Au cœur des débats de société, voici les références où la démocratie est citée.
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La Russie a dit avoir procédé mardi à de nouveaux exercices militaires nucléaires, sous la supervision du président Vladimir Poutine, qui avait évoqué récemment encore la possibilité de recourir à ces armes dans le cadre du conflit en Ukraine et avec les Occidentaux.
Anne Godart (UMons) voit approcher un "moment de basculement", que Vladimir Poutine garde en ligne de mire.
L’essentiel des informations sur la guerre entre l’Ukraine et la Russie ce lundi 30 septembre.
Le Kremlin a déclaré jeudi que le changement de doctrine russe concernant le recours à l'arme nucléaire, annoncé la veille par Vladimir Poutine, devait être considéré comme un "signal" pour les Occidentaux, avec qui les tensions sont au plus haut depuis l'offensive en Ukraine en février 2022.
La mise en service de ce missile à propulsion nucléaire avait été annoncée en septembre 2023 par la Russie. Un récent test de ce RS-28 Sarmat aurait tourné au fiasco selon plusieurs sources.
Le Financial Times a mis la main sur des documents secrets et rapporte que la Russie a entraîné sa marine à frapper des missiles nucléaires sur des sites situés en Europe.
Au troisième jour de l’offensive ukrainienne dans la région russe de Koursk, la presse internationale reste dubitative sur les objectifs de Kiev.
Moscou a mis en garde samedi l'Europe en affirmant que la décision de Washington de déployer en Allemagne des missiles américains à longue portée risquait avant tout d'exposer les populations du continent, dont les capitales deviennent en retour des cibles pour la Russie.
Si, à Washington, les grands de ce monde s’émeuvent du réarmement de la Russie lors du sommet de l’Otan, débuté le 9 juillet, ils oublient de dire que la totalité des huit autres puissances nucléaires se réarment également et modernisent leurs arsenaux nucléaires. La Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (Ican) estime que les neuf puissances nucléaires ont dépensé 84,2 milliards d’euros en 2023. Soit 10 milliards de plus qu’en 2022.
Le ministre américain de la Défense Lloyd Austin a annoncé mardi un nouveau volet de 2,3 milliards de dollars d'aide à l'Ukraine, incluant des moyens de défense antiaérienne et des armes antichar.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que la Russie devrait commencer à produire des missiles de courte et moyenne portée, auparavant interdits en vertu d’un traité avec les États-Unis qui n’est plus en vigueur.
La Belgique a déjà formé près de 2500 militaires ukrainiens, afin de les aider dans leur lutte contre l'invasion russe,...
L'armée russe a annoncé mardi avoir débuté près de l'Ukraine des exercices militaires sur l'utilisation d'armes nucléaires tactiques, ordonnés début mai par le président Vladimir Poutine, en assurant qu'il s'agissait d'une réponse aux "menaces" occidentales.
Le département d'Etat américain a commenté les récents événements survenus en Russie.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné la tenue prochaine d’exercices nucléaires impliquant notamment des troupes positionnées près de la frontière ukrainienne, a annoncé ce lundi 6 mai le ministère de la Défense.
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé lundi l'organisation d'exercices militaires à proximité de l'Ukraine. Il a par ailleurs menacé de frapper "toute installation ou équipement militaire britannique sur le territoire ukrainien et au-delà", si Kiev utilisait des "armes britanniques" contre des cibles en Russie.
Les services de renseignement britanniques ont comptabilisé une augmentation alarmante des meurtres impliquant des militaires russes en Russie. Il y a près de 900 % de crimes en plus par rapport à l’année 2022 d’avant-guerre avec l’Ukraine.
Les pays occidentaux tentent de relancer leurs fournitures d’aide militaire à l’Ukraine, mais il est probablement trop tard pour inverser le cours de la guerre. L’armée russe s’est réorganisée et s’est solidement implantée dans l’est de l’Ukraine. La Russie a basculé rapidement vers une économie de guerre qui lui permet d’alimenter le front. Désormais, les troupes russes grignotent du terrain face à une armée ukrainienne en position défensive inconfortable. Des négociations s’annoncent dans les prochains mois, et pourraient être l’occasion de concessions douloureuses.
La Transnistrie , une région séparatiste prorusse de Moldavie, a affirmé vendredi qu'un drone explosif avait frappé une station radar sur l'une de ses bases militaires, sans faire de victimes, ni de dégâts importants, trois semaines après un incident similaire.
