« … Les forêts abritent une grande richesse écologique, concentrant 80 % de la biodiversité terrestre mondiale recensée. Cette richesse est largement utilisée par l’homme, … Elles sont un milieu de vie et une source de revenus pour l’être humain : au début du XXIe siècle, plus de cinq cent millions de personnes, dont plusieurs peuples autochtones, vivent en forêt ou à ses abords et subsistent directement grâce à ses ressources. « . Source : wikipedia
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François Gemenne
Tous les samedis on décrypte les enjeux du climat avec François Gemenne, professeur à HEC, président du Conseil scientifique de la Fondation pour la nature et l'homme et membre du GIEC.
François Gemenne par du constat que les alertes sur la gravité du changement climatique sont souvent inefficaces car elles reposent sur la peur. Illustrant cela avec une anecdote sur un couple qui a voté de manière stratégique aux élections pour concilier leurs préoccupations écologiques et leurs intérêts économiques immédiats, il souligne ensuite le décalage temporel et spatial des impacts climatiques, et le fait que ceux qui subissent les conséquences ne sont pas toujours ceux qui les causent.
L'impossible transition ? Un débat avec : - Jean-Baptiste Fressoz, historien des sciences, des techniques et de l’environnement, auteur de « Sans transition » (Éditions du Seuil) - François Gemenne, spécialiste de la gouvernance du climat et des migrations, directeur de l’Observatoire Hugo à l’université de Liège, enseignant à HEC Paris - Animé par Sébastien Billard, journaliste au Nouvel Obs Ce grand rendez-vous organisé par le Nouvel Obs et l'Académie du climat donne la parole à des philosophes, des économistes, des activistes et de nombreux.ses artistes convié·e·s pour réfléchir ensemble à un futur désirable. Et si nous essayions, tous ensemble, durant l’espace d’un week-end, de mettre un peu de côté les difficultés que nous avons à transitionner vers une civilisation écologique, enfin respectueuse de l’humain et du vivant ? Et si nous nous efforcions plutôt d’ouvrir le champ, immense et vivifiant, des possibles ? Car il est clair que notre futur n’est que celui que nous aurons la force d’imaginer avant
Face au réchauffement climatique et à la sécheresse qui frappe la France, l'hydrologue et présidente fondatrice de la société Mayane Emma Haziza appelle à prendre des mesures plus fortes. Le politologue et chercheur François Gemenne appelle lui aussi au "volontarisme".
Ce jeudi 28 décembre, Élisabeth Quin reçoit François Gemenne, chercheur et spécialiste de la gouvernance du climat, pour faire un bilan environnemental de ces douze derniers mois. 2023 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée, mais également l'année du record mondial de consommation de charbon, ou encore celle de la COP28 aux Émirats arabes unis. Elle a été marquée par la notion de sobriété — consentie ou subie — pour ralentir le réchauffement climatique, mais aussi par les différentes réactions face à l'urgence climatique. De l'activisme écologique à la désobéissance civile, en passant par le déni des climato-sceptiques : a-t-on encore le temps de convaincre les citoyens ? Nous poursuivrons ces discussions avec l'exploratrice low-tech Caroline Pultz, qui a passé quatre mois en autonomie totale dans le désert mexicain. L'objectif : prouver que les techniques sobres en énergie sont viables et peuvent accompagner la lutte contre le dérèglement climatique, avec une empreinte environnementale favorab
Le réchauffement de la planète provoquera immanquablement des mouvements de populations, prévient François Gemenne, spécialiste des migrations environnementales dans un entretien au « Monde ». Un phénomène qui pourrait même entraîner une reconfiguration sociale et politique des régions françaises.
Tous les samedis, "Zéro émission" avec François Gemenne, professeur à HEC et membre du GIEC, spécialiste du climat et des migrations. C'est le nouveau rendez-vous pour décrypter sur franceinfo les enjeux du climat. Samedi 23 septembre le pan de planification écologique.
Spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement et des migrations, François Gemenne tire la sonnette d’alarme suite aux derniers événements qui secouent nos vies… même en Belgique.
Climat et migration
Alors que les circonstances devraient y conduire, l’écologie ne parvient pas à s’imposer comme la force politique dominante du XXIe siècle. Les signaux d’alarme concernant les destructions de l’environnement n’ont jamais été aussi forts, le climat est désormais une des principales préoccupations des Français, et pourtant… Alors que les activistes demandent aux gouvernements d’agir davantage pour le climat, les résultats des élections envoient un tout autre signal aux dirigeants.
François Gemenne, spécialiste de la gouvernance du climat et des migrations, directeur de l’Observatoire Hugo à l’université de Liège, membre du Giec, et Emm...
