Les Ressources minérales (*)
« Une nouvelle ruée minière d’une ampleur inédite a commencé. Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, il faudrait produire en vingt ans autant de métaux qu’on en a extrait au cours de toute l’histoire de l’humanité. Ruée sur le cuivre en Andalousie, extraction de cobalt au Maroc, guerre des ressources en Ukraine, cette enquête sur des sites miniers du monde entier révèle l’impasse et l’hypocrisie de cette « transition » extractiviste. »
Source : présentation de « La ruée minière au XXIe siècle » – Enquête sur les métaux à l’ère de la transition – Celia Izoard
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Palestine
2025
La probable future ambassadrice américaine à l'ONU Elise Stefanik a raillé mardi la "gangrène antisémite" qui affecterait selon elle l'organisation internationale et a réaffirmé son indéfectible soutien à Israël dans son conflit avec les Palestiniens.
Le Hamas a annoncé vers 9h30 ce dimanche avoir publié les noms de trois otages israéliennes devant être libérées dans l'après-midi. Israël annonce dans la foulée que le cessez-le-feu avec le Hamas entre en vigueur à 10h15, heure belge. Le début de la trêve avec le Hamas a été reporté en raison de l'absence de cette liste d'otages à fournir par le mouvement palestinien, avait indiqué ce dimanche matin le porte-parole de l'armée israélienne.
Après 15 mois de guerre dans la bande de Gaza, Israël a annoncé dimanche la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu avec le Hamas. Le retard est lié à la publication par le Hamas du nom des otages devant être libérées ce jour.
L’accord de trêve scellé entre Israël et le Hamas est appliqué dans la bande de Gaza depuis ce dimanche 19 janvier. Un “douloureux processus”, entré en vigueur avec quelques heures de retard, qui prévoit des échanges entre otages israéliens et prisonniers palestiniens et doit durer six semaines.
Même si l’arrêt des violences semble fragile, la libération des trois premières otages israéliennes après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu dimanche à Gaza fait naître un espoir dans un Proche-Orient en plein bouleversement.
Sous l’égide des États-Unis, du Qatar et de l’Egypte, l’accord entre Israël et le Hamas prévoit la libération des 98 otages aux mains du Hamas et, à terme, la reconstruction de l’enclave.
Le gouvernement israélien, qui doit donner son feu vert jeudi à l’accord annoncé par le Qatar et les États-Unis, a remercié mercredi les deux présidents américains, dont les équipes ont étroitement collaboré sur le sujet. Cette coopération “rare” à Washington, bénéficie à chacun des deux dirigeants, note la presse américaine.
L’accord porte sur trois phases de cessez-le-feu, qui comprennent la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, celle de prisonniers palestiniens, l’entrée d’aide humanitaire dans l’enclave et le retrait progressif des troupes israéliennes.
Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages, mettant fin à 15 mois d'une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien, a annoncé une source proche des discussions. Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi soir que des questions restaient "à régler" dans l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas mais qu'il espérait conclure "cette nuit".
Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a proposé mardi d'envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire palestinien sous la responsabilité de l'ONU, à l'issue de la guerre avec le Hamas.
En utilisant une méthode statistique déjà éprouvée dans des conflits, des chercheurs ont tenté d’établir un compte des morts dans l’enclave. Ils sont parvenus au chiffre de 64 260 sur les neuf premiers mois de la riposte israélienne.
Alors que la Croix-Rouge réclame un accès "sûr et sans entrave" à la bande de Gaza, l'Unicef indique de son côté qu'au moins 74 enfants ont été tués en raison de la violence dans la bande de Gaza au cours de la première semaine de 2025, indique mercredi l'Unicef. Les victimes ont perdu la vie lors d'attaques de grande ampleur sur la ville de Gaza, Khan Younès ainsi que la zone humanitaire d'Al-Mawasi.
Nous dénonçons les injustices partout où elles se produisent. Nous condamnons autant l'attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023 que les actes commis par Israël à Gaza, en Cisjordanie ou au Liban, ainsi que toutes les souffrances infligées aux populations civiles.
Des personnes sont mortes de froid à Gaza, dont des nourrissons, mais l’aide humanitaire reste insuffisante en raison des restrictions d’accès, a alerté vendredi la cheffe de l’agence de l’ONU pour les migrations, Amy Pope.
