Le rapport Meadows

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Fin des années 60, le Club de Rome commande une étude sur la viabilité de la croissance économique. Cette étude sera publiée en 1972 sous le titre « The limits to growth » (« Les limites à la croissance » en français) ou « Rapport Meadows ».

Voici nos références avec le mot-clef « Meadows » :

Résultats pour:
énergie effondrement

2022

La première puissance industrielle du continent est frappée par des coupures d’électricité à répétition, dues à la mise en place d’un calendrier d’entretien strict sur un réseau vieillissant.
La synchronisation du réseau électrique ukrainien avec celui de l'Europe doit améliorer sa stabilité et éviter son "effondrement", a détaillé jeudi RTE, le gestionnaire du réseau français. Le réseau ukrainien, synchronisé avec la Russie jusqu'à la guerre, a ensuite fonctionné de manière isolée jusqu'à son rattachement à l'Europe continentale mercredi. Ce rapprochement, à l'étude depuis 2017, a été fortement accéléré à la demande de Kiev.
"Les énergies renouvelables ont déjà gagné" et vont se déployer partout dans le monde, mais ensuite, plus compliquée sera la seconde partie du chemin pour tendre vers 100% d'électricité verte, estime le directeur général de Voltalia, acteur du solaire et de l'éolien dans une vingtaine de pays. Pour Sébastien Clerc, à ce jour, "les renouvelables sont un pari plus que gagné", grâce à l'effondrement des coûts.

2021

Cela pourrait compromettre les énergies renouvelables, avertissent des scientifiques du gouvernement français
Le Liban en plein effondrement économique a augmenté dimanche le prix des carburants de près de 70%, actant une nouvelle réduction des subventions dans le pays privé de devises étrangères et en proie à des pénuries.
Dans un Liban en plein effondrement, les sévères pénuries de carburant se sont récemment encore aggravées, provoquant panique, colère et chaos.
Le chef du Hezbollah a affirmé jeudi qu'un navire iranien chargé de carburant s'apprêtait, en dépit des sanctions américaines visant Téhéran, à appareiller en direction du Liban, un pays en plein effondrement confronté à de graves pénuries de courant, d'essence et de diesel.
Les perspectives de production agrégée des seize principaux pays fournisseurs de l'Union européenne en pétrole brut conventionnel (hors schiste américain) augurent « au mieux d'une stabilité jusqu'en 2030 » avant un déclin « marqué et irréversible » au cours de la décennie suivante, de l'ordre de 10% à 20% par rapport au record de 2019, selon une étude publiée par le thinktank The Shift Project.

