Au Feu !

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« La planète brûle et on regarde ailleurs … »

Vagues de chaleur, températures hors normes, incendies, méga-feux, la planète étouffe. Les records s’enchaînent, les conséquences sur les activités humaines aussi…

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avril 2025

En cette fin avril, les températures atteignent de nouveaux records en Asie centrale et au Moyen-Orient.La saison chaude commence à peine, que le mercure s’affole déjà sur le continent asiatique, de l’Irak à l’Inde, en passant par l’Arabie Saoudite et le Pakistan. «En trois siècles d’histoire climatique, rien ne peut être comparé à ce qui se passe actuellement en Asie», a alerté Maximiliano Herrera, climatologue et spécialiste des records climatiques, ce dimanche 27 avril sur le réseau social Bluesky. «Des dizaines de milliers de records sont battus avec des marges insensées dans toute l’Asie. Nous assistons à l’événement le plus extrême jamais observé», pointe-t-il.
Comme une centaine de territoires volontaires, quelque 90 communes béarnaises lancent un projet pilote pour anticiper un climat réchauffé de 4°C. Première étape : faire un diagnostic des risques, qui mêlent pluies diluviennes, sécheresse et feux de forêt.
For hundreds of millions of people living in India and Pakistan the early arrival of summer heatwaves has become a terrifying reality that’s testing survivability limits and putting enormous strain on energy supplies, vital crops and livelihoods. Both countries experience heatwaves during the summer months of May and June, but this year’s heatwave season has arrived sooner than usual and is predicted to last longer too. Temperatures are expected to climb to dangerous levels in both countries this week.
Des hommes armés ont attaqué dimanche le chantier de construction d'une centrale hydroélectrique chinoise au Chili, mettant le feu à des dizaines de camions et plusieurs équipements lourds de terrassement, a indiqué la police. La centrale, situé à 550 km au sud de Santiago, est construite par Rucalhue Energia Spa, une filiale de China International Water and Electric Corporation (CWE), et les travaux devraient s'élever à 350 millions de dollars.
Global temperature for 2025 should decline little, if at all, from the record 2024 level. Absence of a large temperature decline after the huge El Nino-spurred temperature increase in 2023-24 will provide further confirmation that IPCC’s best estimates for climate sensitivity and aerosol climate forcing were both underestimates. Specifically, 2025 global temperature should remain near or above +1.5C relative to 1880-1920, and, if the tropics remain ENSO-neutral, there is good chance that 2025 may even exceed the 2024 record high global temperature.
Les températures records observées à la surface de l’Atlantique Nord en 2023 ont fait couler beaucoup d’encre. Témoignent-elles réellement, comme on a alors pu le lire, d’un emballement du changement climatique ? Dans une récente étude, quatre chercheurs français répondent à cette question.
Tempête Boris, pluies torrentielles en Espagne… En 2024, l’Europe n’a pas été épargnée par les conséquences du changement climatique. Le bilan annuel du climat de l'organisme européen Copernicus et de l'Organisation météorologique mondiale montre les conséquences dramatiques de l'année la plus chaude jamais enregistrée.
L’année a été la plus chaude jamais enregistrée sur le Vieux Continent, avec des températures record dans les régions du Centre, de l’Est et du Sud-Est. Les tempêtes ont été violentes et les inondations généralisées, selon le bilan de Copernicus.
Le rapport sur l’état du climat européen en 2024, publié conjointement par le Service Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale (OMM) ce mardi 15 avril, décrit un Vieux Continent scindé par les extrêmes climatiques.
Records de chaleur, désastres climatiques : en 2024, l’Europe a été particulièrement touchée par le dérèglement climatique, révèle un épais rapport de Copernicus. Le point en infographies.
L’Europe est en première ligne face au dérèglement climatique et n’a pas été épargnée en 2024, avec un fort contraste entre l’est et l’ouest. C’est ce que révèlent l’organisme européen Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale dans leur bilan annuel ce mardi. On fait le point.
Le rapport sur l’état du climat de l’Europe en 2024 montre un contraste entre les conséquences de la crise climatique à l’est et à l’ouest du continent, alors qu’il est celui qui se réchauffe le plus vite sur la planète.
L'Inde devrait encore connaître un été de chaleur record, selon son département météorologique. En 2024, le pays avait déjà connu la vague de chaleur la plus longue jamais enregistrée, pendant 24 jours et à des températures dépassant les 45°C, provoquant la mort d'au moins 150 personnes.
Un immense gâchis. Des millions de logements pourraient être chauffés grâce à la chaleur des centres de données gigantesques qui se multiplient. Mais faute de volonté politique, tout reste à faire.
Le mois de mars n’a pas dérogé à la tendance : les températures mondiales sont restées exceptionnellement élevées, dans la continuité de près de deux ans de chaleur anormale, et atteignant des niveaux proches du pire scénario envisagé par les scientifiques sur le réchauffement climatique.
L’Europe, qui se réchauffe plus vite que le reste du monde, a connu son mois de mars le plus chaud jamais enregistré, s’accompagnant de précipitations extrêmes dans certaines régions tandis que d’autres se trouvaient dans la sécheresse.
Les températures ont encore atteint des records ce mois de mars 2025, le plus chaud d’Europe depuis l’ère préindustrielle, rapporte l’observatoire européen Copernicus ce mardi 8 avril. En Arctique, la glace de mer hivernale est à son niveau le plus bas jamais enregistré.En Europe, le mois de mars 2025 a été le plus chaud jamais enregistré depuis l’ère préindustrielle. Selon un rapport de l’observatoire européen Copernicus publié ce mardi 8 avril, les températures ont été majoritairement supérieures à la moyenne sur l’ensemble du Vieux Continent, les anomalies chaudes les plus importantes ayant été relevées en Europe de l’Est et dans le sud-ouest de la Russie.
Les températures mondiales se sont maintenues à des niveaux historiquement élevés en mars, poursuivant une série de près de deux ans de chaleur extraordinaire sur la planète, dans la fourchette haute des prévisions scientifiques sur le réchauffement climatique.
On les pensait inoffensifs, voire protecteurs. Et pourtant, les nuages qui survolent les océans semblent de moins en moins capables de renvoyer la lumière solaire vers l’espace. En clair : ils laissent passer plus de chaleur, contribuant à un réchauffement accru de la planète. Un phénomène récemment mis en lumière par des chercheurs britanniques, qui soulève un paradoxe troublant : et si l’air plus propre que nous respirons aujourd’hui… favorisait indirectement le changement climatique ?

mars 2025

Recent projections suggest that large geographical areas will soon experience heat and humidity exceeding limits for human thermoregulation. The survivability limits modeled in that research were based on laboratory studies suggesting that humans cannot effectively thermoregulate in wet bulb temperatures (Twb) above 26 to 31 °C, values considerably lower than the widely publicized theoretical threshold of 35 °C. The newly proposed empirical limits were derived from the Twb corresponding to the core temperature inflection point in participants exposed to stepped increases in air temperature or relative humidity in a climate-controlled chamber. Despite the increasing use of these thermal-step protocols, their validity has not been established. We used a humidity-step protocol to estimate the Twb threshold for core temperature inflection in 12 volunteers.


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