Politologue et membre du Giec, François Gemenne appelle à un sursaut collectif pour se préparer à faire face au scénario d’une hausse de 4°C des températures d’ici à 2100.
Chercheur en sciences politiques à l'Université de Liège, François Gemenne enseigne également à Sciences Po et à l'Université libre de Bruxelles. Il est spécialiste des migrations et des enjeux climatiques. Il publie un nouvel ouvrage intitulé "L’écologie n’est pas un consensus. Dépasser l’indignation" (Fayard). Il fait le bilan de cette année 2022 tout en considérant les défis majeurs qui seront, selon lui, ceux de 2023.
Ils ne s’étaient jamais rencontrés. L’économiste Bruno Colmant, membre de l’Académie royale, écoute souvent François Gemenne, le climatologue expert en migrations devenu la coqueluche de nos voisins, sur France Inter. À la fin d’une journée glaciale, ils se sont installés à la rédaction de Moustique pour un débat qui n’a souffert d’aucun temps mort, dans […]
François Gemenne plaide pour que la 27e conférence de l'ONU sur le climat fixe comme objectif de limiter la hausse générale des températures à deux degrés d'ici la fin du siècle, soit l'engagement signé à Paris en 2015.
Alors que les circonstances devraient y conduire, l’écologie politique ne parvient pas à s’imposer comme la force politique dominante du XXIème siècle. Cet ouvrage essaie d’expliquer les raisons qui empêchent cela, et les limites de la démocratie représentative dans sa capacité à mener des politiques transformatrices pour le climat ou la biodiversité. Si la démocratie représentative est une impasse, la situation n’est pas désespérée pour autant : la démocratie ne se réduit pas aux élections, et l’ouvrage montre comme le changement peut advenir… sans passer par une "dictature verte".
La consommation était au menu de la troisième soirée du festival des solutions écologiques hier à Nevers. Avec comme invités l’hydrologue Emma Haziza et le politologue François Gemenne.
Les inondations au Pakistan provoquent des « migrations climatiques ». Dans une tribune au « Monde », le politiste François Gemenne défend la mise en place d’une gouvernance internationale sur cette question.
Très médiatisé en France, le spécialiste liégeois du climat met en garde contre de prochains étés à 50°. Nos sociétés ne sont pas encore assez adaptées et l'action des entreprises sera déterminante.
Nous sommes au bord de la rupture climatique. La mobilisation sociale ne suit pas. Spécialiste du climat, François Gemenne relance l’alerte : « Ça deviendra encore plus compliqué quand nous devrons subir la même année et des inondations et la sécheresse ».
François Gemenne, politologue, spécialiste en gouvernance du climat, revient sur les inondations de 2021 en Wallonie, notamment le prêt, au lieu d’un don, octroyé par le fédéral : « C’est interpellant et révélateur à l’échelle belge de ce qui se joue à l’échelle internationale : les pays riches ne veulent pas trop payer pour les pertes et les dommages qui toucheront les pays pauvres... »
Ce soir sur QG, Aude Lancelin reçoit François Gemenne, membre du GIEC, spécialiste en géopolitique du réchauffement climatique, pour un grand entretien choc. Alors qu’un fort épisode de canicule frappe la métropole, les prévisions pessimistes des derniers rapports du GIEC semblent de plus en plus concrètes.
François Gemenne produit une densité impressionnante de pensées politiquement incorrectes en ce moment. Après avoir subi une lourde frustration, à cause de la défaite des écologistes français, malgré l’expertise qu’il a prêtée au candidat Jadot, et en plein questionnement existentiel sur le rôle des scientifiques et des intellectuels face à l’Écocide mondial, il ne mâche plus ses mots.
Est-on sur la bonne voie pour une transition juste et équitable? Comment entrer dans une société plus durable tout en préservant le pouvoir d’achat ? Est-ce seulement possible? L'invité de Maxime Binet ce matin sur DH Radio, François Gemenne, tente de répondre à ces questions.
Cet ouvrage ouvre pour la première fois la boîte noire du GIEC. Il raconte la rigueur du processus d'évaluation et la lourdeur bureaucratique que cela induit. Il décrit le travail de négociation des experts avec les États sur les principales conclusions et pointe le risque de dépolitisation des enjeux climatiques.
Invité jeudi dans Forum aux côtés de la conseillère nationale verte vaudoise Valentine Python, le scientifique belge et membre du GIEC François Gemenne s'est exprimé sur les capacités selon lui limitées de la démocratie représentative à être vectrice de solutions face à la crise climatique.
