« … Les forêts abritent une grande richesse écologique, concentrant 80 % de la biodiversité terrestre mondiale recensée. Cette richesse est largement utilisée par l’homme, … Elles sont un milieu de vie et une source de revenus pour l’être humain : au début du XXIe siècle, plus de cinq cent millions de personnes, dont plusieurs peuples autochtones, vivent en forêt ou à ses abords et subsistent directement grâce à ses ressources. « . Source : wikipedia
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Loïs Mallet
Comment s’engager malgré tout, en dépit des échecs successifs, des désillusions qui s’accumulent et des espoirs qui s’envolent ? Tant l’œuvre que la vie du philosophe Günther Anders offrent des éléments pour fonder l’action écologiste autrement que dans l’espoir « d’une vie meilleure », « des jours heureux » et « du monde d’après ». Au lieu de s’exposer à l’anxiété, la dépression et au nihilisme, il propose politiquement de retrouver de la morale dans l’existence, chose que la modernité évince constamment par ses artifices, sa complexité, son conformisme et son productivisme. C’est certainement dans le devoir et la responsabilité que se trouvent les ressources pour engager l’action politique avec joie et humanité, quoi qu’il advienne.
L’Institut Momentum a exprimé son intérêt pour analyser le cas pratique d’une campagne politique fondée sur la décroissance. Il sera donc question des raisons qui justifient, pour Delphine Batho, sa décision de faire campagne sur ce thème.
Face à la multiplication des atteintes portées au « système Terre », la communauté scientifique a entrepris de déterminer les frontières au-delà desquelles les risques de basculement écologique sont élevés. Neuf processus biogéochimiques majeurs sont l’enjeu de ces « limites ». La détermination et la mise en œuvre des seuils écologiques posent des défis à la société, tant en termes de démocratie, de justice sociale, que de limites à la liberté.
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Devenue nécessaire par les mesures sanitaires, la création monétaire ouvre un interstice des possibles vers ce qu’on pourrait appeler des politiques économiques de décroissance hélicoptère au sens large. Nous pensons intimement que cette capacité budgétaire soudaine aurait ainsi pu être utilisée en faveur d’une véritable politique écologiste biorégionale. Nous nous sommes donc intéressées à trois grands secteurs de la société : les transports de basse technologie pour assurer vivres et mobilités, un système alimentaire écologique afin de sustenter notre vie organique et un revenu d’existence pour gratifier notre dignité humaine en tant qu’être-aproductif.
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