Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sècheresses, incendies, inondations, …
D’intempéries aux catastrophes, les évènements liés au réchauffement climatique se succèdent de plus en plus vite, de plus en plus fort …
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
énergie coûts
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville en France, raccordé samedi au réseau électrique, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
Milton, Helene, Beryl, Boris, Kong-rey, Kirk… Ces noms résonnent pour les assureurs et les pays comme des gouffres à milliards, causés en l’espace de quelques heures par des inondations et des intempéries extrêmes. L’Europe, l’Asie et le nord de l’Amérique, aucun territoire n’est à l’abri. Ces événements mettent en question la viabilité et la pérennité des régions touchées au hasard des vents. Si le nombre de morts reste pour l’instant supportable par la communauté, les coûts financiers explosent et la quantité d’hydrocarbures et d’électricité nécessaires à la remise en état grimpe de manière exponentielle.
Qui paiera la facture du nucléaire existant et futur ? La réponse à cette question, abordée lors de l'examen du projet de loi de finances, reste floue, dénonce le député LFI Maxime Laisney.
Sur un chantier naval de la mer du Nord, des ouvriers s'affairent au pied de blocs de béton de la taille d'un immeuble. La Belgique se targue de construire la "première île artificielle au monde" d'énergies renouvelables, un projet pharaonique dont l'explosion des coûts fait grincer des dents.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui a reçu lundi le feu vert pour commencer à produire ses premiers électrons, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
La Chine poursuit sa course à l'atome à un rythme sans équivalent dans le monde et à un coût bien moins élevé qu'ailleurs, grâce à une industrie mature et un accès au capital privilégié, deux éléments dont le nucléaire français est pour l'instant dépourvu.Pékin a donné mardi le feu vert à 11 nouveaux réacteurs, pour un investissement de moins de 28 milliards d'euros, selon le média chinois Jiemian.En comparaison, le coût prévisionnel du programme de construction des six nouveaux réacteurs (EPR) commandés par l'Etat français est de 67,4 milliards d'euros, selon les Echos.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui poursuit ses opérations de démarrage, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française, qui doit commencer à produire de l'électricité cet été en Normandie.- 1992: naissance en France -
Conçus pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, les réacteurs nucléaires EPR ont connu de multiples retards, surcoûts et déboires. Voici les dates-clés de cette technologie principalement française utilisée aujourd'hui en Chine, et en Finlande, avant des démarrages prévus en France et au Royaume-Uni. 1992 : naissance en France
Ryanair a vu ses coûts s'envoler lors de son troisième trimestre décalé, pesant sur son bénéfice et conduisant la compagnie aérienne irlandaise à revoir à la baisse sa prévision de résultat annuel pour 2023/2024.Le bénéfice net part du groupe a chuté de 93% à 14,8 millions d'euros sur le trimestre, malgré une hausse du chiffre d'affaires de 17% à 2,7 milliards d'euros.Le résultat a pâti d'une envolée des coûts du kérosène mais aussi d'une hausse des salaires, frais d'aéroports, entre autres, souligne la compagnie à bas coûts lundi dans un communiqué.
De mauvais rendements, une énergie coûteuse et une forte concurrence étrangère ont fait plonger dans le rouge les trois usines de raffinage de l’archipel, où près de 25 % des emplois dépendent de la mine et de la métallurgie.