Le soutien militaire belge à l'UKraine depuis le début de la guerre atteint un milliard d'euros, a annoncé mercredi la ministre de la Défense, Ludivine Dedonder, en commission de la Chambre.
L'explosion a provoqué un incendie sur la base militaire.
Ces manœuvres navales dans l’océan Indien, déjà organisées l’an dernier, ont lieu dans un contexte de grande tension en mer Rouge, note la presse internationale.
Le New York Times a obtenu des informations de la Maison Blanche.
Le président russe Vladimir Poutine a entamé jeudi à 12H13 locales (10H13 en Belgique) son discours annuel à la Nation à Moscou, selon AFP, plus de deux ans après le lancement de son assaut contre l'Ukraine.
Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a appelé vendredi à "une retenue militaire maximale" après une série de fortes explosions survenues ces derniers jours près de la centrale nucléaire ukrainienne sous contrôle russe de Zaporijjia, la plus grande d'Europe. Ce site, pris par les forces russes en mars 2022, dans la foulée du déclenchement le 24 février de l'invasion de l'Ukraine, se trouve dans une zone de combat et Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de compromettre sa sécurité.
Washington le suggère, Moscou dément et les analystes s'interrogent sur une perspective lointaine mais préoccupante dans un contexte géopolitique explosif.
Un porte-parole de la Maison Blanche a levé le voile, jeudi, sur la "grave menace pour la sécurité nationale" venue de Moscou et évoquée la veille. Il a affirmé qu'il s'agissait du développement d'une arme antisatellite, estimant qu'il s'agissait d'un élément "inquiétant" sans représenter "une menace immédiate".
Le président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Mike Turner, n’a pas spécifié l’origine ni la nature du danger mais plusieurs chaînes américaines ont désigné la Russie.
D'après les services de renseignement américains, la Russie cherche à développer une arme nucléaire capable de détruire des satellites dans l'espace. "Une grave menace pour la sécurité nationale", a averti mercredi le Républicain Mike Turner, président de la Commission permanente sur le renseignement de la Chambre des représentants.
L'Ukraine a affirmé jeudi avoir 'détruit' dans la nuit une vedette lance-missiles appartenant à la flotte russe de la mer...
Le chef d’état-major du président ukrainien Volodimir Zelenski, Andri Jermak, a mis en garde contre une possible défaite de l’Ukraine face à la Russie en cas d’échec du financement américain.
La Russie a annoncé dimanche avoir testé avec succès un missile balistique intercontinental capable de porter des ogives nucléaires, depuis un sous-marin nucléaire de 4e génération.
Le président russe Vladimir Poutine a signé jeudi la loi sur la révocation de la ratification du Traité d'interdiction des essais nucléaires (TICEN), sur fond de conflit en Ukraine et de crise avec les Occidentaux.
Alors que les sénateurs russes viennent d'approuver la sortie du pays du traité interdisant les essais nucléaires, le président Vladimir Poutine a supervisé, mercredi, des exercices militaires impliquant des tirs de missiles balistiques, visant à simuler une "frappe nucléaire massive".
Le président russe Vladimir Poutine a supervisé mercredi des tirs de missiles balistiques lors de manoeuvres militaires visant à simuler une "frappe nucléaire massive" de riposte par Moscou.
Pskov, capitale de la région éponyme frontalière de l'Estonie, de la Lettonie et du Bélarus, est située à 800 km au nord de l'Ukraine.
Evguéni Prigojine a accusé l’armée russe d’avoir bombardé ses propres combattants, appelant à une quasi-insurrection contre l'Etat-major russe. En riposte les services de sécurité ont appelé les miliciens de de Wagner à arrêter leur chef.
Faut-il montrer sa capacité nucléaire ? Et comment ! répond Dimitri Trenine. • Une nouvelle intervention du débat en cours en Russie sur l’emploi du nucléaire, –en Ukraine et ailleurs. • Ce débat s’impose parce que s’impose le constat que la dissuasion est morte et que pour que l’arme nucléaire soit efficace, il faut la montrer et il faut montrer qu’on est prêt à s’en servir dès qu’on jugera nécessaire de le faire. • La guerre en Ukraine est une effrayante leçon de travaux pratiques sur la plus terrible des armes de destruction massive.
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
Sergej Karaganov veut faire une attaque nucléaire sur l’Occident.