Le pouvoir palestinien en Cisjordanie a ordonné le 1er janvier la suspension de la diffusion d’Al-Jazeera. Une décision qui intervient après que Ramallah a critiqué la couverture médiatique par la chaîne panarabe des opérations menée à Jénine contre des groupes armés proches du Hamas.
Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées jeudi dans la bande de Gaza par des frappes israéliennes, dont le chef de la police du Hamas, Mahmoud Salah, et son adjoint Hussam Shahwan, a annoncé le porte-parole de la Défense civile.
2024
Le Comité international de la Croix-Rouge a jugé, lundi, que le système sanitaire dans le nord de la bande de Gaza était "anéanti" après plus d'un an de bombardements menés par Israël.
Le journal israélien est l’un des rares médias du pays à montrer la réalité de la guerre du côté palestinien. Une approche critique qui lui vaut d’être en première ligne face aux attaques du gouvernement contre les médias.
Un bébé de trois semaines est mort ce dimanche 29 décembre en raison du froid, ont annoncé les autorités sanitaires de l’enclave, alors que le dernier hôpital fonctionnel du nord de la bande a été bombardé et vidé.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se montre incapable d’abandonner sa logique de guerre au profit d’une logique de paix, même après avoir réduit à néant la bande de Gaza et fait la preuve de la surpuissance militaire de son pays.
L'OMS a annoncé vendredi que le dernier grand hôpital opérationnel dans le nord de Gaza était "hors service" après un raid de l'armée israélienne contre des combattants du Hamas près de cet établissement, pris d'assaut selon le mouvement islamiste palestinien.
Aujourd'hui, nous joignons notre voix à celle d'autres associations pour dénoncer cette entreprise effroyable. Malheureusement, la reconnaissance de plus en plus large qu'Israël commet bien un génocide à Gaza ne suffit pas à l'arrêter ou le freiner.
En continuant de soutenir militairement et financièrement leur allié israélien malgré les accusations étayées qui le visent, nombre d’Etats, dont la France, se dérobent à leur responsabilité et mettent à mal le droit international.
Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, mercredi, une résolution non contraignante par 158 voix pour, neuf contre et treize abstentions exigeant un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent", un appel rejeté par Israël et les États-Unis.
Dans un rapport accablant et très documenté, publié ce jeudi 5 décembre, l’ONG assure que l’opération militaire israélienne dans l’enclave palestinienne répond à trois des cinq actes interdits au titre de la Convention de 1948.
Les recherches ont permis de rassembler suffisamment d’éléments pour conclure qu’Israël a commis et continue de commettre un génocide contre les Palestiniens et Palestiniennes dans la bande de Gaza occupée.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il allait coprésider avec le prince héritier et dirigeant de facto de l'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane une conférence sur la création d'un Etat palestinien en juin 2025.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.
L’ancien ministre de la Défense israélien Moshé Yaalon a affirmé samedi que l’armée israélienne menait un "nettoyage ethnique" dans la bande de Gaza, provoquant un tollé au sein de la classe politique.
La bande de Gaza a sombré dans l’anarchie, avec une hausse de la famine, des pillages généralisés et des viols de plus en plus fréquents dans les camps de réfugiés, alors que l’ordre public s’est effondré, ont déclaré vendredi des responsables des Nations-Unies.
Alors que l’élection de Donald Trump pourrait conforter Benyamin Nétanyahou dans sa stratégie meurtrière, les ancien et actuel députés européens affirment, dans une tribune au « Monde », que le mandat d’arrêt de la CPI contre le premier ministre israélien n’est pas antisémite et appellent la France à reconnaître l’Etat palestinien.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a affirmé qu'Israël devrait "conquérir" la bande de Gaza et réduire de moitié la population palestinienne locale par "une émigration volontaire".
Outre les dizaines de milliers de morts, la guerre israélienne a fait plus de 100 000 blessés parmi les habitants de Gaza, dont beaucoup d’enfants. “The New York Times” est allé à la rencontre de ceux qui ont eu la chance d’être évacués et opérés au Qatar.
La guerre d’Israël dans la bande de Gaza bafoue un des droits fondamentaux : l'accès à l’eau. Cette « instrumentalisation de l’eau » a de lourdes conséquences sur les Gazaouis, déplore l’auteur de cette tribune.
