vers la Une
A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:
2023
Le conseil d'administration d'EDF a engagé les procédures d'autorisation pour les premiers réacteurs du nouveau programme nucléaire voulu par Emmanuel Macron, a-t-on appris jeudi auprès du groupe."EDF engage les procédures d'autorisations nécessaires au lancement des travaux de construction de la première paire de réacteurs EPR2 à Penly (Seine-Maritime), ainsi que les autres procédures administratives nécessaires à sa réalisation et à son raccordement au réseau de transport d'électricité", indique le groupe dans un communiqué.
Malgré l'obstruction des petits actionnaires, "l'État (français) a mis en œuvre ce jour la procédure de retrait obligatoire des titres de capital d'EDF", a indiqué jeudi 8 juin Bercy dans un communiqué. "En conséquence, l'État détient à présent l'intégralité du capital et des droits de vote d'EDF".
Le chantier des réacteurs nucléaires au Royaume-Uni à Hinkley Point permet à EDF d'entrer dans une "cadence industrielle" et doit lui éviter les écueils rencontrés sur le chantier de Flamanville lors de la construction des futures centrales nucléaires françaises, a estimé jeudi le PDG d'EDF Luc Rémont.
2022
Environ 500 soudeurs seront toujours mobilisés en 2023 à EDF pour réparer les tuyauteries de six réacteurs nucléaires très exposés au risque de corrosion, mais sans le renfort de leurs collègues nord-américains qui étaient venus les épauler en 2022 sur ces chantiers gigantesques, a-t-on appris auprès d'EDF."Environ 500 soudeurs continueront d'être mobilisés sur ces chantiers en 2023. Il n'y aura pas de renforts internationaux dans ce cadre", a indiqué à l'AFP le groupe EDF.
Deux autres réacteurs nucléaires ne pourront finalement pas redémarrer avant la fin de cet hiver, et six autres devront être arrêtés en 2023 pour des réparations liées à des problèmes de corrosion, a-t-on appris ces derniers jours auprès d'EDF.EDF a annoncé dans une note d'information publiée vendredi sur son site avoir décidé de remplacer systématiquement les tuyauteries de la catégorie de réacteurs la plus exposée à ces risques de corrosion, sur des conduites de secours servant à refroidir le réacteur en cas d'urgence. Ces réacteurs devront être arrêtés le temps des travaux.
EDF a annoncé vendredi la remise en service dans la nuit de deux réacteurs nucléaires supplémentaires, permettant au réseau électrique français de tourner avec 40 réacteurs connectés sur 56, à la veille d'une baisse annoncée des températures.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a, par la voix de son directeur général, Olivier Gupta, invité mercredi EDF à œuvrer pour apporter la preuve que ses réacteurs seront à même d'être prolongés au-delà de 50 ans. Les plus vieux parmi les 56 réacteurs français en service commenceront à atteindre ce seuil dès 2030.
Une seule installation au monde, appartenant au géant Rosatom, permet de « recycler » l’uranium déchargé des réacteurs français.
EDF revoit à la baisse son estimation de production nucléaire pour 2022 | Connaissances des énergies
- Afp,
EDF a annoncé jeudi revoir à la baisse sa production nucléaire pour l'année 2022 en raison notamment de l'arrêt prolongé de quatre réacteurs pour des questions de corrosion. L'entreprise prévoit 275-285 TWh (térawattheures) de production nucléaire en 2022, contre 280-300 TWh prévus précédemment. Cette révision est liée notamment à "l'allongement de la durée d'arrêt de quatre réacteurs nucléaires concernés par le programme de contrôles et réparations du phénomène de corrosion sous contrainte", selon EDF. Le géant de l'énergie, dont près de la moitié des réacteurs sont indisponibles, a aussi mis en cause le mouvement social de l'automne 2022 dans les centrales qui a eu une incidence "sur les plannings d'arrêt pour maintenance".
Le retour attendu des hautes températures va mettre au défi l’incessant besoin de refroidissement par l’eau des réacteurs nucléaires. EDF assure être prêt, mais plusieurs centrales sont déjà sous haute surveillance.
Engie s’inquiète de l’état du parc nucléaire d'EDF en France Selon Engie, la disponibilité du parc nucléaire français est toujours moins bonne qu’annoncé par EDF.
Une étude de Global Chance montre qu’EDF est confronté au risque de fissure depuis 1998. Mais l’électricien n’a rien dit. Et se retrouve piégé face à un problème pour l’instant inexpliqué.
Depuis l’annonce de problèmes de corrosion sur certains réacteurs, EDF affirme avoir été prise au dépourvu par ce phénomène présenté comme « inédit ». Il a en réalité déjà touché à plusieurs reprises l’entreprise française depuis 40 ans.
A l’Assemblée générale des actionnaires, le PDG Jean-Bernard Lévy s’est voulu optimiste pour l’avenir de son groupe malgré une année 2022 qui s’annonce catastrophique. Mais pour faire face au défi de la construction de six nouveaux EPR, l’électricien va avoir grand besoin du soutien financier de l’Etat.
Des fissures sur des tuyauteries, en particulier sur le système d’injection de sécurité, ont été détectées sur plusieurs réacteurs. Les investigations se poursuivent alors que, mercredi 20 avril, en fin de journée, à peine 30 réacteurs sur 56 étaient en fonctionnement.