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Afrique électricité
Outre les coupures d’électricité, récurrentes, les problèmes d’accès à l’eau se multiplient à travers le pays, alimentant la défiance des habitants envers les autorités.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a promis jeudi soir, lors de son discours annuel à la nation, la fin prochaine des coupures de courant qui plomblent la première industrie du continent, à seulement quelques mois des prochaines élections. "Nous avons établi un plan clair pour mettre fin aux délestages", a-t-il déclaré devant les parlementaires au Cap, suscitant quelques huées. "Le pire est derrière nous et la fin des coupures de courant est enfin à portée de main", a-t-il ajouté, promettant "des milliers" d'emplois dans les énergies renouvelables.
L'Afrique du Sud, économiquement plombée par une grave crise de l'électricité et des coupures répétées, prévoit d'augmenter sa production d'énergie nucléaire pour l'instant marginale, a annoncé mardi le gouvernement. La première puissance industrielle africaine ne possède à ce jour qu'une seule centrale, la seule existant sur le continent. Mais la centrale de Koeberg, près du Cap, ne fonctionne qu'à moitié de sa capacité.
L'Afrique du Sud, qui a connu des coupures de courant record ces derniers mois, "survivra" à la saison hivernale, grâce à une amélioration considérable de la production, a déclaré samedi le ministre de l'Electricité. Le ministre de l'Electricité Kgosientsho Ramokgopa, qui avait prévenu le mois dernier que l'hiver serait "incroyablement difficile", s'est montré plus optimiste samedi, annonçant une hausse de la production d'électricité moyenne atteignant désormais 60%, contre 48% il y a quelques semaines.
Du jour au lendemain, ou presque: les coupures d'électricité en Afrique du Sud sont soudainement passées de douze à deux heures par jour, depuis plusieurs semaines, surprenant une population dont le quotidien est miné depuis des mois par la crise énergétique.Le ministre de l'Electricité, Kgosientsho Ramokgopa, n'avait par mâché ses mots avant l'arrivée du froid dans le pays d'Afrique australe: "Je vais être brutalement honnête. L'hiver sera incroyablement difficile". C'était sans compter avec le phénomène météorologique El Niño.
Les coupures d'électricité, quasi-quotidiennes depuis des mois en Afrique du Sud et pouvant durer jusqu'à près de douze heures certains jours, ont été suspendues "jusqu'à nouvel ordre", a annoncé samedi la compagnie publique Eskom. "Les délestages ont été suspendus aujourd'hui à 11h40 (09H40 GMT) et jusqu'à nouvel ordre, grâce à l'amélioration des capacités de production et une baisse de la demande", a indiqué à l'AFP Daphne Mokwena, porte-parole d'Eskom.
Les Sud-Africains, qui entrent officiellement en hiver le 21 juin, vont être à la peine ces prochains mois, a prévenu jeudi la compagnie publique d'électricité Eskom, qui impose déjà des coupures de courant de douze heures par jour depuis des mois. "On va connaître un hiver difficile", particulièrement "rude", a reconnu Calib Cassim, PDG par intérim de la société, lors d'une conférence de presse à Johannesburg.
Des techniciens battus à mort, un directeur de centrale menacé, une tentative d’empoisonnement… Dans un secteur gangrené par le crime et la corruption, la crise énergétique vire au drame.
Le gouvernement sud-africain a annoncé mercredi des avantages fiscaux pour rendre alléchants les investissements dans la production d'énergies propres alors que le pays est plongé dans une grave crise de l'électricité qui va par ailleurs inconsidérément alourdir la dette publique.À partir du 1er mars, "les entreprises pourront réduire leur revenu imposable de 125% du coût d'un investissement dans les énergies renouvelables", a déclaré le ministre des Finances Enoch Godongwana, lors de la présentation du budget annuel du gouvernement devant les parlementaires au Cap.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a déclaré jeudi soir l'état de catastrophe nationale pour tenter d'endiguer la profonde crise de l'électricité qui mine le quotidien et l'économie de la première puissance industrielle du continent.