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en Ukraine mais aussi en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
Après plus d’un an de conflit à Gaza, la Cour pénale internationale a provoqué la fureur d’Israël en émettant jeudi des mandats d’arrêt sans précédent contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Le ministère de la Santé du Hamas pour Gaza a averti vendredi que tous les hôpitaux du territoire palestinien devraient cesser ou réduire leurs activités "sous 48 heures" faute de carburant dont l'entrée est bloquée, selon lui, par les autorités israéliennes.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et du chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Cette décision, la première contre des dirigeants israéliens dans l’histoire de la Cour, a été qualifiée d’un nouveau “procès Dreyfus” par Nétanyahou.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
Voici la réponse du sociologue Jean De Munck à l'opinion du psychologue, anthropologue et psychanalyste Francis Martens parue récemment dans La Libre, et qui a suscité de vives réactions. Le Professeur De Munck explique et argumente, point par point, les raisons de son désaccord avec M. Martens.
Le comité spécial de l’ONU chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés s’alarme notamment des “pertes civiles massives” et de l’emploi de “la famine comme arme de guerre”. Washington a lui désapprouvé “sans équivoque” les conclusions du document onusien.
L’armée israélienne favorise le pillage de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, en s’en prenant notamment aux forces de police palestiniennes qui tentent de le combattre, accusent vendredi 29 ONG dans un rapport commun.
La déclaration a été faite à l’issue d’un sommet de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique en Arabie saoudite.
Une haute responsable de l’ONU a dénoncé mardi la "cruauté quotidienne" subie par la population de la bande de Gaza assiégée et bombardée par Israël, décrivant "des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves".
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a plaidé lundi pour l'annexion de la Cisjordanie par son pays, donnant ordre à l'administration civile et militaire de préparer l'infrastructure nécessaire à cette annexion, selon le Jerusalem Post.
Les dirigeants arabes et musulmans ont réaffirmé lundi leur appel en faveur de la création d’un Etat palestinien souverain, avec Jérusalem-Est comme capitale, à l’issue d’un sommet des pays arabes et musulmans à Ryad.
La famine menace dans le nord de la bande de Gaza, dans un contexte d'intensification des opérations de l'armée israélienne et d'un arrêt quasi total de l'aide alimentaire, alerte samedi un rapport de l'ONU.
Présidentielle américaine. Sept dossiers internationaux que l’élection de Trump pourrait bouleverser
- Courrier international
L’ancien président des États-Unis a été porté une seconde fois à la Maison-Blanche le 5 novembre. “The Washington Post” récapitule les effets possibles sur les principaux fronts diplomatiques du globe. Et les craintes des autres pays.
Malgré l'opposition des États-Unis et la mise en garde du Conseil de sécurité de l'ONU, la Knesset a adopté lundi l'interdiction pour l'Unrwa d'exercer ses activités sur le territoire israélien. Un vote lourd de conséquences humanitaires et politiques qui oblige la communauté internationale à repenser toute l'aide aux Palestiniens.
Israël mène une guerre sur plusieurs fronts, notamment contre le Hamas à Gaza et le Hezbollah au Liban.
Le patron de l'OMS, le Royaume-Uni, ou encore l'Allemagne ont dénoncé l'adoption d'une loi par le Parlement israélien visant à interdire les activités de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans le pays.
La décision des députés israéliens d’interdire l’agence de l’ONU chargée des réfugiés palestiniens, alors que de nouvelles opérations dans la bande de Gaza menacent la vie de dizaines de milliers de civils, est une honte et un scandale.
Près de 100 personnes dont des femmes et des enfants ont été tuées dans une frappe israélienne mardi dans la bande de Gaza, ont indiqué les secours locaux, les Etats-Unis déplorant un raid "horrible" dans le territoire palestinien dévasté par un an de guerre.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées dimanche après-midi dans le centre de Bruxelles pour réclamer un cessez-le-feu dans la bande de Gaza et au Liban, où l’armée israélienne mène des opérations. Les organisateurs parlent de 70.000 personnes, la police de 32.000.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé que la mort du chef du Hamas marquait « le début de la fin » de la guerre menée depuis plus d’un an dans la bande de Gaza.
Plus de 1 000 Israéliens ou Franco-Israéliens, dont des universitaires et des artistes, appellent la communauté internationale à appliquer contre l’Etat hébreu toute sanction possible afin d’obtenir un cessez-le-feu immédiat.
