Au cœur des débats de société, voici les références où la démocratie est citée.
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Emma Wilson, chargée de plaidoyer d’une coalition d’ONG, fait le bilan du sommet annuel de l’Autorité internationale des fonds marins, achevé vendredi 2 août. Et se réjouit qu’une océanographe ait été élue secrétaire générale.
Face à la résistance farouche des partisans de l'extraction minière sous-marine, les opposants à cette activité controversée ont essuyé un revers vendredi à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM), échouant à faire un premier pas vers un éventuel moratoire.
L’Autorité internationale des fonds marins réunit ses instances annuelles à partir du 15 juillet, à la Jamaïque. Ses membres s’opposent sur l’intérêt et les risques liés à la récolte des métaux présents sur le plancher des océans.
Les négociations au sein de l'Autorité internationale des Fonds marins (AIFM) se sont achevées dans la nuit de vendredi à samedi 29 juillet. Le débat portait sur la finalisation d'un code minier pour exploiter les ressources minières qui se trouvent à 4 000 mètres de profondeur et qui ne sont aujourd’hui pas réglementées. Mais la pression est de plus en plus forte pour un moratoire en attendant d'en savoir plus sur les conséquences environnementales d'une telle pratique.
Les présidents de 6 partis belges tirent la sonnette d’alarme sur les dangers environnementaux de l’exploitation minière des fonds marins qui s’effectuera bientôt à l’échelle industrielle. Ils appellent la Belgique à réaffirmer son statut de «Blue leader».
Notre folie sera-t-elle abyssale ? À nous d’en décider.
Mardi 17 janvier, les députés ont adopté à la majorité absolue une résolution visant à défendre un moratoire contre l’exploitation des fonds marins dans les eaux internationales. Une activité qui n’est pas aujourd’hui réglementée et qui fait l’objet d’un vif intérêt en raison des métaux contenus dans les profondeurs. La France, qui est la deuxième puissance maritime mondiale, tente ainsi de peser dans les négociations internationales en cours.
Un répit pour les océans ? Riches en minerais, les fonds marins sont la cible de compagnies minières. Mais faute de cadre juridique, ces firmes ne peuvent pour le moment rien exploiter.
Dans le contexte du changement climatique, les Etats s’interrogent sur le bien-fondé d’aller puiser des ressources minières situées dans les grandes profondeurs, en haute mer.
Pour la première fois, une entreprise minière s’apprête à exploiter les fonds marins pour y collecter des roches riches en métaux à destination des batteries de voitures électriques. Une pratique qui promet de détruire des écosystèmes encore inexplorés et qui pourrait constituer une « bombe climatique » à retardement.
La seule position valable pour Emmanuel Macron, dans le prolongement du One Ocean Summit de Brest, est de défendre ce moratoire sur l’exploitation des grands fonds devant l’autorité régulatrice, l’Autorité Internationale des Fonds Marins (AIFM). Tout autre positionnement ne serait qu’hypocrisie et jeu de manches”.
Ouvrant un nouveau front dans la lutte pour la préservation des océans, quelques États insulaires du Pacifique et des parlementaires d'une trentaine de pays ont engagé une bataille qui s'annonce difficile contre l'exploitation minière des grands fonds marins.
Par cette Déclaration, les parlementaires du monde entier s’unissent pour appeler à un moratoire sur l’exploitation minière des grands fonds marins, pour adopter un principe de précaution afin de préserver ce patrimoine commun de l’humanité, et pour protéger les droits humains de toutes les personnes qui dépendent des océans.
Alors que les gisements terrestres de minerais s’épuisent, les ressources des fonds marins attirent les convoitises. Pour empêcher leur exploitation industrielle, des parlementaires européens et du Pacifique appellent à adopter un moratoire rapidement.
À la Conférence des Nations unies sur l’océan, à Lisbonne, la lutte grandit contre l’exploitation minière des fonds marins. Une alliance d’États et un appel de parlementaires ont été lancés.
Pendant trois jours, à Brest, les Soulèvements de la mer ont préparé la résistance face au One Ocean Summit, un sommet mondial qui réunira, dès mercredi, des chefs d’États, entreprises et ONG pour discuter « croissance bleue ».
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Alors que la conférence de Pau sur l’exploitation pétrogazière en eau profonde s’est achevée jeudi, l’industrie prépare la bataille à venir des énergies fossiles océaniques. La dangerosité écologique de ces forages inquiète les défenseurs de la nature, qui se revendiquent « citoyens de la nation océan ». Hier jeudi 7 avril s’est terminée à Pau (Pyrénées-Atlantiques) la conférence MCEDD (Marine, Construction and Engineering Deepwater Development). Cette conférence annuelle, accueillie cette année par Total dans la région de son développement historique (le bassin de Lacq), a rassemblé les principaux acteurs de l’extraction pétrolière et gazière offshore, et ce malgré les nombreuses perturbations orchestrées par ANV-COP21.