Les autorités russes ont signalé, lundi, l’« entrée d’un groupe de sabotage et de reconnaissance de l’armée ukrainienne dans le district de Graïvoron » et ont évacué le site de stockage d’armements nucléaires de Belgorod-22. Kiev nie toute implication.
M. Grossi assure avoir constaté en première ligne "des indications claires de préparatifs militaires" autour de la centrale, qui est la plus large d'Europe, lors de sa visite il y a trois semaines.
La flotte russe du Pacifique sera bientôt équipée de sous-marins spécialement conçue pour lancer les torpilles Poséidon.
La Russie a pris le Bélarus en "otage nucléaire", a estimé dimanche l'Ukraine à la suite de l'annonce par le président Vladimir Poutine d'un déploiement d'armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié."Le Kremlin a pris le Bélarus comme otage nucléaire", a écrit sur Twitter le secrétaire du Conseil de sécurité ukrainien Oleksiï Danilov, ajoutant que cette décision est un "pas vers la déstabilisation interne du pays".
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé samedi le déploiement d’ogives nucléaires “tactiques” en Biélorussie. C’est la première fois depuis les années 90 que la Russie va entreposer des armes nucléaires hors de ses frontières.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que Moscou allait déployer des armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié, le Bélarus, un pays situé aux portes de l'Union européenne.
Cette attaque contre un aérodrome près de Minsk aurait été menée à l’aide de deux drones commerciaux, modifiés pour les besoins de l’opération. Elle aurait partiellement détruit un avion de reconnaissance et de commandement russe.
Hadja Lahbib a demandé le retrait des troupes russes présentes en Ukraine, et affirmé que la Belgique soutiendrait l'Ukraine "tant qu'il le faudra".
Les Etats-Unis ont qualifié la décision russe de « très décevante et irresponsable ». Le traité signé en 2010 est le dernier accord bilatéral du genre liant Moscou et Washington.
Le président Poutine a annoncé dans un discours, ce mardi, suspendre la participation de la Russie au traité de désarmement nucléaire New Start. De quoi s’agit-il ?
A l'occasion du première anniversaire de la guerre en Ukraine, le chercheur Nicolas Gosset fait le point sur le conflit auprès de l'agence Belga.
Selon un document partagé par le ministère ukrainien de la Défense, le géant de l’industrie gazière russe aurait obtenu l’accord de Moscou pour fonder sa propre compagnie militaire. Kyiv dénonce la création d’une armée privée à la Wagner
Le constat n’est pas récent, mais le 24 février 2022 lui a donné une tournure nouvelle : nous ne vivons pas la guerre, mais nous ne sommes pas en paix. L’invasion de l’Ukraine par la Russie a déclenché, ici à l’Ouest de l’Europe, un intense enchevêtrement d’affects : choc et sidération face à une guerre qui éclate sur le continent européen ; peur devant la possibilité d’une escalade ; sentiments de solidarité envers les Ukrainiens ; angoisse sourde suscitée par la réapparition de la menace d’une guerre nucléaire sur notre scène géopolitique. Aux premières semaines de la guerre, une grande excitation était également palpable, une atmosphère de survoltage, rythmée par l’emballement médiatique et les appels politiques à la mobilisation. Dans le même temps, nous n’en demeurons pas moins à une certaine distance de la guerre, physiquement et affectivement, à l’abri de ses violences, et priant pour le rester.
Toute attaque nucléaire de la Russie contre l'Ukraine entraînera une réponse militaire des occidentaux "si puissante que l'armée russe sera anéantie", a affirmé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.
L’évocation d’un possible recours à l’arme atomique, menace régulièrement brandie par Vladimir Poutine, ne saurait être réduite à un outil de guerre comme un autre. Une telle banalisation aurait en outre des effets dévastateurs en matière de prolifération.
Le président russe Vladimir Poutine a promis lundi des répliques "sévères" en cas de nouvelles attaques ukrainiennes contre la Russie, après la destruction partielle samedi du pont de Crimée, infrastructure stratégique et symbole de l'annexion de cette péninsule ukrainienne. "Si les tentatives d'attentats terroristes sur notre territoire se poursuivent, les réponses de la Russie seront sévères et leur ampleur correspondra au niveau des menaces posées", a mis en garde Vladimir Poutine en ouverture d'une réunion télévisée du Conseil de sécurité russe. "Personne ne doit avoir le moindre doute", a-t-il averti. En réponse à l'attaque contre le pont de Crimée, le dirigeant russe a indiqué que Moscou avait lancé une campagne "massive" de bombardements dans plusieurs régions ukrainiennes. Il a affirmé que l'armée russe avait utilisé dans la matinée "des armes de haute précision de longue portée" contre "l'infrastructure énergétique, militaire et de communication de l'Ukraine".