"Dans une semaine, tout le territoire du nord de la bande de Gaza deviendra un territoire militaire. Et dans ce territoire militaire, en ce qui nous concerne, aucun approvisionnement n’entrera. Les 5000 terroristes qui se trouveront dans cette situation pourront soit se rendre soit mourir de faim."
Le Pentagone a annoncé dimanche l'envoi en Israël d’un système de défense antimissiles à haute altitude THAAD ainsi que d'une centaine de militaires américains pour le faire fonctionner. Considéré comme l'un des plus perfectionnés au monde, ce système doit permettre de renforcer la sécurité de l'État hébreu face à la menace balistique de l'Iran.
Alors que la Knesset israélienne a récemment voté deux projets de loi pour mettre fin aux activités de l’agence onusienne en charge des réfugiés palestiniens (Unrwa) qu'elle accuse de partialité, celle-ci annonce être la cible de l’armée israélienne sur le terrain, à Gaza. Elle se dit aussi victime d’une campagne de désinformation visant à saper sa crédibilité.
Alors que les ordres d’évacuations se multiplient, la BBC s’interroge quant aux objectifs de cette nouvelle phase de la campagne militaire contre le Hamas dans l’enclave palestinienne. L’armée israélienne serait-elle en train de progressivement mettre en place le radical et brutal “plan des généraux” ?
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a appelé dimanche le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à mettre les Casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) "à l'abri immédiatement".
La destruction à grande échelle de Gaza et la mort sous les bombes israéliennes de plus de 41 000 Palestiniens, dont une large majorité de civils, se sont accomplies sous le regard passif des principaux pays occidentaux. Une "abdication morale", selon le chercheur Didier Fassin, qui décrypte dans un récent essai la genèse de "l'acquiescement à l'anéantissement de Gaza".
Des enquêteurs des Nations unies ont accusé jeudi Israël de délibérément viser les installations de santé dans la bande de Gaza, évoquant des "crimes contre l'humanité", et accusé le Hamas et les groupes armés palestiniens de crimes de guerre et crimes contre l'humanité à l'égard des otages retenus à Gaza.
Des enquêteurs de l'ONU, évoquant des "crimes contre l'humanité", accusent jeudi Israël de viser délibérément les installations de santé de la bande de Gaza, tout en torturant et tuant le personnel médical.
Après onze mois de guerre d’usure, septembre 2024 a vu une nette intensification du conflit, qui semble désormais impliquer plus que jamais la plupart des alliés régionaux de l’Iran face à Israël.
Plus de 6 bâtiments sur 10 de l’enclave ont été détruits, ou possiblement endommagés. Plus de 60% du réseau de distribution électrique de l’enclave et 68% des routes sont endommagés.
« 7-Octobre, un an après. » Les mineurs, les femmes et les personnes de 60 ans et plus représentent plus de 60 % des 41 870 morts recensés par les autorités de santé de l’enclave palestinienne.
L’armée israélienne a ordonné dimanche 6 octobre aux habitants du nord de Gaza «d’évacuer». Si rien ne le prouve, certains commentateurs redoutent que cela marque le début du plan «Eiland», qui viserait à assiéger cette partie de l’enclave.
Cet ouvrage collectif, qui rassemble une série de rapports et d’enquêtes publiés par des ONG et des médias, documente les effets de la guerre menée par Israël dans l’enclave palestinienne, en riposte au massacre du 7-Octobre. Une démarche destinée à lutter contre l’« invisibilisation » des Gazaouis et de leurs souffrances.
Israël commémore lundi le premier anniversaire de l'attaque sanglante du Hamas le 7 octobre 2023. Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, doit s'adresser à la nation tandis qu'une cérémonie a eu lieu sur le site du festival de musique Nova, où au moins 370 personnes avaient été tuées par les combattants du Hamas.
L’obstination du premier ministre de l’Etat hébreu et de ses alliés dans la guerre qu’ils mènent à Gaza et au Liban va à l’encontre des intérêts à long terme de son pays, explique l’historien israélien, dans une tribune au « Monde ».
Des centaines d'Israéliens se sont réunis, dimanche soir, à Tel-Aviv, pour marquer le premier anniversaire des attaques sanglantes du Hamas le 7 octobre 2023, il y a tout juste un an.
Une première cérémonie d'hommage aux victimes de l'attaque terroriste du 7 octobre dernier visant Israël s'est déroulée ce dimanche à Uccle. Près de 2000 personnes s'y sont rassemblées et d'autres cérémonies sont prévues ce lundi. Yves Oschinsky, président du Comité de coordination des organisations juives de Belgique était l'invité du Café sans filtre ce lundi 7 octobre.
