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Site d'information et de documentation sur les transitions écologiques
TSEB (Transition Sociale Ecologique en Belgique) est un collectif citoyen destiné à réunir citoyen.nes belges et professions autour des enjeux socio-écologiques afin d’apporter des propositions et solutions systémiques concrètes, à la hauteur de l’indispensable changement de notre société. Vous aussi souhaitez un avenir désirable pour les générations actuelles et futures de notre pays ? Alors n’attendez plus et rejoignez-nous pour construire cet autre possible !
Territoires au Futur est un outil d'aide au diagnostic de la résilience territoriale pour les territoires de France. Participez à notre campagne de mobilisation des élus locaux en faveur de la résilience et de la transition écologique de leur territoire
Pourquoi une charte pour un enseignement à la hauteur de l’urgence écologique ? Nous n’avons pas le droit de nous résigner face aux crises environnementales alors que celles-ci sont les conséquences des dysfonctionnements de nos sociétés de consommation. Nous avons la possibilité de construire collectivement une autre façon de vivre sur Terre, plus juste, plus vivante, plus résiliente. Mais il est urgent de s’y mettre tous ensemble. Nous avons le pouvoir de réagir. Nous avons le devoir d’agir sans attendre. C’est notre conviction et c’est elle qui a guidé ce projet.
Des ressources et une communauté pour enseigner les enjeux socio-écologiques.
Le Planetoscope, c'est la vie de la planète vue à travers l'immensité des statistiques mondiales et de leur évolution. La vie est parfois angoissante, souvent enthousiasmante ... tout simplement foisonnante. Explorez le premier site de statistiques écologiques mondiales en temps réel... vous ne regarderez plus la planète du même œil !
Ce blog se donne pour objectif de mettre à la disposition des internautes des idées et des concepts portant sur la place, dans la fiction, de la collapsologie ainsi que sur celle de son objet, l’effondrement des sociétés industrielles....
Dérèglement climatique, effondrement de la biodiversité, inventaire des risques et des solutions… Un cours en ligne complet et gratuit
Le réseau profs en transition a pour objectif de mettre en lien les enseignants et enseignants-chercheurs des Hautes Écoles en Fédération Wallonie-Bruxelles sensibilisés par la nécessité d’une profonde transition écologique et sociétale. Il s’agit de passer de la seule conscience rationnelle de l’interdépendance écologique à une culture qui fasse de cette interdépendance la source d’une refondation de notre rapport au monde et de nos valeurs. Leur conception de la transition mobilise des dimensions éthiques, culturelles et subjectives, orientée vers des valeurs de solidarité, de soin et de régénération.
Faisons un rapide bilan. Combien de fois, lors des prises de parole gouvernementales sur les ambitions de l’Accord de Paris, ou lors des affichages en grande pompe des engagements environnementaux soi-disant « ambitieux » des entreprises, avons-nous entendu parler de biodiversité ? Soyons honnêtes : très rarement (ou très succinctement). C’est simple, l’urgence écologique est la plupart du temps traitée sous le prisme unique de l’impact carbone, c’est-à-dire des émissions de gaz à effet de serre – quand ce ne sont pas uniquement celles de CO2 [1]. La course à la neutralité carbone menée par tous les secteurs économiques en est un symptôme révélateur, témoin à la fois de notre refus d’admettre la diversité et l’ampleur de nos impacts (que dire des diverses pollutions causées par nos activités ? Ou des méthodes souvent colonialistes de surextraction de matières premières ?...), et de la méconnaissance générale du fonctionnement systémique du vivant.
L’invasion de l’Ukraine nous a mis face à une conséquence dérangeante de nos modes de vie : notre dépendance aux combustibles fossiles importés. Mais, en réalité, cela fait longtemps que les crises écologiques, économiques et sociales auraient dû nous inciter à questionner notre consommation.
Des ressources et une communauté pour enseigner les enjeux socio-écologiques.
Bienvenue dans un monde contraint : plus intéressant, plus efficient, plus digne... ... et plus dangereux ? (à nous de faire en sorte que non) Plan(s) B est un blog et un podcast sur les limites écologiques et sociétales à la croissance.
“Nous invitons les acteurs du monde économique à mener une action plus volontariste en faveur de la transition écologique.”
Ancrée dans la science, notre mission est de promouvoir un avenir sain, respectant les limites planétaires. La crise climatique et écologique menace notre santé à tous, directement et indirectement. Pour y faire face, les systèmes de santé doivent devenir plus durables et résilients, passant notamment par une amélioration de leur empreinte et de leur potentiel d’adaptation. Nous nous engageons pour cette transition systémique. « Docsforclimate », fondé en Belgique en 2019, rejoint le mouvement international « Health for Future », originaire d’Allemagne, et en a adopté le nom.