Alors que la menace d’utilisation d’armes nucléaires grandit, que ce soit du côté de la Russie ou de la Corée du Nord, la discussion tourne essentiellement autour du recours aux bombes dites "tactiques". Une famille d’armes nucléaires présentées comme "moins puissantes". Au risque de rendre plus acceptable l'utilisation d'armes de destruction massive ?
Certains pensent que les armes nucléaires créent une stabilité géopolitique internationale par le risque de destruction mutuelle assurée. D’autres, exactement l’inverse : que cette apparence de sécurité est une illusion catastrophique.
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Le président américain a déclaré qu'il existait bien, "pour la première fois depuis la crise des missiles cubains, une menace directe d'utilisation d'armes nucléaire"
L'ancien directeur de la CIA et général de l'armée à la retraite déclare que le président russe est "désespéré" et que la réalité du champ de bataille auquel il est confronté est "irréversible".
Les Etats-Unis seraient très probablement au courant de préparatifs russes pour une attaque nucléaire contre l'Ukraine, et Moscou pourrait aussi vouloir que cela se sache, estiment des experts.
Les États-Unis ont demandé via des canaux privés à la Russie de mettre fin à son discours agitant la menace nucléaire dans la guerre en Ukraine, une arme dont l'utilisation aurait, prévient Washington, des conséquences "catastrophiques".
Evguéni Prigojine, un homme d'affaires proche du Kremlin, a reconnu lundi avoir fondé en 2014 le groupe paramilitaire Wagner pour combattre en Ukraine et reconnu sa présence notamment en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique latine.
Conseiller à la sécurité nationale du président Joe Biden, Jake Sullivan a déclaré dimanche 25 septembre que “les États-Unis [avaient] prévenu la Russie qu’il y aura [it] ‘des conséquences catastrophiques’ si elle utilis[ait] des armes nucléaires en Ukraine”, rapporte The Wall Street Journal.
Dans son allocution de ce mercredi matin annonçant une «mobilisation militaire partielle», Vladimir Poutine ne parle plus de l’Ukraine comme ennemi, mais de «l’Occident collectif». Un aveu d’échec devant l’avancée de la contre-offensive ukrainienne.
La Russie a empêché vendredi l'adoption d'une déclaration commune à l'issue des quatre semaines de la conférence d'examen à l'ONU du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), dénonçant des termes "politiques".
Une référence à Zaporijjia pousse la Russie à bloquer l’adoption d’un texte de l’ONU sur la non-prolifération La délégation russe a affirmé que le document présenté par la 10e Conférence des parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires favorisait Kiev. Elle a rejeté la responsabilité de l’échec des négociations sur “les protecteurs” de l’Ukraine.
Au moins quatre explosions ont secoué jeudi soir les abords de la base aérienne russe de Belbek, près de Sébastopol, en Crimée, tandis qu’un incendie s’est déclaré dans un dépôt de munitions près de la frontière ukrainienne, dans la région de Belgorod.
Les explosions survenues mardi sur un aérodrome militaire russe en Crimée auraient détruit au moins huit avions de chasse, contrairement aux dires de la Russie.
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Les Etats-Unis ont appelé lundi la Russie à cesser toute activité militaire dans et autour des centrales nucléaires en Ukraine dont celle de Zaporijjia, la plus grande d'Europe et tenue par l'armée russe. "Nous continuons à appeler la Russie à cesser toutes ses opérations militaires dans et autour des centrales nucléaires ukrainiennes et à en redonner le contrôle à l'Ukraine", a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean Pierre, lors d'un point presse à bord d'Air Force One. "Combattre autour d'une centrale nucléaire est dangereux", a-t-elle dit tout en soulignant que, selon les données recueillies, "heureusement, nous n'avons aucune indication d'une augmentation anormale des niveaux de radioactivité".