Un an après l’attaque perpétrée le 7 octobre par le Hamas en Israël, on ne peut qu’appeler à la paix, « la seule action qui ouvre l’avenir », écrit Hervé Kempf dans cet éditorial.
En excluant les assaillants du décompte, autour de 1 200 personnes ont péri lors des attaques ou des suites de blessures infligées la journée du 7 Octobre. Une grande majorité étaient des civils.
Nonante-sept otages sont toujours retenus par le Hamas à Gaza. Et au moins une trentaine d’entre eux sont morts selon l’armée israélienne. Leurs familles se battent depuis un an, sans cesse, pour obtenir leur libération mais aussi pour maintenir l’attention des autorités sur le sort de leurs proches.
Une vidéo extraite d’un documentaire du média public turc TRT World montre des Israéliens prendre des bateaux pour observer Gaza et réfléchir à la réimplantation de colonies dans le nord de l’enclave. Des images représentatives de la volonté de recoloniser le territoire palestinien exprimée depuis plusieurs mois par une frange radicale de la société israélienne.
Les deux tiers des bâtiments de la bande de Gaza ont été détruits ou endommagés depuis le début de la guerre en octobre 2023, ont annoncé lundi les Nations unies.
Le dernier bilan des bombardements de lundi s’élève à 492 morts. La crainte d’une escalade dans la région va peser sur l’Assemblée générale de l’ONU cette semaine.
La tension est à son comble au Moyen-Orient.
Depuis le début de la guerre contre le Hamas à Gaza et le Hezbollah dans le Sud-Liban, l’armée israélienne a renforcé ses opérations de brouillage des télécommunications. Et notamment des signaux GPS qui permettent de guider les missiles et drones. Quitte à perturber profondément la vie quotidienne des Libanais et des Israéliens.
Un document, publié le 16 septembre égrène sur 649 pages la liste des morts identifiés au 31 août, et souligne le lourd tribut payé par les moins de 18 ans. En mai, les autorités israéliennes annonçaient quant à elles « la mort de 14 000 terroristes et de probablement 16 000 civils ».
L'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mercredi la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens dans les "12 mois" et appelé à des sanctions contre Israël, en colère contre cette résolution non contraignante, la qualifiant de "cynique".
Cette résolution non contraignante, adoptée mercredi, a provoqué la colère d’Israël, la qualifiant de « cynique ».
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a déploré mercredi la mort de six collaborateurs de l'ONU lors d'une frappe israélienne sur une école à Gaza dans la journée, dénonçant des "violations dramatiques du droit humanitaire international".
La guerre menée par Israël contre le Hamas depuis plus de 11 mois provoque une "dévastation" économique d'une "ampleur stupéfiante" à Gaza et par ricochet en Cisjordanie, dénonce jeudi l'ONU.
La Défense civile de Gaza a fait état dans la nuit de lundi à mardi de la mort de 40 personnes dans une attaque israélienne sur la zone humanitaire d'Al-Mawasi à Khan Younès, Israël soulignant avoir visé un "centre de commandement" du Hamas.
L’émissaire de l’ONU pour le processus de paix au Moyen-Orient a condamné mardi les attaques aériennes israéliennes sur une zone humanitaire dans la bande de Gaza, qui ont fait 40 morts, selon la Défense civile gazaouie. Le bilan total des morts dans l’enclave a franchi la barre des 41.000, indique le Hamas.
Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a alerté mardi contre le risque de voir la Cisjordanie, où les violences se sont accrues depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas palestinien, "se transformer en nouvelle bande de Gaza".
La guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas palestinien est entrée samedi dans son 12e mois sans signe de répit dans les bombardements meurtriers israéliens et sans espoir d'une trêve rapide ou d'une libération des otages.
Déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, la guerre à Gaza a fait des dizaines de milliers de morts. Entré samedi dans son douzième mois, le conflit ne montre aucun signe de répit dans les bombardements meurtriers israéliens et reste sans espoir d'une trêve rapide ou d'une libération des otages. À Gaza, quelque 2,4 millions de personnes sont assiégées dans des conditions humanitaires et sanitaires cauchemardesques.
