiques, axe sa politique sur la décarbonation de l’électricité, un changement de fiscalité indirecte et le soutien aux entreprises. Nucléaire prolongé, TVA ajustée, tax shift envisagé… en veillant à ne pas nuire à la compétitivité.
En 2030, la Belgique devra avoir réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 47 % par rapport à 2005 dans le transport, le logement, l’agriculture, les déchets, les commerces, etc. Elle s’y est engagée et c’est une obligation européenne.
Alors que les incendies scarifient la Californie, le rôle des assurances devient de plus en plus critique face aux dégâts climatiques. Certaines délaissent les zones à risque. Ailleurs, les primes explosent. Les inégalités d’accès s’accentuent. Un débat qui nous concerne.
Environnement : six des neuf limites planétaires ont été dépassées et d’autres signaux s’aggravent. Effondrement en vue ? Difficile à penser. Certains en sont persuadés. D’autres estiment que le pire n’est pas inéluctable. Mais si un sursaut est urgent et crucial, l’inertie politique, économique et sociale complique les choses.
Le changement climatique a déclenché des conditions météorologiques extrêmes et de chaleur record en 2024, a alerté lundi l’Organisation météorologique mondiale de l’ONU (OMM), le secrétaire général des Nations unies exhortant le monde à abandonner le « chemin vers la ruine ». L’année écoulée devrait être la plus chaude jamais enregistrée, a déclaré l’OMM. Dans le même temps, les émissions de gaz à effet de serre ont atteint de nouveaux records.

2024

En 2024, les concentrations de dioxyde d'azote et de particules fines ont légèrement diminué, le nombre de jours d'ozone également, selon le bilan annuel provisoire réalisé par la Cellule Interrégionale de l'Environnement (CELINE), publié lundi.