Russie: des saboteurs de trains tentent d’empêcher le transfert de matériel militaire vers l’Ukraine
(24/07) - Aude DejaifveEn Russie, des activistes essayent de saboter les voies ferrées pour empêcher les trains d'emmener des équipements militaires vers l'Ukraine. Sur Telegram, ils publient des photos de rails endommagés, ainsi que des instructions pour réaliser soi-même des actes de sabotage. Un membre d’une organisation anarchiste ayant revendiqué des opérations de sabotage raconte à la rédaction des Observateurs comment ils conduisent leurs activités.
On a donc laissé grandir une bête monstrueuse depuis 20 ans et on n’arrive plus à la maîtriser. Tous les scénarios sont (déjà) perdants pour les démocrates, partout dans le monde et pour longtemps. La démocratie elle-même est menacée. La marge de manœuvre semble se résumer à devoir évaluer le sacrifice d’un bien existentiel (la démocratie et la liberté d’autodétermination ukrainienne) pour en sauver un autre (au mieux la vie de plusieurs millions de citoyens membres de l’Union européenne, au pire la vie humaine sur Terre en cas de guerre nucléaire mondiale, les scorpions survivront).
La Russie va livrer "dans les prochains mois" au Bélarus des missiles capables de transporter des charges nucléaires, a annoncé samedi Vladimir Poutine en recevant le dirigeant bélarusse Alexandre Loukachenko, en pleines tensions entre leurs pays et l'Occident autour de l'Ukraine.
L'Ukraine a dit mardi avoir visé la veille des plateformes de forage en mer Noire, utilisées selon elle comme "installations" militaires par les Russes pour renforcer leur contrôle dans la région. "Sur ce site, la Russie a organisé de petites garnisons, y a stocké du matériel de défense antiaérienne, y compris des radars. C'est-à-dire que ces plateformes se sont transformées en installations qui ont aidé et aident les Russes à renforcer leur contrôle total de la partie nord-ouest de la mer Noire", a affirmé le porte-parole de la région d'Odessa, Serguiï Bratchouk, lors d'une conférence de presse en ligne.
Les pays membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont adopté jeudi une résolution présentée par l'Ukraine qui condamne "avec la plus grande fermeté" l'agression militaire de la Russie et en particulier les attaques contre les services de santé.
Dans un entretien accordé à la chaîne de télévision britannique Sky News, le major général Kyrylo Budanov a prédit que la guerre en Ukraine prendrait un "tournant" en août et que la Russie sera défaite "avant la fin de l'année". "La plupart des actions de combat actif seront terminées à la fin de cette année. En conséquence, nous renouvellerons le pouvoir ukrainien dans tous les territoires que nous avons perdus, y compris le Donbass et la Crimée", a-t-il déclaré.
Boris Johnson est le premier dirigeant occidental à entériner un soutien militaire à la Finlande et à la Suède en cas d’agression russe, en signant un pacte de défense mutuelle lors d’une visite dans la région, le 11 mai. Selon The Times, le Premier ministre britannique a déclaré que la Grande-Bretagne envisagerait “très sérieusement” de déployer des armes nucléaires pour protéger la souveraineté des deux pays au moment ils sont sur le point de rejoindre l’Otan après des années de non-alignement.
Dans un éditorial pour la journée du 9 mai, célébrée en Russie comme celle de la «Grande Victoire» contre le nazisme, Kirill Martynov, rédacteur en chef du journal Novaya Gazeta Europe, avec lequel «Libération» s’associe, s’interroge sur ce qu’est devenu son pays, aux mains d’un «sauvage» qui erre dans les «ruines d’une kleptocratie militarisée, une mallette nucléaire à la main».
Le ministère russe des Affaires étrangères a exclu vendredi l'utilisation d'armes nucléaires en Ukraine. Elles ne sont d'aucune utilité pour "l'opération militaire spéciale", a-t-il déclaré, désignant ainsi l'invasion du pays voisin.
Depuis le début de l’invasion, Vladimir Poutine s’évertue à parler d’«opération militaire spéciale». Une doctrine qui pourrait changer en marge des cérémonies du 9 mai, «jour de la Victoire» sur l’Allemagne nazie en Russie.
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Un haut responsable russe a officialisé vendredi les objectifs de la campagne militaire du Kremlin en Ukraine, deux mois après le début de l’invasion : arracher à Kiev le contrôle total du Donbass et du sud du pays, et pousser jusqu’à la région moldave prorusse de Transnistrie.