Une enquête internationale pour "crimes de guerre" doit être ouverte contre l'armée israélienne, qui a détruit de manière "injustifiée" des quartiers entiers de Gaza le long de la frontière de l'enclave palestinienne avec Israël afin d'y créer une zone tampon, réclame Amnesty international jeudi.
Professoral, une baguette à la main, Benjamin Netanyahou pointe un fin trait bleu sur une carte géante de la bande de Gaza. Un fin trait d’une importance capitale, défend le Premier ministre israélien. "La réalisation des objectifs de la guerre passe par le couloir de Philadelphi", assène-t-il, lors d’une conférence de presse donnée ce lundi 2 septembre. "Nous ne quitterons pas Philadelphi".
Dans la bande de Gaza, les maladies de la peau explosent, touchant surtout les enfants. Plus de 100 000 cas de gale, ainsi que de nombreuses infections comme l’impétigo, la varicelle, et des éruptions cutanées, sont signalés. Les conditions sanitaires déplorables aggravent la situation, tout comme l'évacuation forcée du quartier de Deir al-Balah, dans le centre de l’enclave, et l'arrêt des opérations humanitaires de l'ONU. La rédaction des Observateurs a recueilli le témoignage de Mohammed Al Khatib, le directeur adjoint des programmes pour l’ONG Medical Aid for Palestinians (MAP) à Gaza.
La campagne anti-polio a débuté samedi dans le centre de la bande de Gaza, a annoncé à l’AFP un responsable. "Des équipes du ministère de la Santé, de l’Unrwa et des ONG ont débuté samedi la campagne de vaccination contre la polio dans le centre de la bande de Gaza", a déclaré le docteur Moussa Abed, directeur des premiers soins au sein du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas.
L’armée israélienne a dit avoir tué, jeudi, sept combattants palestiniens, au deuxième jour de cette large opération contre des groupes armés. Par ailleurs, les Nations unies ont estimé que la souffrance des habitants de Gaza était « au-delà de ce que tout être humain devrait endurer ».
L'Organisation mondiale de la Santé a annoncé jeudi une série de "pauses humanitaires" de trois journées chacune, localisées dans la bande de Gaza, pour permettre de lancer dimanche la campagne de vaccination des enfants contre la polio.
L'armée israélienne a affirmé vendredi qu'elle avait mis fin à son opération de plusieurs mois dans les villes du sud de Gaza, Kahn Younès et Deir al-Balah, ajoutant que 250 militants ont été tués.
La formation alliée à l’Iran a dit avoir lancé « plus de 320 » roquettes sur des bases militaires en Israël, « première phase » de sa riposte à la mort de Fouad Chokr, haut chef militaire tué dans une frappe israélienne sur Beyrouth le 30 juillet. L’état d’urgence est décrété dans tout l’Etat hébreu pour quarante-huit heures.
Israël a affirmé avoir déjoué dimanche une attaque à grande échelle du Hezbollah en menant de multiples frappes au Liban, mais le mouvement libanais a dit avoir réussi à lancer des centaines de drones et de roquettes sur des positions israéliennes pour venger la mort d'un de ses chefs.
Fatigués de partir et repartir inlassablement, les déplacés palestiniens ne veulent plus bouger malgré les ordres d’évacuation quasi-quotidiens lancés par l’armée israélienne. «Aucun endroit n’est sûr» à Gaza, répète l’ONU.
Un cas de poliomyélite a été confirmé vendredi 16 août chez un bébé dans le centre de l’enclave palestinienne, où la guerre empêche la vaccination et a causé la dégradation catastrophique des conditions d’hygiène.
En seulement dix mois, le terrible bilan humain du conflit en fait déjà l’un des plus sanglants du siècle. Et l’ampleur des dégâts dans l’enclave palestinienne pourrait le rendre bien plus lourd.
Entre le Hezbollah et Israël, dix mois de violences transfrontalières causent des centaines de morts
- Le Monde,Afp,
Près de 400 combattants du Hezbollah ont été tués en marge de la guerre à Gaza, des pertes supérieures à celles du conflit de 2006.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont affirmé lundi « qu’il ne peut plus y avoir aucun délai supplémentaire » pour négocier un cessez-le-feu dans le territoire assiégé.
Les autorités du Hamas parlent d’une centaine de morts après une attaque samedi matin contre une école. Israël affirme qu’elle abritait un centre de commandement du mouvement armé palestinien.