En Afrique du Sud, les familles se recueillent traditionnellement autour du défunt pendant une semaine, parfois plus. Mais désormais, à cause de coupures d'électricité endémiques, la conservation des corps relève du défi et les pompes funèbres veulent enterrer les morts au plus vite. "On voit de nombreux corps putréfiés", a déploré cette semaine dans un communiqué la South African Funeral Practitioners Association (SAFPA), représentant le secteur.
Les délestages entravent la production de certains produits, entraînant un manque d’approvisionnement qui pourrait aboutir à une hausse des prix.
L'Afrique du Sud doit se préparer à une crise prolongée de l'électricité, a prévenu vendredi la compagnie Eskom qui peine à alimenter la première puissance industrielle du continent. L'entreprise publique a promis un répit le jour de Noël pour les coupures prolongées et sans précédent que le pays subit depuis des mois, attribuées au sabotage mais surtout à la vétusté des centrales à charbon, ainsi qu'à des problèmes d'incompétence et de corruption caractérisée.
L'Afrique du Sud cherche urgemment des fonds pour financer l'achat de diesel, qui sert à atténuer les coupures de courant récurrentes liées à des centrales à charbon vétustes, alors que ses réserves de carburant sont à plat, a-t-on appris lundi. Si aucun budget n'est alloué en ce sens, les coupures vont se poursuivre voire s'aggraver, entre deux à quatre fois plusieurs heures par jour, pour les entreprises et particuliers jusqu'en avril, ont mis en garde des experts en énergie.
Le groupe français HDF Energy s'est vu attribuer par le gestionnaire public du réseau électrique sud-africain Eskom la location de 1.700 hectares de terrain pour développer d'ici à 2027 des centrales électriques solaires à hydrogène vert dans la province minière de Mpumalanga, qui concentre 80% de la production de charbon d'Afrique du Sud. Ce projet, dont l'investissement total porte sur 3 milliards de dollars, est l'un des fers de lance de la transition énergétique du pays voué à abandonner à terme les centrales au charbon.
L'Afrique du Sud, première puissance industrielle du continent, comptant près de 60 millions d'habitants, est une nouvelle fois frappée par des coupures drastiques d'électricité, causées par des défaillances d'installations vieillissantes et mal entretenues, a indiqué dimanche la compagnie publique Eskom. Présentant des excuses pour ces nouvelles coupures intenses lors d'une conférence de presse, le PDG d'Eskom, Andre de Ruyter, a annoncé "un niveau élevé de délestage cette semaine".
L'Afrique du Sud, première puissance industrielle du continent, comptant près de 60 millions d'habitants, est une nouvelle fois durement frappée par des coupures d'électricité drastiques, causées par des défaillances d'installations vieillissantes et mal entretenues, a indiqué dimanche la compagnie publique Eskom. Présentant des excuses pour ces nouvelles coupures intenses lors d'une conférence de presse, le PDG d'Eskom, Andre de Ruyter, a annoncé "un niveau élevé de délestage cette semaine".
Alors que la société nationale Eskom est incapable de subvenir aux besoins du pays, le président Cyril Ramaphosa envisage la création d’une concurrence dans le secteur de l’énergie.
L'Afrique du Sud, qui endure des coupures de courant régulières dues à des infrastructures vieillissantes et mal entretenues, a vu la situation se dégrader encore avec l'annonce mardi par la compagnie publique d'électricité de nouveaux délestages drastiques. Eskom a annoncé dans un communiqué la mise en place immédiate d'une multiplication des délestages impliquant, pour les Sud-Africains et les entreprises, plusieurs coupures par jour, de plusieurs heures chacune, en plein hiver austral.
Pour rappel, l'énergie nucléaire compte pour près de 10% de la production mondiale d'électricité. L’AIEA fait actuellement état de 32 pays disposant de réacteurs nucléaires en opération (441 au total dans le monde). Un seul d’entre eux est situé sur le continent africain : l’Afrique du Sud dont la centrale de Koeberg (située près du Cap, 1 854 MW de capacité installée) a produit près de 5,9% de la production nationale d’électricité en 2020 selon les dernières données de l’AIEA(3). D’autres pays africains envisagent toutefois également de construire des réacteurs nucléaires, à l'image du Kenya (pays voisin de l'Ouganda)(4), du Nigéria ou encore de l'Égypte.