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COPERNICUS – Mises à jour
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Une nouvelle alerte sur le manque d'ambition des politiques mondiales de réduction des gaz à effet de serre. Selon l'outil Climate Action Tracker, nous sommes sur la voie d'un réchauffement de 2,7°C à la fin de ce siècle.Et ce ne sont pas les marchés carbone qui vont nous aider. Si leur régulation a été adoptée au début de cette COP, il reste des zones d'ombre. Et ces crédits pourraient au mieux être inefficaces et au pire nous faire perdre un temps précieux.
Les émissions de CO2 issues des énergies fossiles ont augmenté de 0,8 % par rapport à 2023, estiment les scientifiques du Global Carbon Project dans un rapport. Ce qui augure d'un réchauffement de 2 °C atteint dans 27 ans.
Les émissions de CO2 pour 2024 vont battre un nouveau record, selon la nouvelle édition du Global Carbon Budget, publié ce 13 novembre.
Les 198 parties ont jusqu’au 22 novembre pour s’accorder sur le financement de la transition « verte » des pays en développement. Une entreprise difficile, marquée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et l’alerte sur l’année 2024, qui dépassera 1,5 ºC de réchauffement climatique.
Dans son rapport provisoire sur l’état du climat en 2024 publié lundi 11 novembre, l’Organisation météorologique mondiale sonne « l’alerte maximale face au rythme effréné du changement climatique ».
Dans une étude parue ce lundi, un binôme de chercheurs assure que les activités humaines ont commencé à réchauffer le climat bien avant la période pré-industrielle, prise comme référence pour calculer la hausse du thermomètre mondial.
Cette année est en passe de devenir la plus chaude jamais enregistrée et également la première à franchir le seuil de 1,5 °C au-dessus de la moyenne préindustrielle, selon un rapport.
Le mois d’octobre a été le deuxième plus chaud dans le monde, après octobre 2023, selon le service européen Copernicus, qui appelle à « rehausser l’ambition » en matière de lutte contre le réchauffement climatique lors de la COP29 qui s’ouvre le 11 novembre.
Pour Copernicus, l'organisme de surveillance du climat européen, cela ne fait plus de doute : 2024 sera l'année la plus chaude enregistrée depuis le début des relevés météo, et battra donc le précédent record de 2023. Mais ce n'est pas tout, 2024 sera aussi la première année à dépasser le seuil symbolique des +1,5 °C de réchauffement par rapport au niveau préindustriel. Rappelons que ce seuil était celui qui ne devait pas être dépassé, d'ici la fin du siècle, selon les engagements pris lors de l'Accord de Paris.
La réélection de Donald Trump qui remet en cause le changement climatique et défend les énergies fossiles, risque de tuer l'objectif 1,5°C.
Les plans mondiaux de réduction des émissions de carbone impliquent que la température dépassera 1.5°C, puis redescendra après vingt ou trente ans. Cependant, une nouvelle étude montre que des décennies au-dessus de ce seuil entraîneraient des « conséquences irréversibles » pour la planète.
Les mesures des pays entraînent le monde vers une hausse de 3,1 °C, selon l'Onu.
A deux semaines de la COP29, l'ONU sonne une nouvelle fois l'alarme: les engagements climatiques actuels des pays ne sont pas du tout sur la bonne voie pour contenir le réchauffement à 1,5°C et ainsi éviter les conséquences les plus catastrophiques. Ces engagements mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à la limite la plus ambitieuse de l'accord de Paris, a alerté lundi l'ONU Climat dans un rapport mis à jour chaque année.
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux décennies.
Dans un rapport publié ce lundi, l’ONU alerte sur de nouvelle augmentations qui entraîneront immanquablement des hausses de température ces prochaines années. Nous éloignant encore de l’objectif de limiter le réchauffement à +2°C.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
L'ONU a tiré l'alarme lundi sur la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre, à deux semaines de l'ouverture de la COP29. Ces engagements mènent à seulement 2,6 % de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43 % préconisés.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
Les rivières atmosphériques se déplacent de façon inattendue depuis plusieurs décennies, et ce n'est pas sans conséquences.
L'action climatique des États doit faire un "bond en avant" dans les prochains mois, sinon l'espoir de maintenir le réchauffement planétaire à moins de 1,5 °C "sera bientôt mort", alerte jeudi l'ONU dans un rapport pointant l'absence de progrès significatifs depuis un an.