« … Les forêts abritent une grande richesse écologique, concentrant 80 % de la biodiversité terrestre mondiale recensée. Cette richesse est largement utilisée par l’homme, … Elles sont un milieu de vie et une source de revenus pour l’être humain : au début du XXIe siècle, plus de cinq cent millions de personnes, dont plusieurs peuples autochtones, vivent en forêt ou à ses abords et subsistent directement grâce à ses ressources. « . Source : wikipedia
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Gilles Toussaint
C’est un paradoxe qui n’en finit pas d’étonner : plus les catastrophes liées aux dérèglements du climat se multiplient et gagnent en gravité, plus les compagnies productrices d’énergies fossiles (et les États auxquels celles-ci sont souvent adossées) mobilisent leurs colossaux moyens pour convaincre les populations qu’il faut encore les exploiter davantage. Argument avancé : c’est grâce à la richesse générée par ces ressources que l’on fera émerger les solutions technologiques qui régleront à elles seules le problème des émissions de gaz à effet de serre.
Qualifiées une nouvelle fois de "scènes de guerre", les images qui nous parviennent de l’archipel d’Hawaï laissent effectivement pantois devant l’étendue des dégâts mais aussi, et surtout, devant l’impuissance dans laquelle ont été plongées les victimes de ce désastre d’une nature inédite. Ici encore, et même s’il ne s’agit pas du seul facteur en cause, cette catastrophe porte l’empreinte du dérèglement du système climatique de la planète, qui a contribué à amplifier le développement d’incendies dont le déclenchement est favorisé par une sécheresse accrue à laquelle n’echappe pas ce recoin du monde.
Le dossier azote paralyse le gouvernement flamand. Mais qu'est-ce c'est l'azote, et pourquoi ça pose problème ?
L’étendue de la pollution aux PFAS en Europe est révélée dans une cartographie inédite réalisée par un consortium de journaux au terme d’une enquête approfondie. La Flandre fait partie des régions particulièrement concernées.
Bâtir les plus rapidement possible une économie décarbonée, voila l’objectif ambitieux des Shifters. Ils sont de plus en plus nombreux, dans le monde francophone, à adhérer bénévolement à ce mouvement de “lobbying citoyen” amorcé en France, dans l’espoir de transformer progressivement et radicalement la société.
Une nouvelle étude publiée dans "Science" réévalue à la hausse l’ampleur de la fonte des glaciers au cours de ce siècle.
Face à l’inertie politique, certains scientifiques n’hésitent plus à s’engager de façon plus militante. Une attitude qui fait débat, mais qui traduit une inquiétude partagée parmi leurs pairs. Valérie Masson-Delmotte témoigne.
Le ministre wallon du Climat Philippe Henry a actualisé la stratégie climatique wallonne. Un projet qui comporte une mise à jour de mesures existantes et propose une série de nouvelles mesures pour permettre à la Wallonie de réduire de moitié ses émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030.
Face aux épisodes de sécheresse de plus en plus fréquents, les agriculteurs s'interrogent : comment cultiver avec moins d'eau? Alors que la sécheresse devient un problème endémique, une gestion plus globale de la ressource s'impose. Kevin Thibaut est bioingénieur. Doctorant FNRS à l’ULiège, il
La commune de Rochefort a été fortement touchée par les inondations de juillet 2021. Parmi les solutions retenues, une soixantaine de mares naturelles vont être creusées avec le soutien de l’ASBL Kick Belgium.
Le gouvernement fédéral est bloqué quant à un nouvel accord de coopération sur la répartition des efforts climatiques entre les différentes entités du pays.
L’effondrement du glacier de la Marmolada en Italie a mis en lumière de façon très crue l’impact des dérèglements climatiques dans les régions alpines. Une situation qui ne concerne pas seulement l’Italie mais aussi les Alpes françaises, qui font l’objet d’une surveillance rapprochée, explique le glaciologue Christian Vincent.
