Le rapport Meadows

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Le rapport Meadows, ou le rapport au club de Rome, expliqué simplement ! Analyse et résumé du rapport !
En 1972, quatre jeunes scientifiques du MIT (Massachussets Institute of Technologie) rédigent à la demande du Club de Rome un rapport qu'ils intitulent The Limits to Growth. Celui-ci va choquer le monde et devenir un best-seller international. Pour la première fois, leur recherche établit les conséquences dramatiques sur le plan écologique d'une croissance économique et démographique exponentielle dans un monde fini.
Archive. Interview Jacques Piccard

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Bruno Latour
Une rencontre passionnante entre l’un des plus éminents anthropologues de notre époque, lu et étudié dans le monde entier, et un auteur de BD qui sait mêler avec brio sciences humaines et humour incisif. D’après Philippe Descola – anthropologue et professeur au Collège de France –, Bruno Latour et de nombreux autres penseurs contemporains, il est temps de se défaire de notre concept de « Nature » et d’apprendre à penser par-delà la distinction que l’Occident moderne trace entre la nature et la culture. Selon Alessandro Pignocchi, chercheur mais aussi auteur de bande dessinée, en France c’est dans les ZAD, et notamment celle de Notre-Dame-des-Landes, que cette révolution cosmologique trouve son expression la plus concrète et la plus massive. Il faut sortir de la nature à vocation utilitaire à laquelle elle se trouve cantonnée : la nature n’est pas utile, elle est source de liens. À partir d’images tirées des albums d’Alessandro Pignocchi, les deux auteurs croiseront leurs points de vue sur l’anthropologie, l’é
Dans cette conférence, donnée devant des étudiants du master EEET de l'Université Paris-Saclay, Laurent Mermet développe ses réflexions à partir du livre "Où atterrir?" de Bruno Latour. Il critique la cartographie politique proposée par l'auteur, très stimulante, mais fort imparfaite, pour la débarrasser de son manichéisme, pour maintenir la pertinence des tensions entre droite et gauche, entre "local" et "global" (ou modernité), et pour apaiser la phobie du concept de Nature.
Tout se passe en effet comme si une partie importante des classes dirigeantes était arrivée à la conclusion qu'il n'y aurait plus assez de place sur terre pour elles et pour le reste de ses habitants. C'est ce qui expliquerait l'explosion des inégalités, l'étendue des dérégulations, la critique de la mondialisation, et, surtout, le désir panique de revenir aux anciennes protections de l'État national.