Jean-Marc Jancovici

OA - Liste

2025

Selon Santé publique France, les deux étés précédents ont été plus meurtriers : 10 420 morts en 2022 et 5 167 en 2023, contre 3 711 en 2024.
Des chaleurs d’été toujours meurtrières. Si l’été 2024 a été un peu plus clément que les deux précédentes saisons estivales, le bilan reste dramatique, selon des données dévoilées ce mardi 11 mars par Santé publique France (Spf). Plus de 3 700 décès sont attribuables à la chaleur sur tout l’été 2024 - du 1er juin au 15 septembre -, et pas seulement pendant les épisodes de canicule. Cela représente plus de 2 % de tous les décès.

2024

Dix ans après la découverte de milliers d’oiseaux marins morts sur les plages du Pacifique Nord, des biologistes révèlent l’origine de cette extinction de masse, la plus importante jamais observée.
La catastrophe meurtrière survenue en Espagne est l’une des plus importantes de ces dernières années en Europe. Mais nous avons tendance à oublier que des phénomènes météo encore plus dévastateurs se sont produits récemment, et très souvent sur le Vieux Continent.
La catastrophe qui a frappé l’Espagne, conséquence du réchauffement climatique et du retard dans les politiques d’adaptation, doit nous alerter à un moment d’affaiblissement de l’écologie politique et de recul des exigences liées au climat.
Selon une étude publiée ce jeudi 31 octobre par le consortium de scientifiques World Weather Attribution, la hausse des températures planétaires a intensifié les dix phénomènes météorologiques les plus meurtriers des vingt dernières années.
Les opérations de recherche se poursuivent, jeudi, dans le sud-est de l'Espagne. Le pays est sous le choc après les pires inondations depuis plus de cinquante ans, qui ont fait au moins 95 morts et de nombreux disparus.
Expert en catastrophes naturelles, le géologue Antonio Aretxabala analyse les raisons du très lourd bilan humain et matériel après les inondations qui ont fait près de cent morts en Espagne.
Ces poissons d’eau douce ont rempli le port et les rivières voisines après que les niveaux d’eau ont été gonflés par les inondations de l’année dernière, suivies de mois de grave sécheresse.
La mousson a provoqué la mort d’au moins 650 personnes en Inde, au Pakistan et au Népal depuis le mois de juin. Un phénomène dont l’intensité et la fréquence sont accrues par le réchauffement climatique, d’après les experts.