Qualifiant "d'accablant" le nouveau rapport du Giec, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a dénoncé lundi les mensonges de "certains gouvernements et responsables d'entreprises" en matière de lutte contre le changement climatique. "La science nous explique que ce sera le résultat de nos politiques énergétiques actuelles", a-t-il poursuivi, accusant " des pays et entreprises gros émetteurs (de gaz à effet de serre) de ne pas seulement détourner les yeux, mais de mettre de l'huile sur le feu". "Ils étouffent notre planète, au nom de leurs intérêts acquis et de leurs investissements historiques dans les énergies fossiles, alors que des solutions renouvelables moins chères offrent des emplois verts, la sécurité énergétique et une plus grande stabilité des prix."
Publiée dans la revue Nature ce mercredi, une étude à laquelle ont pris part des chercheurs de l'ULB remet en cause le calcul des "inventaires carbone" nationaux. Elle va permettre d’ajuster les outils de modélisation qui servent à simuler l’évolution du climat futur.
Les premières générations d’éoliennes implantées en Europe arrivent en fin de cycle. La question de leur démantèlement et de leur recyclage se pose. Les pales sont le principal écueil.
Le Giec a dévoilé ce lundi le deuxième volet de son sixième rapport de synthèse. Un exercice qui dresse l’état des connaissances actuelles sur les impacts déjà perceptibles des dérèglements du climat, les risques encourus et les mesures d’adaptation qui ont commencé à voir le jour pour faire face à cette nouvelle réalité. Conclusion : une dangereuse impréparation.
Un rapport, conduit par une série d’agences fédérales - dont la Nasa et la National Oceanic and Atmospheric Administration –, souligne que cette évolution entraînera une "augmentation significative" des inondations côtières, en particulier à marée haute, au cours des prochaines années.
En 2015, les pays signataires de l’accord de Paris se sont engagés à contenir “l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et en poursuivant l’action menée pour limiter l’élévation de la température à 1,5 °C” au cours de ce siècle.
Cinq jours de discussions, d’échanges d’idées et de pratiques visant à défaire et refaire le monde ; à repenser des modes de vie, surtout, qui soient compatibles avec les crises climatique et écologique auxquelles nos sociétés sont désormais durablement confrontées. Mise sur pied grâce à l’implication de nombreux bénévoles, la quatrième édition du festival “Maintenant !” s’est clôturée ce dimanche sur la Grand-Place de Louvain-la-Neuve.
Pour fêter ses 60 ans, le WWF crée un fonds pour financer des projets citoyens protégeant l’environnement en Belgique. Les candidatures sont à rentrer pour le 24 septembre.
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Kyriakos Mitsotakis a déclaré qu’il considérait la crise climatique comme l’une des principales cause des incendies dévastateurs qui ravagent le pays.
L’Alliance des petits États insulaires (Aosis), vulnérables aux effets du changement climatique, a ainsi appelé le monde à tout faire pour limiter la hausse de la température à 1,5 °C, alors que le rapport montre que l’accélération de la hausse du niveau des mers menace leur existence.
Zéro doute. Pour qui en douterait encore, la responsabilité des activités humaines sur les dérèglements climatiques - et plus précisément les émissions de gaz à effet de serre relâchées dans l’atmosphère depuis les débuts de la révolution industrielle en 1750 - est « sans équivoque » aux yeux des experts du Giec.
Sécheresse carabinée une année, pluies diluviennes l’autre. Face à un climat déboussolé, les agriculteurs et les maraîchers ne savent plus sur quel pied danser.
Les Nations unies ont publié ce vendredi un état des lieux des contributions nationales à l'accord de Paris. Pour rappel, dans le cadre de celui-ci, les pays signataires se sont engagés à actualiser et à communiquer tous les cinq ans les politiques et mesures qu’ils entendent mettre en œuvre au niveau national pour concrétiser l’objectif de ce traité, à savoir limiter la hausse de la température mondiale à 1,5°C.
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État des lieux de la planète, chapitre 3. Après le rapport évaluant la possibilité de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C et celui consacré aux impacts du réchauffement sur les sols, le Giec vient de rendre publique une nouvelle synthèse qui se penche sur la manière dont les dérèglements climatiques affectent les océans, les zones côtières et les régions de la Terre qui étaient jusqu’ici le royaume des glaces et du froid.
Les changements se manifestent plus vite et plus fort, tant dans les océans que dans les zones glaciaires. Notre capacité à nous adapter et à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre aux cours des prochaines décennies sera cruciale, avertit le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
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