Après le missile Kinjal, utilisé un mois plus tôt par Moscou lors de la destruction d’un entrepôt souterrain d’armements dans l’ouest de l’Ukraine, une autre arme de type hypersonique est au centre de l’attention depuis ce mercredi : le missile Sarmat, également appelé «Satan 2».
La guerre en Ukraine risque-t-elle de s'intensifier dès lors que le conflit semble prendre un peu plus d'ampleur dans la région du Donbass? "Cela fait huit ans que la guerre a éclaté dans le Donbass. Avant l'invasion intensive russe actuelle, on comptait déjà plus de 13.000 morts, dont plus de 3.000 civils", a débuté Aude Merlin. La professeure en sciences politiques à l'ULB explique que le fait que le conflit ukrainien se localise à nouveau dans cette zone prouve bien que les forces militaires russes éprouvent des difficultés, elles se replient.
Selon le très respecté Bulletin of the Atomic Scientists, la Russie est équipée de "1.588 têtes nucléaires russes déployées", dont 812 sur des missiles installés à terre, 576 sur des sous-marins et 200 sur des bombardiers.
Des centrales ont été attaquées. La guerre en Ukraine nous impose de nous interroger avec lucidité sur les risques nucléaires, assurent les auteurs de cette tribune. Las, aucun responsable politique n’en parle.
Les représentants des Vingt-Sept ont décidé jeudi un embargo sur le charbon russe et la fermeture des ports européens aux navires russes, dans le cadre d'une cinquième salve de sanctions contre Moscou, a annoncé la présidence française du Conseil de l'UE. Dans le même temps, l'UE a proposé d'augmenter de 500 millions d'euros le financement pour fournir des armes à l'Ukraine, qui serait porté à un total d'1,5 milliard depuis le début de l'invasion russe le 24 février alors que les Occidentaux s'attendent à une offensive sur l'est de l'Ukraine.
Bayraktar signifie « porteur de drapeau » en turc, mais c’est aussi le patronyme du gendre du président Recep Tayyip Erdogan, Selçuk Bayraktar, dont l’entreprise produit, d’abord pour l’armée turque, puis pour l’exportation, des drones de plus en plus redoutables. Le Bayraktar TB2, testé à partir de 2014, peut voler pendant plus d’une journée d’affilée, dans un rayon de 150 kilomètres, avec l’électronique nécessaire pour frapper sa cible de jour comme de nuit.
L’annonce mardi par la Russie d’une réduction “radicale” de son activité militaire à Kiev et dans ses environs suscite la méfiance des Occidentaux, qui craignent un nouveau “coup politique” de Vladimir Poutine.
Le chef de l'AIEA se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, a annoncé l'instance onusienne mardi. "Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, cité dans un communiqué de l'AIEA.
L’idée diffusée depuis 70 ans qu’il existe un nucléaire civil et pacifique s’écroule avec l’invasion de l’Ukraine. Historiquement liées au militaire, les installations nucléaires sont de fait des cibles militaires très dangereuses.
Comment réagir si Vladimir Poutine lance une attaque chimique ou nucléaire ? C'est la question au centre des travaux de la Tiger Team, cette équipe montée par Joe Biden.
Les sources officielles ukrainiennes ont indiqué que des troupes russes, qui occupaient l'usine de Tchernobyl, auraient détruit et pillé un laboratoire de déchets radioactifs.
L'Union européenne (UE) va approuver lundi une stratégie comprenant la constitution d'une force militaire de 5.000 combattants et s'engager sur une augmentation de ses dépenses militaires afin d'être en mesure de mener seule des interventions d'ici 2025.
Étudier le conflit en Ukraine, c’est comprendre l’évolution à l’œuvre dans les conflits contemporains. Les guerres récentes sont devenues asymétriques et hybrides. Aux assauts terrestres s’ajoute la cyberguerre, et les acteurs des conflits se sont diversifiés. On constate ainsi, sur de nombreux théâtres d’opérations, la résurgence des mercenaires. Cette privatisation de la guerre permet à des États comme la Russie d’avancer à visage couvert. Si le groupe Wagner est aujourd’hui au centre de l’attention, d’autres sociétés militaires privées (SMP) prospèrent dans de nombreuses régions du monde.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit reconnaitre que son pays ne pourra pas adhérer à l’Otan. La potentielle adhésion du pays à l’alliance militaire est l’un des motifs avancés par la Russie pour justifier l’invasion du pays.