2020

Une étude publiée le 20 octobre par l’institut australien IEEFA spécialiste de l’analyse économique et financière du secteur de l’énergie, a passé au crible les politiques de 50 investisseurs de poids qui excluent les sables bitumineux et le forage gazier en Arctique. Leurs conclusions : un exode des flux financiers hors des énergies fossiles a commencé.
L'avenir des majors pétrolières passera-t-il par moins de pétrole? La pandémie du nouveau coronavirus a profondément chamboulé de nombreux secteurs d'activité. Prenons l'exemple de l'énergie. Les mesures de confinement établies pendant les 1er et 2e trimestres ont gelé la demande mondiale de pétrole. Ce qui a provoqué un effondrement des prix pétroliers.
Le pétrole est non-renouvelable à l’échelle humaine. Sa production, au départ nulle, augmente (c’est la phase que l’on vit depuis 150 ans), pour atteindre un maximum appelé " pic pétrolier ". Elle décline enfin sous l’action de contraintes naturelles et humaines. C’est pourquoi on extraira encore du pétrole peut-être pendant 150 ans, mais de moins en moins chaque année, et à des coûts croissants.
Fin mars, le prix du pétrole tombait sous la barre des 20 dollars le baril. Aujourd’hui, il remonte doucement la pente. Mais ce qui compte, c'est que la demande restera structurellement sous pression pour plusieurs raisons.
Le pétrole de schiste américain n’est pas mort, loin s’en faut. Mais il n’est plus la machine à cash qu’il fût. Les faillites à répétition, accentuées par la crise du Covid-19, le prouvent. On voit aussi désormais les parapétroliers tourner le dos à la fracturation hydraulique en Amérique du Nord. Après Baker Hughes, c’est désormais l’un des plus grands acteurs au monde du secteur, Schlumberger, qui vend ses activités sur le continent nord-américain.
Le caractère écologiquement insoutenable de la trajectoire sociétale belge, européenne et mondiale, est largement documenté scientifiquement depuis plusieurs décennies. La possibilité de la poursuite de la croissance, impliquée notamment par les politiques régionales, nationales et européennes officielles (qui continuent à en faire l’objectif politique principal dans leurs textes stratégiques), repose sur un mécanismepostulé, ledécouplage absolu.Avec le découplage absolu hypothétique, on peut rebaptiser la croissance, «croissance verte«, c’est-à-dire une forme hypothétique de «croissance soutenable».
Pourquoi l’énergie est-elle aussi importante dans nos vies (et plus que jamais aujourd’hui) ? Quels grands défis énergétiques, déterminants pour l’économie et la société, devrons-nous affronter au XXIe siècle ? Quelles sont les pistes pour répondre à ces défis ?
lors que la plupart des avions restent cloués au sol, l'exigence de contreparties environnementales aux aides de l'Etat vers le secteur aérien se fait de plus en plus forte. Mais les solutions technologiques comme l'agro-kérosène et l'hydrogène ne sont que des moyens de poursuivre une fuite en avant intenable, selon Laurent Castaignède, ingénieur de l'École centrale Paris, fondateur du bureau d'études BCO2 Ingénierie et auteur de Airvore ou la face obscure des transports, chronique d'une pollution annoncée (Ecosociété, 2018).
Plusieurs données récentes et prévisions laissent penser que les énergies fossiles entament leur déclin, accéléré par la crise du Coronavirus. Les prix en berne et les investissements en chute libre vont durablement impacter le secteur, concurrencé par des coûts du renouvelable de plus en plus compétitifs et des stratégies climatiques de plus en plus ambitieuses. L'occasion d'entamer un vrai virage vers une énergie décarbonée. 
Avec Matthieu Auzanneau, directeur du Shift Project et auteur de Or noir, la grande histoire du pétrole. On parle de l’effondrement du secteur pétrolier, des mauvaises décisions que prennent les Etats face à la perspective d’une récession sans précédent, et de la nécessité impérieuse pour l’Europe de se sevrer des énergies fossiles.
Entre espoirs et craintes, personne ne saurait dire où la pandémie de coronavirus entraînera l\'humanité. Toutefois, certains d\'entre nous réfléchissent aux tenants et aboutissants d\'une crise mondiale depuis de nombreuses années. C\'est le cas de Vincent Mignerot, spécialiste de la perception et de la singularité de l\'esprit humain dans un contexte évolutif global.
Penser écologiquement et socialement le monde de demain, celui de l’après Covid-19, préoccupe et nourrit de nombreuses réflexions. Afin de nourri le débat, nous republions ici en intégralité les Propositions pour un retour sur Terre proposées par Dominique Bourg, Philippe Desbrosses, Gauthier Chapelle, Johann Chapoutot, Xavier Ricard-Lanata, Pablo Servigne et Sophie Swaton
Alors que la baisse du prix du pétrole pourrait inciter certains à freiner la transition énergétique, plusieurs experts rappellent l’urgence de se tourner vers les énergies renouvelables. Outre le risque climatique, il s’agit aussi d’éviter une nouvelle crise planétaire  due à des tensions sur l'or noir, une fois la pandémie dépassée. Toute la semaine, Novethic se penche sur la fragilité de nos modèles économiques, secteur par secteur, mise en lumière par la crise sanitaire actuelle.
Le pétrole est la première source d'énergie consommée dans le monde (31,4% du mix de 2018 en énergie primaire selon les dernières données de l'AIE(1)). L'histoire de son développement et son importance stratégique dans l'économie et les conflits sont pourtant encore souvent méconnues ou sous-estimées par le grand public.
Il y a urgence à agir et pourtant nous en sommes toujours au même point : décider de s’occuper du climat, reste un choix moral. Le fait que PIB et émissions de CO2 soient totalement corrélés y est surement pour beaucoup. S’occuper vraiment du climat nécessite de mettre le doigt là ou ça fait mal. Mais soyons bien clair, ne pas s’occuper du climat fera encore plus mal et dans moins longtemps qu’on ne l’imagine.