« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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variole singe
2025
L’Organisation mondiale de la santé a annoncé ce jeudi 27 février maintenir son niveau d’alerte maximale pour l’épidémie de mpox, en raison de la hausse des cas, de son expansion géographique et des difficultés à contenir la maladie.
La Sierra Leone a déclaré lundi l'état d'urgence sanitaire contre le mpox, après la confirmation de deux cas dans le pays. La surveillance aux frontières et les capacités de test doivent être renforcées.
Un premier cas du nouveau variant de mpox, anciennement appelée "variole du singe", a été identifié lundi en France, selon les autorités sanitaires, qui se veulent toutefois rassurantes sur le risque d'infection sur la population générale.
2024
Une infection au nouveau variant mpox a été détecté en Belgique.
Si sept pays n’ont plus signalé de nouvelles contaminations depuis plusieurs semaines, l’Organisation mondiale de la santé maintient son plus haut niveau d’alerte concernant l’épidémie.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a approuvé mardi un vaccin contre le mpox fabriqué par la société pharmaceutique japonaise KM Biologics pour un usage d'urgence, le deuxième à obtenir l'approbation de l'agence.
Le nouveau variant du virus mpox a été détecté à Londres chez une personne ayant voyagé en Afrique, a annoncé, mercredi, l’agence de sécurité sanitaire britannique.
Les différentes épidémies de mpox en Afrique répondent à des logiques différentes, montre une étude parue jeudi, constatant que le nouveau variant du virus se transmet surtout entre humains alors que les contaminations par des animaux restent majoritaires pour la version plus ancienne.
Les différentes épidémies de mpox en Afrique répondent à des logiques différentes, montre une étude parue jeudi, constatant que le nouveau variant du virus se transmet surtout entre humains alors que les contaminations par des animaux restent majoritaires pour la version plus ancienne.
Deux mois après la déclaration d’urgence de l’Organisation mondiale de la santé, l’épicentre de l’épidémie vient d’obtenir les premières doses de vaccin, alors que la maladie sévit en République démocratique du Congo depuis cinquante ans.