A Russian former foreign minister has joined a call for all sides in the Ukrainian war to return to diplomacy and so reduce “the dramatically elevated risk” of a nuclear conflict. The appeal co-authored by Prof Igor Ivanov, now the president of the Russian International Affairs Council, may be a sign that some in the Russian foreign policy establishment believe that pursuing a purely military solution in Ukraine is a strategic mistake.
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Vladimir Poutine aurait pu atteindre ses objectifs en Ukraine par la simple menace d’envoyer sa puissante armée. Mais ces deux semaines de guerre laissent entrevoir une stratégie militaire défaillante.
La guerre en Ukraine pourrait faire plus de dégâts à l'économie européenne que la crise du coronavirus, d'après le dirigeant du groupe automobile allemand Volkswagen, Herbert Diess. Un conflit militaire prolongé toucherait probablement la zone "beaucoup plus durement" qu'une la propagation du Covid-19, a déclaré M. Diess au Financial Times.
Le président russe Vladimir Poutine exerce un "chantage" nucléaire pour empêcher le monde d'aider l'Ukraine, un exercice "extrêmement dangereux", a dénoncé mardi la responsable d'ICAN, récompensée du prix Nobel de la Paix en 2017.
De nouveaux moyens militaires « défensifs » ont été déployés par l’Alliance atlantique ces dernières semaines afin de « réassurer » les pays proches des frontières russe et ukrainienne.
Le président russe, Vladimir Poutine, a mis en avant la question linguistique en Ukraine pour justifier son intervention militaire, se présentant comme un "défenseur des populations russophones". Une instrumentalisation des langues et une idéologie dangereuse, estime le linguiste Patrick Sériot.
Le facteur climatique pourrait jouer un rôle décisif dans l’offensive des forces de Vladimir Poutine, avec l’arrivée attendue de ce phénomène saisonnier qui voit la terre ferme se muer en boue collante redoutable pour les véhicules militaires.
Quelque 13 000 interpellations ont eu lieu depuis le déclenchement de l’opération militaire russe le 24 février, selon OVD-Info.
La Russie a mis en garde lundi contre des "conséquences catastrophiques" pour le marché mondial de la mise en place d'un embargo occidental sur le pétrole russe, discuté par Washington et l'Union européenne comme mesure de riposte à l'intervention militaire russe en Ukraine. "Il est tout à fait évident que le refus d'acheter le pétrole russe va aboutir à des conséquences catastrophiques pour le marché mondial", a déclaré le vice-Premier ministre russe, chargé de l'Énergie, Alexandre Novak.
Depuis plusieurs décennies, les travaux du linguiste étasunien Noam Chomsky alimentent les luttes, les analyses et les débats du mouvement anticapitaliste international. Celui qui figura sur la « master list » des opposants à Nixon et milite pour l’abolition des armes nucléaires s’intéresse depuis de nombreuses années à l’Ukraine, en guerre depuis 2014.
Dès le début de la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a brandi la menace nucléaire. Présentée habituellement comme une arme de dissuasion, son utilisation aurait des conséquences désastreuses.
On Sunday, Vladimir Putin ordered his nuclear deterrent forces to be placed on a “special regime of combat duty”. The Russian defence minister, Sergei Shoigu, has now clarified what this meant: the increased manpower devoted to Russia’s strategic nuclear triad: land-based strategic nuclear rocket forces, sea-based nuclear deterrents in the northern and Pacific fleets and its fleet of long-range strategic bomber aircraft that can carry nuclear weapons.
Plus de 65 % de la population de cette ex-république soviétique, proche du pouvoir russe, a voté dimanche en faveur des amendements à la Constitution, qui octroient notamment une immunité judiciaire à vie pour les anciens présidents.
Malgré la répression, l’opposition à l’offensive militaire menée par Moscou en Ukraine atteint des citoyens jusqu’ici apolitiques. Les signes de profonds déchirements au sein de la société russe se multiplient.
L'opération militaire lancée par la Russie le 24 février en Ukraine a placé ce pays d'Europe de l'Est au centre des préoccupations internationales. Chronologie d'une crise dont l'origine remonte à la fin de l'année 2013 et la mobilisation place de l'Indépendance à Kiev.
