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La Banque mondiale

2024

Les solutions proposées par l’institution financière sont toutefois jugées insuffisantes pour aller vers un modèle durable et résilient.
La Banque mondiale (BM) a annoncé mercredi réviser à la hausse son programme d'électrification prévu dans plusieurs pays africains, visant désormais le raccordement électrique de 250 millions de personnes d'ici à 2030, contre 100 millions prévus initialement.

2023

La Banque mondiale (BM) va investir jusque cinq milliards de dollars afin de fournir "une électricité fiable, peu chère et renouvelable" à 100 millions de personnes en Afrique d'ici à la fin de la décennie, a annoncé mercredi son président Ajay Banga en Tanzanie.Aujourd'hui environ 600 millions de personnes n'ont pas accès à l'électricité sur l'ensemble du continent, selon l'institution, l'accès à l'énergie étant pourtant un élément essentiel pour le développement économique et les créations d'emplois.
La Banque mondiale, objet de vives critiques du monde en développement, jouera un rôle limité dans la gestion de l'argent destiné au fonds sur les dommages climatiques des pays vulnérables, mis en place à la COP28, a tenté de rassurer vendredi le président de l'institution, Ajay Banga."En réalité, la Banque ne joue pas de rôle dans l'allocation de l'argent", a expliqué M. Banga lors d'un événement en marge de la COP à Dubaï, "ce sera la tâche d'un conseil de gouvernance qui doit encore être créé et qui représentera les donateurs et les bénéficiaires".
« Aucune ingénierie financière créative ne compensera le fait que nous avons tout simplement besoin de plus de financements », a notamment plaidé le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.
Les institutions financières internationales (IFI) en font-elles assez dans le financement de la lutte contre le changement climatique? C'est la question récurrente à laquelle le FMI et la Banque mondiale tentent de répondre, face aux accusations régulières d'inaction
Sur 37 milliards de dollars investis par l’institution dans la lutte contre le changement climatique depuis plus de vingt ans, une majorité de projets ont peu ou rien à voir avec le climat. L’argent alloué à l’atténuation du changement climatique ou à l’adaptation à ce changement ne fait l’objet d’aucune évaluation en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre, constate l’étude.
La Banque mondiale prévoit une croissance atone en 2023 comme en 2024 alors que le monde n’est toujours pas sorti de la crise née de la pandémie, de la guerre en Ukraine et de l’inflation. Les pays pauvres sont les plus touchés.
L’innovation et l’investissement dans les villes des pays à revenu faible sont essentiels pour parvenir au zéro émission nette dans le monde d’ici 2050
L’inflation qui persiste, comme la guerre en Ukraine… Dans ses “Perspectives économiques mondiales” pour 2023, publiées mardi 10 janvier, la Banque mondiale révise à la baisse ses prévisions de croissance. Estimée à 3 % en juin dernier, elle ne devrait pas dépasser 1,7 % cette année.

2022

Confronté aux défis du changement climatique, l'Irak doit oeuvrer pour un modèle de développement "plus vert" notamment en diversifiant et "décarbonisant" son économie, a estimé mardi la Banque mondiale (BM) après avoir présenté à Bagdad un nouveau rapport. Le pays a besoin de 233 milliards de dollars d'investissements jusqu'en 2040 pour "répondre aux principaux besoins de développement de l'Irak et permettre de s'engager sur la voie d'une croissance verte", évalue le rapport de la BM - soit 6% du PIB chaque année. Pénuries d'eau, désertification galopante, températures en hausse: l'Irak est considéré par l'ONU comme un des cinq pays au monde les plus exposés à certaines conséquences du changement climatique, frappant de plein fouet certains secteurs comme l'agriculture.
L'Afrique du Sud, gros émetteur de gaz à effet de serre qui peine avec sa transition énergétique, a décroché une aide de 497 millions de dollars pour reconvertir une de ses vétustes centrales à charbon, a annoncé la Banque mondiale dans un communiqué reçu vendredi. La première puissance industrielle du continent dont une délégation accompagnera le président Cyril Ramaphosa à la COP27 qui s'ouvre dimanche en Egypte, tire encore 80% de son électricité du charbon, pilier de l'économie sud-africaine employant près de 100.000 personnes.
Comment le changement climatique agit-il sur la sécurité alimentaire mondiale aujourd'hui et à quoi peut-on s'attendre demain ?
La Banque mondiale a injecté 14,8 milliards de dollars dans des projets liés à l'énergie fossile depuis l'adoption de l'Accord de Paris sur le climat, selon un rapport d'une coalition d'ONG environnementales publié jeudi. L'institution financière internationale a promis en 2018 de cesser de financer l'extraction pétrolière et gazière, souligne cette analyse compilée par la coalition The Big Shift Global. Mais si ces financements directs ont baissé, la mesure n'incluait pas les financements indirects via des intermédiaires, par exemple des banques privées, note-t-elle.
De nombreuses personnes ont basculé dans l'extrême pauvreté.
La Maison Blanche a dit « condamner », vendredi, les propos de David Malpass, qui avait refusé de reconnaître, lors d’une table ronde, le rôle des énergies fossiles dans le réchauffement climatique.
Dans un rapport, l’institution rappelle l’importance d’une croissance « rapide, résiliente et inclusive » comme « meilleure forme d’adaptation au changement climatique ».
Après l'annonce d'une inflation record aux États-Unis, les marchés tablent sur de fortes hausses des taux d'intérêt américains et craignent une récession, ce qui provoquait lundi une chute des actions.
Les prix alimentaires et de l'énergie, dont la hausse a été exacerbée par la guerre en Ukraine, pourraient rester élevés pendant plusieurs années, estime la Banque mondiale qui évoque la fin de l'année 2024.
Et si des emprunts obligataires n’avaient pas pour moteur le profit, mais la préservation d’une espèce menacée, le rhinocéros noir ? C’est le projet lancé par la Banque mondiale en Afrique du Sud, dans une démarche qui concilie finance et préservation des espèces, souligne ce quotidien sud-africain.
Le Produit intérieur brut de l'Ukraine va plonger de 45,1% cette année, celui de la Russie de 11,2%, selon les dernières projections de l'institution de Washington. Pour l'Ukraine, c'est bien pire que les 10% à 35% projetés il y a un mois par le Fonds monétaire international (FMI), ou les 20% annoncés le 31 mars par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd).
La présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a estimé jeudi que la flambée des prix va laisser des traces et que l'inflation ne reviendra pas à ses faibles niveaux d'avant la pandémie et la guerre en Ukraine. "Nous sommes de plus en plus convaincus que la dynamique de l'inflation à moyen terme ne reviendra pas au schéma que nous avons connu avant la pandémie", quand l'indicateur restait durablement sous l'objectif de 2 % visé par la BCE, a déclaré Mme Lagarde lors d'un colloque à Francfort.
La Banque centrale des États-Unis, l'administration Biden et, mercredi, le Conseil de stabilité financière ont tous tiré la sonnette d’alarme concernant les "stablecoins". Ces cryptomonnaies d'un genre particulier sont considérées comme étant un potentiel danger majeur pour la stabilité financière mondiale. Explications.