Le but de notre association citoyenne constituée de bénévoles de tous âges, est de vous donner des clés de compréhension, de vous inviter à grandir avec nous dans ce nouveau monde, de vous informer sur les aspects de votre vie qui influencent le plus l’environnement et de vous ouvrir des pistes concrètes de changement. Nous vous invitons à le découvrir dans une atmosphère conviviale, respectueuse et sans culpabilisation. Nous avons les mêmes doutes et questionnements que vous, et nous savons que Rome ne s’est pas faite en un jour seulement, nous sommes convaincus que nous devons agir ensemble si nous voulons construire une société durable.  Nous vous proposerons tout au long de l’année des conférences et ateliers animés par des professionnels concernés par la question de la transition écologique comme par exemple, les membres bénévoles de Bruxelles du « The Shifters Belgium » et « La Fresque du climat Belgium ». Beaucoup d’autres idées sont déjà à l’étude.
Depuis 2018, nous sommes plus de 30 000 étudiants à avoir signé le Manifeste Étudiant pour un Réveil Écologique exprimant ainsi notre volonté de “prendre notre avenir en main” en intégrant dans notre quotidien et nos métiers les enjeux écologiques et en appelant au réveil la société.

Documents

Le travail novateur du Secrétariat général à la planification écologique (SGPE), créé il y a un an, manifeste un grand progrès dans l’approche des politiques climatiques. Ce travail peut permettre à la France d’ouvrir le chemin vers l’économie bas-carbone, à condition de se traduire maintenant par des choix politiques audacieux et cohérents. Des choix historiques dont la matérialisation demeure pour le moins incertaine, à l’heure où le gouvernement tarde à annoncer ses arbitrages dans le cadre de la nouvelle Stratégie nationale bas-carbone, la SNBC 3. Le Shift Project retrouve dans les documents de cadrage qu’a publié le SGPE l’approche qu’il recommande :
Pourquoi utilisons-nous tant de pesticides et depuis quand ? Quels sont les impacts sur la santé et sont-ils différenciés selon le genre, quels impacts sur la biodiversité et notamment sur les insectes ? Qui détient les clés du marché mondial ? Que fait l’Europe, et que fait la France pour réduire leur utilisation de pesticides ? Quelles sont les alternatives aux pesticides qui existent et qui se développent dans le monde et à travers les territoires, en France hexagonale et dans les Outre-mer, particulièrement touchés par leur usage ? Vous trouverez dans cet Atlas des réponses à ces questions et de nombreux faits et chiffres au travers plus d’une vingtaine de chapitres, des graphiques et cartes qui visent à alimenter le débat et à contribuer au développement de solutions alternatives aux pesticides.
Cette étude est d’une importance majeure. Elle réévalue l’ampleur du réchauffement climatique à venir, réchauffement qui pourra aller, selon les auteurs, jusqu’à 10 ° C. Une valeur bien supérieure à celles estimées dans les pires scénarios du GIEC, et sur la seule base des quantités actuelles de GES émis jusqu’à ce jour… Makiko Sato, Leon Simons, Larissa S. Nazarenko, Karina von Schuckmann, Norman G. Loeb, Matthew B. Osman, Pushker Kharecha, Qinjian Jin, George Tselioudis, Andrew Lacis, Reto Ruedy, Gary Russell, Junji Cao, Jing Li ___ : ___ source : https://transitionecologique.org/2022/12/20/rechauffement-climatique-en-vue/
Les Savoirs Ecologiques Traditionnels, savoirs locaux ou autochtones, transmis de générations en générations et longtemps méprisés par la pensée occidentale, méritent d’être mieux reconnus, face à la crise écologique actuelle. Ce décryptage fait le point sur les enjeux de définition, de transmission et de protection de ces savoirs.
Dans le cadre du programme Ecophyto II+, les ministères en charge de la transition écologique, de l’agriculture et de la recherche ont confié en 2020 à INRAE et l’Ifremer le pilotage d’une expertise scientifique collective sur les impacts de ces produits sur la biodiversité et les services écosystémiques, depuis leurs zones d’épandage jusqu’au milieu marin, en France métropolitaine et en Outre-Mer. Les conclusions de cette expertise, présentées ce 5 mai lors d’un colloque public, confirment que l’ensemble des milieux terrestres, aquatiques et marins – notamment côtiers – sont contaminés par les produits phytopharmaceutiques. Des impacts directs et indirects de ces substances sont également avérés sur les écosystèmes et les populations d’organismes terrestres, aquatiques et marins. La contamination tend néanmoins à diminuer pour les substances interdites depuis plusieurs années. Ces travaux mettent aussi en avant des besoins de recherche complémentaires pour mieux quantifier l’impact de ces produits sur l’envi
Terre en vue ! Plaidoyer pour un Pacte social-écologique - présentation pour IBGE
Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
deux questions : 1/ Le changement climatique a-t-il sur eux des incidences émotionnelles, si oui lesquelles, et celles-ci ont-elles évolué dans le temps ? ; 2/ Comment perçoivent-ils le sujet de l’écoanxiété (l’angoisse liée au changement climatique et aux dégradations écologiques, qui fait de plus en plus parler, s’agissant des jeunes générations mais pas seulement), et estiment-ils avoir un rôle à jouer sur ce sujet en tant que climatologues ?
