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Guillaume Le Du
Si les émissions de gaz à effet de serre continuent de croître au rythme actuel, la majeure partie de la France métropolitaine pourrait basculer sous un climat de type méditerranéen à la fin du siècle. Vagues de chaleur, sécheresses ou au contraire inondations et tensions sur l’eau, mise en difficulté de la biodiversité, voire propagation de maladies… Nombreux sont les impacts attendus du changement climatiques.
Un hôpital belge sur deux a perdu de l’argent en 2022. Et sur les 37 qui ont affiché un résultat financier positif, 24 ont dégagé un bénéfice de moins de 1% de leur chiffre d’affaires. Bref, à peine treize hôpitaux sur la petite centaine étudiée s’en sortent correctement financièrement en 2022 selon la dernière analyse "MAHA" réalisée chaque année par la banque Belfius. La faute à des coûts qui augmentent (les coûts de l’énergie, l’indexation des salaires) et des revenus qui n’augmentent pas assez (moins d’admissions dans les hôpitaux depuis le Covid, indexation avec effet retard). Mais les hôpitaux sont confrontées à bien d’autres problématiques : absentéisme, difficulté de recruter malgré une revalorisation des salaires, transition vers l’hospitalisation sans nuitées à l'hôpital, etc.
Depuis le 7 octobre, Israël a détruit ou endommagé 70% des 439.000 habitations et environ la moitié des bâtiments de...
Dans la jungle d’Afrique centrale, les tourbières piègent un immense stock de CO2. Encore intacts, ces marais sont de plus en plus menacés, tandis que la population locale voudrait être rémunérée pour les protéger.
La COP28 au pays du pétrole, présidée par un patron d’une compagnie pétrolière : cela commence mal ?
(29/11) - Guillaume Woelfle,Laurent Van De Berg,AgencesLa COP 28 commence ce jeudi à Dubaï aux Emirats arabes unis, le cinquième plus gros exportateur de pétrole au monde....
TRIBUNE. Alors que les scientifiques constatent un dérèglement climatique, la réponse des pouvoirs publics n'est toujours pas à la hauteur du danger existentiel qu'il pose à l'humanité. Sur une proposition de la campagne citoyenne Dernière Rénovation, des dizaines de personnalités politiques et de la société civile signent un appel à la résistance civile climatique, en écho à l'appel du général de Gaulle.
C’est une offensive sans précédent que mènent depuis des mois l’industrie nucléaire française et ses appuis politiques pour tenter de redonner à la filière sa splendeur passée. Dernier épisode : la loi de relance du nucléaire. Yves Marignac, porte-parole de l’institut négaWatt, dénonce un enthousiasme hors-sol.
Les inondations provenant des lacs glaciaires apparus ou agrandis par le dérèglement du climat mettent en danger quinze millions d’individus sur le globe. C’est une étude dévoilée dans la revue scientifique Nature Communications qui le dit. Plusieurs États sont à risque (trois en Asie et un en Amérique du Sud) : Inde, Chine, Pakistan et Pérou.
Des salariés du mastodonte pétrolier tiraient déjà la sonnette d’alarme à partir des années 70 en interne sur les risques de l’usage des énergies fossiles. Néanmoins, la direction a laissé faire. Dès les années 1980, le géant pétrolier ExxonMobil avait entre ses mains des prévisions sur le dérèglement du climat. Et en plus, elles étaient extrêmement précises. Ce sont les propres scientifiques de l’entreprise qui avaient formalisé ces prévisions. Quelques dizaine d’années passées, on peut le dire : elles étaient justes. C’est ce qu’a validé une étude récente sur le sujet.
Grâce à son produit 100% naturel, l’entreprise crée "un faux stress biochimique sur la plante, donc lui faire croire qu’une sécheresse arrive", explique le co-fondateur, Guillaume Wegria. "De ce fait, elle va commencer à se pré-protéger elle-même comme s’il y avait une sécheresse, mais il n’y en a pas. Ensuite, quand un vrai épisode de sécheresse arrive, elle résiste beaucoup mieux et on a de grandes différences en termes de rendements."
Les entreprises impliquées dans l’extraction de combustibles fossiles, dont les plus importantes étaient en 2013 à l’origine d’environ les deux tiers des émissions mondiales de dioxyde de carbone, font aujourd’hui face à un mouvement grandissant de désinvestissement dans leurs activités. Les promoteurs de cette initiative mondiale, née en 2010 sur les campus américains ont pour objectif de lutter contre le réchauffement climatique en compressant les flux financiers en direction de l’industrie des énergies fossiles.
Observons finement l’effet des ressources naturelles à l’intérieur d’un pays. Une chronique de Phoebe W. Ishak et Pierre-Guillaume Méon. Elle est postdoctorante CNRS à l'école d’économie d'Aix-Marseille, à la Faculté d’économie et de gestion (FEG) d'Aix-Marseille Université. Il est professeur de science économique au Centre Emile Bernheim de Recherche interdisciplinaire en gestion et Dulbea de l'Université libre de Bruxelles.
Les récents records de températures historiques au mois de mars 2021 et de précipitations lors de l’hiver 2020-2021 en France illustrent les changements auxquels l’océan côtier doit faire face. Ces évènements extrêmes tendent à s’intensifier et à se multiplier dans les années à venir.
Le climat change de façon dramatique et il est indiscutable aujourd’hui que l’activité humaine en est la cause première. Malgré une prise de conscience générale dans les populations, la dissonance entre les annonces de bonnes intentions et l’augmentation persistante des émissions mondiales est affligeante. Comment expliquer cette inaction ? L’aveuglement cognitif et la fragmentation sociale dans un monde libéralisé comptent parmi les causes premières.
Explications ? Des stocks mondiaux de blés meuniers au plus bas, des récoltes décevantes et une demande, sur fond d’essor démographique, au plus haut. S’y ajoute l’explosion du coût des engrais et du fret maritime. Le cocktail devient explosif pour des pays dépendants comme la Turquie, l’Égypte, l’Algérie ou le Nigeria qui importent respectivement 50 %, 62 %, 66 % et 100 % de leur blé.
Les données sont stockées dans l’un des 3 millions de centres de données (ou data centers) dans le monde. Outre leur quantité, leur taille est parfois supérieure à celle d’un terrain de foot. Il faut entretenir ces centres, les refroidir avec des clims, alimentées par de l’électricité, produite avec du pétrole, de l’uranium ou du charbon. Au total, le secteur dépense 10 % de l’électricité mondiale et rejetterait près de 4 % des émissions globales de CO2.
Au-delà des efforts du « marketing vert » déployé par les industriels et leurs porte-voix, quel est l’impact environnemental de l’outil numérique ?
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