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Le régime ploutocratique contrôlant la production (c’est le fonctionnement normal d’une entreprise) et l’aristocratie élective à la tête de l’État (ce que beaucoup nomment à tort “démocratie”) sont des aberrations pour quiconque se revendique de la démocratie et attache de l’importance au sens des mots. Non seulement ces écologistes adoptent une posture de soumission face à nos ennemis, nos oppresseurs, mais en plus ils sont inefficaces. C’est à dire que leur action a une effet très faible en comparaison de la force de mobilisation dont ils et elles disposent.
À l’occasion du sommet sur l’intelligence artificielle qui se tient le jeudi 29 mars au Collège de France et à l’issue duquel le président de la République doit présenter la stratégie nationale dans ce domaine, (re)découvrez tous nos contenus sur cette technologie qui pourrait à terme « augmenter » presque chaque moment de notre vie. Reconnaissance faciale, assistant intelligent, voiture autonome, où en est l’intelligence artificielle ? Laisserons-nous ces systèmes interpréter nos scanners médicaux ou rendre la justice ? L'automatisation du travail touchera-t-elle tout le monde ? Comment éviter les dérives éthiques ?

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Différentes pressions s’exercent sur l’espace alpin, où on observe une augmentation moyenne de la température de 2°C depuis 1950, ce qui entraîne un déficit hydrique, de nouveaux parasites, et impacte les arbres des forêts et de l’espace urbain. On sait également que les forêts ne peuvent pas s’adapter aussi rapidement que les changements climatiques interviennent.
« Paris face au changement climatique » : c’est le titre d’un essai intéressant paru ce mois-ci aux éditions de l’Aube. L’auteur, Franck Lirzin, a été l’un des dirigeants du groupe immobilier Gecina. Voici ci-dessous les éléments que j’en retiens.
Pour rester alignés sur une trajectoire de réchauffement de 1,5°C, quelle est l’ampleur des mesures à mettre en œuvre ? - Infographie
Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
Comment programmer la sortie des énergies fossiles alors que celles-ci ne font pas partie de la négociation sur le changement climatique ?
« Trois décennies d'atténuation du changement climatique : pourquoi n'avons-nous pas infléchi la courbe des émissions mondiales ? ». C’est le titre d’un papier de recherche rendu public il y a quelques jours, qui mérite l’attention.
.. l'arithmétique douteuse, les objectifs vagues et les aspirations technologiques souvent irréalisables des plans "zero émission nette” des grands pollueurs. Il analyse les plans d'un certain nombre d'industries polluantes clés, notamment les secteurs de l'énergie, de l'aviation, de la technologie, du commerce de détail, de la finance et de l'agriculture. Des stratégies que ces industries ont déployées pour s'assurer que leur programme "zero émission nette" devienne le principal dogme de la réponse mondiale à la crise climatique.
L'Accord de Paris signé en décembre 2015 lors de la COP 21 a pour objectif – central et ultime – de « contenir l'élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre l'action menée pour limiter l'élévation de la température à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels ». Toutes les Parties à la Convention Climat se sont accordées sur cet objectif, et y contribuent, appuyées par l’ensemble des acteurs non étatiques, par différents types d'engagements et d'instruments de suivi...
Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
Analyse de la faisabilité technique et mise en perspective de l’ampleur et de la rapidité des mesures à mettre en place.
Plus de la moitié de la planète n’a pas accès au web, pourtant qualifié de « mondial » (« world wide web »). Pour l’heure, l’Internet est essentiellement un phénomène urbain, en particulier dans les pays « en développement ». De fait, souvent, les entreprises de télécommunication hésitent souvent à étendre leur réseau à l’extérieur des villes pour des raisons multiples : coûts d’infrastructure élevés, faible densité de population, capacité à payer pour des services limitée, réseau électrique inexistant ou peu fiable. Même dans les pays « développés », la connectivité à l’Internet peut faire défaut dans certaines régions reculées.