migold

OA - Liste OA - Liste OA - Liste OA - Liste OA - Liste OA - Liste

Sélection

SitesDocumentsDes AppelsLivresB&LVidéos


Sites

Ces dernières années, et même s’il s’agit d’un sujet crucial, il faut avouer que le problème écologique a été surtout réduit à la question du changement climatique et ses conséquences, du moins dans la presse et les discussions de comptoir. Pourtant, celui-ci est beaucoup plus vaste et concerne globalement tout ce qui impacte les milieux de vie, les vivants eux-mêmes ainsi que les interactions avec et entre ceux-ci, au point d’entamer des bouleversements irréversibles et extrêmement rapides : bien plus fulgurants que les changements qui proviendraient d’une évolution naturelle des cycles géologiques, biogéochimiques, astronomiques,… Aujourd’hui, ceux-ci mettent en péril les conditions d’habitabilité de notre planète, pas seulement pour nous humains, aussi pour les autres espèces et leurs individus.
Cela fait plusieurs années que je souhaite créer mon propre site. J’espère qu’il pourra répondre à plusieurs de mes objectifs : Exister : écrire et publier mes écrits m’aide à donner un semblant d’ordre au chaos qui règne dans l’existence et dans mon esprit Inspirer : j’espère, en partageant publiquement mes pensées, mieux cheminer dans l’existence et, qui sait, contribuer à ce que d’autres fassent de même. Influencer : j’espère que le partage de mes pensées, de celles des commentateurs et des invités, puisse influencer positivement le débat public. Outiller : j’espère pouvoir partager avec les lecteurs des outils de pensée et d’action. Engager : j’espère pouvoir contribuer à ce que certains lecteurs s’engagent et oeuvrent au sein de la société.
Le capitalisme est parfois présenté comme le principal responsable de la crise écologique et sociale actuelle . Pour certains, il faudrait renommer capitalocène ce que les géologues appellent anthropocène. Pour d’autres, il faut sortir du capitalisme pour résoudre cette crise majeure. Il est indéniable que le système économique actuel, dit « capitaliste », aujourd’hui dominant sur la grande majorité de la planète, est en cause.
Analyse des définitions possibles du capitalisme, système économique aujourd’hui dominant sur la planète, en partie responsable de la crise écologique et sociale actuelle. Pour la survie de l'humanité, Comment réformer le capitalisme ? Faut-il en sortir totalement ?
"Parlons des Limites Planétaires."
Ancrée dans la science, notre mission est de promouvoir un avenir sain, respectant les limites planétaires. La crise climatique et écologique menace notre santé à tous, directement et indirectement. Pour y faire face, les systèmes de santé doivent devenir plus durables et résilients, passant notamment par une amélioration de leur empreinte et de leur potentiel d’adaptation. Nous nous engageons pour cette transition systémique. « Docsforclimate », fondé en Belgique en 2019, rejoint le mouvement international « Health for Future », originaire d’Allemagne, et en a adopté le nom.

Documents

Plateforme Wallonne / GIEC - Juin 2023 - n°29 - L’année 2022 marquait le 50e anniversaire du « rapport Meadows » sur les limites de la croissance. Commandité par le Club de Rome, il alertait sur les risques associés à la poursuite de la croissance de la population et de l’économie. Ces risques ont déjà commencé à se matérialiser, notamment en matière d’impacts des changements climatiques, comme le rappelle le récent Rapport de synthèse du GIEC. Comment le GIEC, qui s’appuie sur la littérature scientifique, évalue-t-il le rôle de la croissance ? Nous avons posé un même ensemble de questions à ce sujet à deux auteures principales du 6e rapport d’évaluation du GIEC, Céline Guivarch et Julia Steinberger. En complément, il nous a semblé intéressant de recueillir la réaction d’un économiste «  hors GIEC  », et notre choix s’est porté sur Bruno Colmant, économiste, auteur et membre de l’Académie royale de Belgique. Au sommaire : Les « limites » dans l’AR6, avec Céline Guivarch et Julia Steinberger Entretien avec Bru
Comment mener des projets qui respectent les équilibres écologiques et sociaux, et assurent la viabilité des politiques territoriales ? Comment sortir des projets cloisonnés et appréhender notre environnement dans toute sa complexité ? Comment garantir un "espace sûr et juste" pour l’humanité ?De plus en plus mobilisées, "les limites planétaires" offrent un nouveau cadre d’analyse et d’action pour répondre à l’urgence d’un changement de nos méthodes
nul n’ignore tout à fait le terme de « collapsologie 8 ». Sa portée médiatique aujourd’hui d’ailleurs est telle que bon nombres d’enjeux qui s’y rapportent sont passés dans l’opinion publique. Un sondage IFOP réalisé pour la Fondation Jean Jaurès en novembre 2019, révèle 9 , par exemple, que 65 % des Français indiquent être d’accord avec l’assertion selon laquelle « la civilisation telle que nous la connaissons actuellement va s’effondrer dans les années à venir », et 35% estiment qu’il pourrait intervenir à vingt ans. Cette théorie et tout l’imaginaire qui s’y rapporte se sont ainsi littéralement introduits dans la société, trouvant des relais de plus en plus nombreux dans les médias et sur les réseaux sociaux...
Human activities are threatening to push the Earth system beyond its planetary boundaries, risking catastrophic and irreversible global environmental change. Action is urgently needed, yet well-intentioned policies designed to reduce pressure on a single boundary can lead, through economic linkages, to aggravation of other pressures. In particular, the potential policy spillovers from an increase in the global carbon price onto other critical Earth system processes has received little attention to date. To this end, we explore the global environmental effects of pricing carbon, beyond its effect on carbon emissions. We find that the case for carbon pricing globally becomes even stronger in a multi-boundary world, since it can ameliorate many other planetary pressures. It does however exacerbate certain planetary pressures, largely by stimulating additional biofuel production. When carbon pricing is allied with a biofuel policy, however, it can alleviate all planetary pressures. In the light of nine Earth Syst
La marche persistante d’un climat en réchauffement se manifeste par une multitude de changements continus et progressifs. Les niveaux de CO2 dans l’atmosphère. La teneur en chaleur des océans. L’élévation du niveau de la mer à l’échelle mondiale. Chacune s’élève d’année en année, alimentée par les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine. Et si les records climatiques sont régulièrement battus, l’impact cumulatif de ces changements pourrait également entraîner des changements radicaux et irréversibles dans des parties fondamentales du système terrestre.
Freshwater availability is changing worldwide. Here we quantify 34 trends in terrestrial water storage observed by the Gravity Recovery and Climate Experiment (GRACE) satellites during 2002–2016 and categorize their drivers as natural interannual variability, unsustainable groundwater consumption, climate change or combinations thereof. Several of these trends had been lacking thorough investigation and attribution, including massive changes in northwestern China and the Okavango Delta. Others are consistent with climate model predictions. This observation-based assessment of how the world’s water landscape is responding to human impacts and climate variations provides a blueprint for evaluating and predicting emerging threats to water and food security. Analysis of 2002–2016 GRACE satellite observations of terrestrial water storage reveals substantial changes in freshwater resources globally, which are driven by natural and anthropogenic climate variability and human activities.