Le rapport Meadows

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Fin des années 60, le Club de Rome commande une étude sur la viabilité de la croissance économique. Cette étude sera publiée en 1972 sous le titre « The limits to growth » (« Les limites à la croissance » en français) ou « Rapport Meadows ».

Voici nos références avec le mot-clef « Meadows » :

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Notre Planete

2024

Pétrole, gaz, exploitation des forêts, extraction de métaux rares, agriculture… nos usages des ressources naturelles de la planète ont explosé en un demi siècle.
L’économie, on lui donne des règles. Et depuis des décennies, nous lui avons donné une règle absolue, voire...

2023

Les activités humaines ont-elles perturbé l'écosystème Terre au point que nous aurions engendrer une nouvelle ère géologique ? Baptisée Anthropocène, cette période "artificielle" de l'histoire de la Terre suscite de plus en plus l'intérêt de la communauté scientifique, au point qu'elle pourrait même servir à déceler les éventuelles traces d'une hypothétique civilisation disparue il y a des millions d'années... Sur Terre : "l'hypothèse du Silurien".
Une réduction ordonnée des émissions nécessite une réduction de 6 à 7 % par an des émissions de CO2 d’origine fossile pour rester dans les limites du budget restant, tandis que tous les autres gaz à effet de serre (comme le méthane et l’oxyde nitreux) doivent réduire de la même manière. Et encore, c’est loin d’être suffisant. Les puits de carbone dans la nature doivent rester intacts, ce qui signifie que nous ne pouvons plus étendre l’agriculture aux forêts naturelles, aux zones humides, aux tourbières et aux prairies.
À l’occasion de la Journée internationale des forêts, le 21 mars, un collectif international de 850 chercheurs, étudiants, ingénieurs et techniciens en appellent à l’urgente sauvegarde des forêts tropicales, pour les populations rurales et le monde en général. 850 chercheurs·es, professeurs·es, ingénieurs·es, techniciens·nes et étudiants·es dans le secteur forestier. La liste complète des signataires de cette tribune est ici. En cette journée internationale des forêts, tandis que les forêts tropicales (...)

2022

Dans une tribune au « Monde », le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies exhorte les pays développés à prendre des mesures pour « combler le gouffre » des inégalités mondiales, lors de la COP27 en Egypte et du sommet du G20 à Bali.
Dans son ouvrage Criminels climatiques, publié aux éditions La Découverte, Mickaël Correia conduit une vaste enquête sur trois mastodontes des énergies fossiles en remontant les pipelines, les stratégies et les techniques qui leur permettent de continuer à polluer. À Vert, il livre quelques fragments de ce vaste système au croisement des pouvoirs politique, culturel, économique et financier.
« Surconsommation : l’impasse » (3/5). Pour réduire l’impact de l’alimentation et de l’élevage sur le réchauffement climatique, il faudra transformer le contenu de nos assiettes et nos modes de production. Mais aussi accompagner les agriculteurs vers cette transition difficile et revoir nos politiques publiques.
Notre cerveau aime les raccourcis. Mais faut-il pour autant blâmer cet organe, quitte à se déresponsabiliser des urgences écologiques ?

2021

120 kilomètres de large pour 600 kilomètres de long et une profondeur de 3 kilomètres. Voici les dimensions du glacier Thwaites. Et il inquiète particulièrement les différents scientifiques. En effet, celui que l'on surnomme le "glacier de l'apocalypse", qui est l'un des plus importants au monde, menace de disparaître de la surface de la terre d'ici cinq à dix ans.
Jeudi s’est tenue à la Cité des sciences et de l’industrie la table ronde «Pluie et inondations : mieux vaut prévenir !» dans le cadre du cycle de conférences «Ma planète demain». L’événement s’organisait en duplex de Niamey, au Niger, et en partenariat avec l’Institut de recherche pour le développement. Hydrogéologues et météorologues français et nigérians étaient les invités de cette rencontre animée par la journaliste Anne-Cécile Bras.
Au moment où les prévisions liées au réchauffement climatique sont de plus en plus alarmantes, le pessimisme grandit sur notre capacité à "sauver la planète". Face à ce constat, certains scientifiques proposent d'avoir recours à la géo-ingénierie, une manipulation scientifique du climat. Décryptage.
La mode représente jusqu’à 8,5% des émissions de gaz à effet de serre mondiales, et plus de 30 millions de tonnes de CO2 importées en France chaque année 3. Le textile utilise par ailleurs 11% des pesticides consommés dans le monde 4 et provoque 20% de la pollution des cours d’eau
Antonio Guterres, ONU. A un mois de la COP26 sur le climat, les dirigeants de la planète sont pressés de toutes parts d'agir vite et fort pour brider un réchauffement "catastrophique", mais entre crise du Covid-19 et colère des plus vulnérables, les négociations s'annoncent houleuses.
On voit fleurir régulièrement sur le web une série d’articles contradictoires : les uns clament que la plantation d’arbres aiderait à refroidir le climat sur notre planète Terre, les autres que la déforestation aurait le même effet !
Depuis 30 ans, la compréhension du climat terrestre dans sa globalité s’est donc terriblement améliorée, permettant le développement de nouveaux concepts. L’un d’entre eux suscite beaucoup d’intérêt auprès de la communauté scientifique : c’est celui des points de basculement (tipping point).
Une étude a analysé quels seraient les meilleurs endroits de la planète où se réfugier en cas d’effondrement de la société, il semblerait que les îles soient les mieux placées mais pas n’importe lesquelles !
Cette carte mondiale mise à jour régulièrement montre les incendies / feux actifs dans les dernières 24 heures sur Terre. Ils sont détectés par la « suite de radiomètres pour imageurs dans l'infrarouge et le visible »
Alors que les températures battent des records un peu partout sur notre planète, un scientifique a fait une déclaration qui n’est pas faite pour rassurer. Selon lui, notre organisme possède une “limite thermique”. Or, elle serait déjà presque atteinte en raison du réchauffement climatique.
Après une baisse historique due aux confinements imposés pour endiguer la pandémie de coronavirus, l'empreinte écologique de l'Humanité revient cette année à ses niveaux de 2019.


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