2021

L'économie mondiale est confrontée depuis des mois à des engorgements sur les chaînes logistiques qui alimentent l'inflation et menacent la croissance, une problématique au coeur des réunions du FMI, de la Banque mondiale et des G20 et G7 Finances à Washington mercredi.
Preuve que le climat est un sujet brûlant dans la finance, l’une des salves les plus sévères a été tirée par BlackRock, le plus grand fonds d’investissement au monde. Dans un rapport de 273 pages, commandé par la Commission européenne et publié fin août 2021, il estime que les banques ne sont tout simplement pas en mesure de savoir si les prêts qu’elles accordent aux entreprises financent réellement ou non des investissements verts ». BlackRock se considère lui-même comme un bon élève. Sous l’influence des millions d’Américains qui lui ont confié leur épargne retraite, il vote régulièrement des motions de défiance contre la stratégie de certaines des 17 000 entreprises mondiales où il possède des participations.
D’ici à 2050, le changement climatique risque de contraindre 216 millions de personnes à migrer à l’intérieur de leur pays.
Jusqu'à 216 millions de personnes pourraient migrer d'ici 2050 dans le monde pour fuir les effets néfastes du changement climatique tels que la baisse de la production agricole, la pénurie d'eau et la hausse du niveau de la mer, un phénomène qui n'est toutefois pas irréversible, selon la Banque mondiale.
Le Liban traverse depuis fin octobre 2019 une crise sans nom. Il s’agit de l’une des pires crises économiques au monde depuis 1850, d’après la Banque Mondiale et connaît d’importantes pénuries de carburants qui affectent l’approvisionnement en biens de première nécessité. Outre le secteur de l’alimentation, le secteur médical et hospitalier tirent la sonnette d’alarme.
Si votre carte de paiement arrive bientôt à expiration ou que vous prévoyez de changer de banque, vous avez des raisons d'être inquiet. Depuis plusieurs semaines, la planète est en effet victime d'une pénurie massive de semi-conducteurs, ces éléments de base qui composent les puces de notre matériel électronique.
En 2019, la Banque lance son Plan d’action sur l’adaptation au changement climatique et la résilience (a) afin d’aider encore davantage les pays à s’adapter au dérèglement du climat, gérer les risques et renforcer la résilience — à savoir, la capacité à anticiper les perturbations, surmonter un choc et tirer parti d’une expérience déstabilisante. Le plan prévoit d’élaborer un nouveau système de notation pour améliorer le suivi des progrès de l’adaptation et de la résilience dans le monde et de créer des incitations à promouvoir des mesures d’adaptation plus nombreuses et efficaces.

2020

Après les Panama Papers et LuxLeaks, voici les FinCEN Files. Il s’agit de plus de 2.100 documents attestant de flux d’argent considérés comme suspects par l’organisme américain de lutte contre le blanchiment, le Financial Crimes Enforcement Network (FinCEN). Cet organisme dispose d’une connaissance assez approfondie du phénomène, du fait que beaucoup de criminels essaient de convertir leur argent sale en dollars. Les documents concernent la période 2011-2017 et émanent pour la plupart des banques elles-mêmes.

2019

2018

2017

Les énergies renouvelables sont dangereuses pour l’environnement, c’est la Banque Mondiale qui le dit ! Son nouveau rapport, intitulé (en anglais) « Le rôle croissant des minéraux et des métaux pour un rapport sur le carbone », montre que les outils technologiques des énergies « propres », éolien, solaire, hydrogène et systèmes électriques, nécessitent beaucoup plus de ressources rares, que les systèmes d’alimentation en énergie traditionnelle.