Le premier sommet mondial de la Terre, celui de Stockholm en 1972, avait déjà été consacré à des préoccupations majeures : comment vivre aussi nombreux sur une planète dont la démographie ne cesse de croître et une partie de ses ressources de décroître. Vingt ans plus tard, à Rio, ce sont pourtant les gaz à effet de serre et leur pouvoir de réchauffement, porteurs d’une problématique physique très différente, qui ont tenu le rôle principal. Et nous vivons aujourd’hui une étape nouvelle marquée par le caractère très largement irréversible des changements en cours.
Dans le contexte de la crise de 2008-2009, l’avènement du bitcoin a pu séduire parce que, produit et géré avec un logiciel libre[1], il est supposé donner le pouvoir monétaire à ses utilisateurs. La réalité est loin de ce schéma idyllique. le bitcoin est essentiellement devenu un instrument spéculatif,... Au-delà des usages monétaires du bitcoin, l’objectif principal de cette note est de démontrer que le bitcoin est un gouffre énergivore, contraire à nos ambitions climatiques.
En 2019, la circulation routière en France métropolitaine se stabilise et atteint 623 milliards de véhicules-kilomètres. Les voitures et les véhicules utilitaires légers français et étrangers réalisent 92 % du trafic. En 2019, 28,5 % de la circulation des voitures a été réalisée par des véhicules essence (23,6 % en 2016) et 70,6 % par des véhicules diesel (75,8 % en 2016). Les autres motorisations (GPL, électriques, hybrides rechargeables) représentent moins de 1 % du trafic des voitures immatriculées en France en 2019. Une voiture immatriculée en France métropolitaine a roulé en moyenne 12 200 km dans l’année et un véhicule utilitaire léger 14 700 km. Les véhicules lourds immatriculés en France roulent beaucoup plus : 44 400 km pour un poids lourd et 34 300 pour un bus ou car. Avec 3 millions d’immatriculations en 2019, le marché des véhicules neufs croît de 3,2 % sur un an, après + 2,1 % en 2018. Les livraisons de supercarburant sont en hausse (+ 7,3 % en 2019 après + 3,8 % en 2018) et celles de gazole recu
Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien.
Le rapport fait suite à un mission confiée le 20 septembre 2019 par la secrétaire d'État à la transition écologique et solidaire, sur le modèle publicitaire français afin d'en évaluer ses impacts économiques, sociaux et environnementaux. Le rapport revient notamment sur le rôle de la publicité, son impact sur le climat et la biodiversité, le rôle économique du secteur publicitaire, la régulation de la publicité à l'internationale et sa prise en compte de la transition écologique...
L’effet rebond, ou « paradoxe de l’efficacité énergétique », trouve son origine au XIXème siècle, dans l’ouvrage The Coal Question écrit par l’économiste anglais William Stanley Jevons. Il y a utilisé l’exemple du remplacement de la machine à vapeur de Thomas Newcomen par celle de James Watt pour démontrer sa théorie. Quand Watt a créé une locomotive à vapeur qui utilisait moins de charbon pour faire les mêmes tâches que sa prédécesseure, cet avancement aurait dû aider le pays à utiliser le charbon existant avec modération.
Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
Les coopératives d'énergie renouvelable ne cessent de se multiplier en Belgique, comptant toujours davantage de membres. Maxime Lebrun a voulu savoir si ces coopératives sont de nature à corriger les défauts des structures classiques de production d'énergie renouvelable (position dominante de quelques firmes, manque de confiance du consommateur, informations peu disponibles, etc.). Il a d'abord dressé un inventaire des valeurs et principes des coopératives en question. Il a ensuite donné un aperçu des différentes coopératives présentes en Belgique. L'originalité de son approche est d'avoir questionné ces structures sous un regard économique pluriel, tout en utilisant également l'apport des sciences sociales. Son travail révèle l'importance du capital social (confiance des coopérateurs, sentiment d'appartenance à une communauté et engagement dans l'action collective) dans l'adoption et l'acceptabilité des énergies renouvelables. Il présente les coopératives comme des modèles hybrides d'organisation