Le climatologue François Gemenne est devenu très pessimiste quand aux possibilités de l’humanité à ralentir le réchauffement climatique ou face à l’avenir de l’écologie politique.
Extrait
Soutenir un programme écologiste lors d’une élection nationale, c’est comme soutenir le PSG en Ligue des Champions : c’est l’assurance d’être toujours déçu. Trois réflexions sur l'échec du 1er tour.
Bienvenue dans ce "TALK" avec un homme qui a plusieurs casquettes à son arc ou alors plusieurs cordes sur sa tête : François Gemenne. Auteur principal pour le #GIEC Il est professeur à l'Institut d'études politiques de Paris. Directeur de l'Observatoire Hugo dédié aux #migrations environnementales à l'Université de Liège en Belgique.
Cette conférence vient montrer en quoi la coopération internationale, aussi imparfaite et laborieuse soit-elle, reste nécessaire pour lutter contre le réchauffement climatique, et pourquoi les enjeux soulevés par le climat redessinent les relations internationales. Car gouverner le climat, désormais, c’est aussi gouverner l’irréversible, ce qui passera notamment par des choix collectifs déterminants.
Les chercheurs se plaignent de ne pas être écoutés. Mais veulent-ils vraiment se faire entendre? La posture neutre du GIEC n’est plus tenable au regard des enjeux.
Un monde plus chaud sera aussi un monde plus violent. Alors qu'une hausse des températures d'à peine 1 °C depuis l'ère préindustrielle a déjà des conséquences préoccupantes pour la sécurité nationale et internationale, il ne fait pas de doute que cette tendance va s’amplifier et nous faire entrer dans une longue période de tensions. Les armées ne doivent pas seulement réduire leur empreinte carbone. Acteurs majeurs de la paix et de la sécurité, elles doivent aussi s’adapter à une situation qui affecte lourdement leurs missions et leurs capacités pour s’engager dans une véritable politique de sécurité climatique.
A l’occasion de la COP26, le chercheur en géopolitique de l’environnement et des migrations François Gemenne répond à 10 questions sur le réchauffement climatique
Le climat n’est plus aujourd’hui une simple question environnementale : il est devenu un sujet politique incontournable, touchant à la fois à l’équilibre des forces et des pouvoirs, aux modèles de développement, à nos modes de production et de consommation. Il est ainsi le terrain d’interactions complexes entre États.
Le climat n’est plus une simple question environnementale : il est désormais incontournable dans les relations internationales et est devenu un enjeu diplomatique majeur. Sujet de préoccupation croissante des citoyens dans la plupart des pays industrialisés, il est également entré de plain-pied en démocratie à la faveur des mobilisations de jeunes emmenés par Greta Thunberg, et fait aujourd'hui l’objet d’âpres débats politiques et électoraux.Car il y a urgence. Si la pandémie de Covid-19 a laissé croire à l’émergence d’un « monde d’après », les émissions de gaz à effet de serre sont reparties de plus belle après la levée du premier confinement.
A l’occasion de la 26e conférence des Nations unies sur le climat, qui se tient du 31 octobre au 12 novembre 2021 à Glasgow (Ecosse), France 3 Hauts-de-France a proposé au chercheur François Gemenne de répondre à dix questions sur le réchauffement climatique.
Il faut cesser de surestimer le pouvoir des COP, selon le politologue François Gemenne : elles restent des négociations sans fin entre États, sur une catastrophe qui a déjà commencé. Elles sont toutefois cruciales et gagneraient, d’après lui, à être ouvertes aux acteurs non étatiques.
nous sommes sur une trajectoire d’émissions qui nous mènerait vers 2,7 °C d’augmentation des températures si l’ensemble des gouvernements se conformaient à leurs engagements. Or, on sait d’expérience, et l’Histoire nous apprend, que les gouvernements ont tendance à ne pas respecter leurs engagements. Surtout si ces engagements sont pris de façon unilatérale sans aucune contrainte.
e ne partage pas (du tout) l'enthousiasme de beaucoup pour les résultats des Verts aux élections allemandes. Au contraire, je pense que ces résultats sont catastrophiques, et signent la fin de l'espoir de la gouvernance du climat par la construction d'une majorité démocratique. Ainsi donc, dans une démocratie apaisée, dans l'urgence actuelle, après une campagne qui s'est concentrée sur les enjeux de fond (et en premier lieu sur le climat) plutôt que sur des polémiques futiles, le parti écologiste qui est certainement le plus structuré au monde a réussi à rassembler... un électeur sur sept. Cela veut dire que, dans le contexte le plus favorable qui soit, l'écologie politique ne représente qu'une part très minoritaire de la population - et de plus en plus minoritaire au fur et à mesure que cette population vieillit.