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LIMIT | Parlons des limites planétaires
Paul et Vincent Burnand-Galpin avaient évoqué l’hypothèse d’un « moment Pearl Harbor », un choc écologique assez puissant pour faire basculer l’opinion publique dans le sens de l’écologie et permettre la mobilisation générale face à l’urgence existentielle. J’ai aussi écrit à ce sujet. C’était faire l’hypothèse d’une boucle de rétroaction négative (régulatrice) dans le système combiné de la Mégamachine et de la Biosphère...
[VIDÉO] TF1 vous propose une expérience immersive spectaculaire en cette semaine de COP29. Un format en 3D volumétrique, d’un réalisme saisissant, pour mieux comprendre les limites planétaires. Regardez cette vidéo diffusée dans le 20H. - "Cette fois, la météorite, c'est nous" : la vidéo exceptionnelle de TF1 pour tout comprendre aux neuf limites planétaires (Environnement). TF1 INFO
Les études sur les impacts des microplastiques présents dans notre environnement sont nombreuses. Et mises bout à bout, elles montrent que cette pollution met en danger l’ensemble du système Terre. Chaque morceau de plastique produit nous rapprochant un peu plus de toutes les limites planétaires.
Human pressures have pushed the Earth system deep into the Anthropocene, threatening its stability, resilience and functioning. The Planetary Boundaries (PB) framework emerged against these threats, setting safe levels to the biophysical systems and processes that, with high likelihood, ensure life-supporting Holocene-like conditions. In this Review, we synthesize PB advancements, detailing its emergence and mainstreaming across scientific disciplines and society. The nine PBs capture the key functions regulating the Earth system. The safe operating space has been transgressed for six of these. PB science is essential to prevent further Earth system risks and has sparked new research on the precision of safe boundaries. Human development within planetary boundaries defines sustainable development, informing advances in social sciences. Each PB translates to a finite budget that the world must operate within, requiring strengthened global governance. The PB framework has been adopted by businesses and informed
Les plans mondiaux de réduction des émissions de carbone impliquent que la température dépassera 1.5°C, puis redescendra après vingt ou trente ans. Cependant, une nouvelle étude montre que des décennies au-dessus de ce seuil entraîneraient des « conséquences irréversibles » pour la planète.
La députée écologiste Sandrine Rousseau a publié un essai intitulé «Ce qui nous porte», aux éditions du Seuil. Dans cet entretien à Vert, elle raconte comment l’imaginaire des Trente glorieuses et de la toute-puissance continue de hanter la société et d’empêcher une véritable transformation écologique, hors du paradigme de la croissance. Et ce, alors même que «la société est prête».
Vous avez certainement entendu parler de l’alerte climatique qui a été lancée. En effet, le monde a frôlé le point de rupture de la septième limite planétaire ! Lisez !
La députée écologiste et le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits humains et l’extrême pauvreté rappellent, dans une tribune au « Monde », que la protection de la planète passe par la réduction des inégalités.
Une septième «limite planétaire» - l’acidification de l’océan -, est en passe d’être franchie, nous apprend l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact du climat, dans son dernier rapport.
Sept sur neuf, c’est désormais le nombre de limites planétaires dépassées selon un nouveau rapport. L’acidification des océans vient s’ajouter aux nombreuses menaces qui pèsent sur l’avenir et la stabilité de la Terre, dégradant son bilan de santé.
Dans une étude inédite, des chercheurs ont calculé l’effort que représenterait le fait de permettre à chacun d’accéder à une vie digne, tout en préservant les limites planétaires. Pour les pays riches, comme la France, cela suppose de réduire drastiquement nos consommations et nos déplacements, tout en transformant nos systèmes énergétiques et alimentaires.
No planet B. Chaque année, l'ONG Global Footprint Network vient nous rappeler que l'humanité vit un tiers de l'année à crédit.
Under current emission trajectories, temporarily overshooting the Paris global warming limit of 1.5 °C is a distinct possibility. Permanently exceeding this limit would substantially increase the probability of triggering climate tipping elements. Here, we investigate the tipping risks associated with several policy-relevant future emission scenarios, using a stylised Earth system model of four interconnected climate tipping elements.
En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Ce jeudi 1er août est le "jour du dépassement" et il arrive un jour plus tôt que l'année dernière.
En 2024 le “jour du dépassement” tombe le jeudi 1er août. Si c’est une occasion bienvenue de parler d’environnement, son calcul et ses implications font toujours débat. Dans cet article nous allons présenter plus en détail ce concept, son intérêt mais aussi ses limites.
Payer en points carbone ou en empreinte écologique : l’idée de créer des « monnaies écologiques » fait son chemin. En ce « jour du dépassement », Reporterre explore cette solution révolutionnaire. Le 1er août marque, cette année, le « jour du dépassement » de la Terre. Soit la date à laquelle nous avons consommé l’ensemble des ressources que la planète peut renouveler en une année, selon le décompte du WWF France, associé au Global Footprint Network. Pour régénérer tout ce que l’humanité consomme, il nous faudrait (...)
Mathis Wackernagel est l’économiste à l’origine du concept d’empreinte écologique qui permet de mesurer la pression qu'exerce l’humanité sur les ressources naturelles. Cette année, toutes les ressources régénérées par la planète en une année seront consommées dès le 1er août. Ce « jour du dépassement » symbolise ainsi la consommation déraisonné de ressources naturelles par l’espèce humaine. Dans cet entretien avec GoodPlanet Mag’, Mathis Wackernagel revient sur le concept d’empreinte écologique qu’il a co-créé, sur l’évolution du jour du dépassement au fil des années mais aussi sur l’impact de la croissance démographique et du numérique sur les ressources naturelles.
À compter de ce 1er août, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut générer en une année. Ce « jour du dépassement » illustre l’immense pression que les humains infligent continuellement à la planète. Calculée tous les ans par l’ONG Global Footprint Network, la date de ce jour symbolique signifie qu’environ 1,75 Terre serait nécessaire pour couvrir le mode de vie actuel de l’humanité. En d’autres termes, lors des 5 prochains mois, les ressources naturelles consommées par l’activité humaine ne pourront être régénérées par la planète bleue, créant des tensions qui s’accumulent année après année. « Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, actuellement il est possible de consommer plus que ce que la nature régénère, dans la mesure où nous pouvons par exemple couper les arbres plus rapidement qu’ils ne repoussent, surexploiter les stocks existants de poissons, etc. De cette manière, comme en comptabilité financière, on peut dépenser plus que ce que l’on gagne », explique Mathis Wackern