C’est une interview de Joe Biden à un blogueur qui aurait poussé Vladimir Poutine à déclencher l’état d’alerte spéciale, justifie un général russe dans le quotidien Komsomolskaïa Pravda. C’est aussi une excellente occasion de rappeler à l’Otan que les termes de la dissuasion nucléaire ont changé.
Des données venant des deux parties, mais qui n'ont pu être vérifiées de manière indépendante.
Rapprochement économique, alliance militaire, "complicité" dans l'invasion de l'Ukraine... La Biélorussie, devenu un état vassal de la Russie, multiplie les signes d'allégeance envers Moscou et pourrait même accueillir une partie de l'arsenal nucléaire russe à la faveur d'une modification de la constitution prévue dimanche.
Au lendemain du début de l’offensive russe, les Occidentaux craignent que les troupes de Moscou ne s’emparent rapidement de la capitale dans le but de « décapiter le gouvernement ». Le président Zelensky déplore l’isolement militaire de son pays.
De nombreuses célébrités russes, présentateurs de programmes télévisés et musiciens ont également dénoncé la guerre en Ukraine. Plus de 100 journalistes russes ont signé une pétition pour réclamer la fin de l’intervention militaire.
Les réactions internationales se multiplient, jeudi 24 février, tandis que s'est concrétisé le scénario que de nombreuses chancelleries et observateurs estimaient probable : une intrusion militaire russe en Ukraine. La communauté internationale a condamné cette intervention.
Ce qu'on redoutait depuis des jours s'est finalement produit cette nuit. A 3h48, Vladimir Poutine a annoncé qu'il lançait une opération militaire en Ukraine. "A ceux qui tenteraient d’interférer avec nous, ils doivent savoir que la réponse de la Russie sera immédiate et conduira à des conséquences que vous n’avez encore jamais connues", a-t-il dit.
Le baril de Brent a grimpé jusqu'à 100,04 dollars après l'annonce de l'opération militaire russe en Ukraine. Les cours du gaz, eux, bondissaient de plus de 30 %.
L'aluminium et l'or atteignent de nouveaux records Le prix de l'aluminium a atteint jeudi matin un nouveau record historique, à 3 382,50 dollars la tonne, quelques heures après l'annonce par le président russe Vladimir Poutine d'une "opération militaire" en Ukraine.
L'Europe lorgne sur le gaz et le pétrole du Golfe en quête d'alternatives aux hydrocarbures russes face à l'escalade militaire de Moscou contre l'Ukraine. Mais cette option n'a rien de simple, ni de certain, selon les experts.
Si elle n’est pas une surprise, l’attaque militaire de l’Ukraine par la Russie a lancé un vent de panique sur les marchés mondiaux, jeudi 24 février, faisant dévisser les Bourses et grimper le prix des matières premières.
L’armée russe a pénétré sur le territoire ukrainien depuis quatre points d’entrée principaux, et tente de s’emparer d’un aéroport stratégique aux portes de la capitale.
En réaction à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la Pologne, la Roumanie et les pays baltes invoquent l’article 4 du traité constitutif de l’alliance politico-militaire, possible préalable à une riposte.
L’annonce par le président russe Vladimir Poutine d’une "opération militaire" en Ukraine jeudi, suivie d’explosions dans plusieurs villes ukrainiennes, a suscité de nombreuses réactions dans le monde. Même en Russie, où en ce moment, le peuple manifeste et marche contre la guerre en Ukraine.
Comment ne pas penser à la Guerre froide? La Russie et les États-Unis se sont déchirés lundi au Conseil de sécurité de l'ONU au sujet des troupes massées par Moscou près de l'Ukraine, tandis que les Occidentaux menacent désormais les oligarques russes de leur faire payer toute escalade militaire.
Les cinq pays membres du Conseil de sécurité (États-Unis, Chine, Russie, Royaume-Uni et France) de l'Onu se sont engagés à "prévenir la poursuite de la dissémination" des armes nucléaires, dans une déclaration commune avant une conférence d'examen du Traité sur la non-prolifération (TNP).
Cette manœuvre montre que les capacités de la Chine sont supérieures à ce qui était connu jusqu'ici, a ajouté le Wall Street Journal, citant des responsables américains non identifiés.
La Russie a annoncé lundi avoir expérimenté avec succès un tir de missile de croisière hypersonique Zircon depuis un sous-marin, arme d'un nouveau type que Moscou juge invincible et qui inquiète Washington.
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