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COPERNICUS – Mises à jour
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Après des mois de campagne et un suspense jusque dans les dernières heures, c’est bien Donald Trump qui est réélu président des Etats-Unis. Il est donc possible de déclarer sans sourciller que les immigrés mangent des chiens et des chats, d’être ouvertement climatosceptique, de mentir plusieurs fois par jour en interview ou en meeting, d’être mis en examen et de remporter l’élection présidentielle de l’un des plus grands et puissants pays du monde.
L'élection mercredi à la Maison Blanche de Donald Trump, ouvertement climatosceptique et favorable au pétrole, va marquer un tournant à 180 degrés de la politique environnementale et climatique des Etats-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre.Le républicain a promis durant sa campagne de "forer à tout va" et remis ouvertement en doute la réalité du changement climatique, à rebours de la politique de transition énergétique engagée par son prédécesseur Joe Biden.
Le ministère français de la Transition écologique a confirmé lundi son objectif de réduire de moitié les émissions brutes de gaz à effet de serre de la France d'ici 2030 par rapport à 1990. La part des énergies fossiles doit baisser tandis que celle de l'électricité doit augmenter, notamment grâce à la construction de réacteurs nucléaires de nouvelle génération.
Les plans mondiaux de réduction des émissions de carbone impliquent que la température dépassera 1.5°C, puis redescendra après vingt ou trente ans. Cependant, une nouvelle étude montre que des décennies au-dessus de ce seuil entraîneraient des « conséquences irréversibles » pour la planète.
Quelles seraient les conséquences géopolitiques d’une décarbonation par réduction de la part des énergies fossiles dans un mix énergétique ?
La France va fortement réduire sa consommation d'énergies fossiles d'ici 2030, avec en ligne de mire la diminution de 50% de ses émissions brutes de gaz à effet de serre par rapport à 1990, a annoncé le gouvernement en présentant lundi sa feuille de route pour l'énergie et le climat d'ici à 2050.
Avec un an de retard, le gouvernement a mis en consultation, les documents présentant sa feuille de route énergétique et climatique.
De la prise de conscience à la multiplication des alertes, voici dix grandes dates de la mobilisation internationale sur le climat, à l'occasion de la COP29 organisée en Azerbaïdjan.- 1988: création du Giec -Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat, le Giec, voit le jour sous l'égide de l'ONU. Ces experts bénévoles sont chargés d'analyser le changement climatique et de fournir des bases de négociations pour les conférences sur le climat.- 1992: sommet de la Terre à Rio -
Le monde a rendez-vous à Bakou la semaine prochaine pour une COP29 consacrée à la finance climatique mais qui pourrait être percutée par le résultat des élections américaines, en cas de retour au pouvoir de Donald Trump.La conférence annuelle de l'ONU sur le climat (11-22 novembre) doit se conclure par un nouvel objectif d'aide financière aux pays en développement, afin qu'ils puissent réduire leurs rejets de gaz à effet de serre et s'adapter au changement climatique.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.
Combien de nucléaire, d'éoliennes et de panneaux solaires? Combien de voitures électriques? Comment s'adapter aux inondations à répétition? Après des mois de retard et juste avant la COP29 à Bakou, la France présente lundi ses feuilles de route pour l'énergie et le climat d'ici 2030.
Nos émissions de gaz à effet de serre ne faiblissent pas, au contraire. Les températures planétaires augmentent inexorablement. On nous annonce que la France doit se préparer à + 4° d'ici la fin du siècle : notre organisation sociale, notre modèle économique et nos modes de vie vont être bouleversés. Nous « adapter » va devenir une nécessité. Mais à quoi, comment, et jusqu'où ?
Un an après l'accord sans précédent des pays du monde entier à Dubaï en faveur d'une "transition" vers l'abandon des énergies fossiles, les dirigeants mondiaux peinent ou rechignent à traduire cette promesse en actes, constatent des diplomates, militants et experts.
La catastrophe qui a frappé l’Espagne, conséquence du réchauffement climatique et du retard dans les politiques d’adaptation, doit nous alerter à un moment d’affaiblissement de l’écologie politique et de recul des exigences liées au climat.
La violence des inondations dans le sud-est de l’Espagne est un reflet du changement climatique, mais également la conséquence d'un étalement urbain qui n'a pas pris l'eau en compte, explique l’urbaniste Clément Gaillard.
L'Observatoire de l'assurabilité va travailler sur des cartes des zones exposées aux risques climatiques et du marché de l'assurance.
L’urgence d’un changement de modèle de société gronde de plus en plus lourdement. Malgré un accord présenté comme historique à la COP28, appelant à une transition hors des énergies fossiles, force est de constater que de nombreux blocages fondamentaux persistent. Tous sont entretenus par un mécanisme bien connu, le système dette, outil favori du capitalisme néolibéral.
Dans une tribune au « Monde », la géographe Magali Reghezza-Zitt alerte quant aux risques majeurs que l’inaction climatique engendre : chaque dixième de degré supplémentaire augmente de façon exponentielle les extrêmes hydroclimatiques.
La 29e Conférence des Nations Unies sur le changement climatique, ou COP29, se déroulera à Bakou, en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024. Les critiques des ONG de défense des droits de l’homme concernant cette COP29 sont particulièrement vives. Des organisations comme Human Rights Watch et Amnesty International expriment de vives inquiétudes sur la répression des libertés fondamentales dans le pays hôte.
Face au renforcement des normes européennes sur les émissions de CO2, les constructeurs automobiles européens pourraient payer de lourdes compensations, fermer des usines, ou bien augmenter les prix de leurs voitures à essence.Les constructeurs automobiles doivent respecter une moyenne annuelle d'émissions par voiture vendue en Europe. Cette norme dite CAFE (Corporate Average Fuel Economy) les oblige à vendre progressivement des véhicules de moins en moins polluants.