2025
Comme le dit souvent Arthur Keller, la peur ne fige pas, elle pousse à l'action. Voici donc quelques propos choquants qui j'espère susciteront de la peur et de l'action chez ceux qui la regarderont. Les intervenants : Cédric Ringenbach, Aurélien Barrau, Jean-Marc Jancovici, Pablo Servigne
Les penseurs de la transition admettent que les avancées – lorsqu’il y en a – ne permettent pas d’atteindre les objectifs globaux, car bien que nous disposions de pistes de solution, des obstacles au changement entraveraient leur mise en place. À l’aune de cette idée simple, le but de cet ouvrage est de rassembler et de caractériser 101 obstacles, 101 pierres d’achoppement sur la voie de la transition.
2024
Au festival livres en marche.
Le changement climatique se traduit par un renforcement des extrêmes secs et des extrêmes humides, comme lors de l’épisode de fortes pluies qui a eu lieu dans le centre-est et le sud-est de la France, explique le climatologue Aurélien Ribes dans un entretien au « Monde ».
Chercheurs et chercheuses face à la catastrophe
Aux bains des Pâquis à Genève.
Les deux avocats Gaëlle Cognet et Aurélien Zilberman expliquent, dans une tribune au « Monde », le raisonnement qui a conduit la Cour européenne des droits de l’homme à condamner la Suisse pour inaction climatique.
À la maison de la poésie. bonjour à toutes et à tous petits et grands et bienvenue pour cette petite conférence donc qui sera la dernière de la saison ici à la Maison de la poésie mais on vous prépare un beau programme pour l'année prochaine alors aujourd'hui nous avons le plaisir d'accueillir Aurélien barreau aurélien est astrophysicien grand spécialiste des trous noirs et philosophe mais c'est pas d'astrophysique qui va nous parler aujourd'hui mais d'écologie parce qu'il est je pense que vous le savez un très grand militant de l'écologie mais surtout je pense qu'il a une vision toute particulière des solutions qu'il faudrait peut-être apporter des solutions d'ailleurs ...
Le gradualisme est un courant de pensée qui prétend que l’on ne résoudra la crise climatique qu’avec une action progressive.
Et si, loin des politiques gradualistes actuelles, notre unique chance était de déclarer l’état d’urgence climatique ? Et si nous avions besoin d’une mobilisation générale de la société, comme seules les situations de guerre sont parvenues à en générer par le passé ? Le chercheur Aurélien Boutaud répond par l’affirmative à toutes ces questions : selon lui, il nous faut sortir de l’apathie, prendre toute la mesure de la gravité inédite de la situation et apporter les réponses radicales qu’elle exige.