Neuf employés de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) "pourraient avoir été impliqués" dans les attaques du Hamas du 7 octobre en Israël, selon l'enquête interne des Nations unies qui portait sur 19 personnes accusées par Israël.
La guerre au Proche Orient s’embrase encore plus. Depuis le 28 juillet, le SPF Affaires étrangères rappelle que tout voyage en Israël, Jérusalem et Territoire Palestinien, ainsi qu’au Liban, reste déconseillé. Il est également demandé aux Belges de quitter le Liban. Mais qu’en est-il pour les citoyens de ces pays pris sous le feu ?
Les zones industrielles israéliennes se dressent un peu partout en Cisjordanie occupée. Les communautés palestiniennes étouffent sous la pollution et la colonisation de leurs terres. Tulkarem (Cisjordanie), reportage La ville palestinienne de Tulkarem est connue pour ses agrumes, son université et pour les affrontements qui ont lieu régulièrement entre de jeunes combattants palestiniens et l’armée israélienne. Pourtant, une autre guerre s’y déroule en silence : les habitants de Tulkarem meurent (...)
Voici une réaction à l'opinion "La victoire posthume d'Hitler" parue récemment dans "La Libre". Au regard du droit international, les accusations de génocide à Gaza ne sauraient être considérées comme absurdes ou infamantes à l'égard d'Israël. Elles sont au contraire alarmantes et méritent d'être prises au sérieux et examinées avec soin.
En pleine poussée des tensions entre Israël d’un côté, l’Iran et ses alliés de l’autre, le Pentagone a annoncé vendredi le déploiement de navires et d’avions supplémentaires dans la région.
L’armée israélienne a annoncé ce jeudi 1er août la mort du commandant des brigades Al-Qassam. Il avait été visé par une frappe dans le sud de la bande de Gaza il y a deux semaines.
Les Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique iranienne, ont affirmé mercredi que le chef politique du mouvement islamiste palestinien Hamas, Ismaïl Haniyeh, avait été tué à Téhéran avec l'un de ses gardes du corps. Suivez en direct les derniers développements du conflit au Moyen-Orient.
L'armée israélienne a assuré mardi soir que ses chasseurs avaient "éliminé" en frappant Beyrouth le commandant de la milice chiite pro-iranienne Hezbollah qu'elle tient pour responsable de la mort d'enfants sur le plateau syrien du Golan annexé.
« Les témoignages recueillis font état d’une série d’actes épouvantables tels que la simulation de noyade et le lâcher de chiens sur des détenus », selon le haut-commissaire aux droits de l’homme des Nations unies, Volker Türk.
Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, alerte dans une tribune au « Monde » sur les risques d’épidémie à Gaza. Un cessez-le-feu et la circulation fluide de l’aide sont les seuls moyens concrets de protéger les populations.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a suggéré dimanche que la Turquie puisse intervenir militairement contre Israël dans la guerre à Gaza. "Tout comme nous l'avons fait au Haut-Karabakh, comme nous l'avons fait en Libye ; nous ferons la même chose ici", a déclaré Erdogan lors d'une réunion de son parti AKP à Rize, sur la mer Noire.
Une roquette tirée depuis le Liban sur le plateau du Golan annexé par Israël a fait onze morts samedi, a indiqué l'armée israélienne, accusant le Hezbollah libanais d'en être à l'origine. Celui-ci a affirmé n'avoir "aucun lien" avec le tir de roquette meurtrier.
Plusieurs frappes israéliennes ont touché le Liban la nuit dernière, en riposte au tir de roquette attribué au Hezbollah qui a tué 12 enfants et adolescents, samedi 27 juillet, dans la petite ville druze de Majdal Shams. Jamais, depuis octobre dernier, le risque d’escalade n’avait paru aussi élevé, souligne la presse internationale.
Plus d'une centaine de milliers de Palestiniens ont de nouveau fui les bombardements à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, sans nulle part où aller, selon l'Onu. Des tirs d'artillerie et des frappes aériennes meurtrières ont visé la bande de Gaza, où l'armée israélienne a récupéré les corps de cinq Israéliens tués durant l'attaque du Hamas le 7 octobre et emmenés dans le territoire palestinien.
Cette frappe sur l’école, située dans la région de Deir Al-Balah, a également fait « plus de 100 blessés ». Selon le ministère, plus de 39 000 personnes ont été tuées à Gaza depuis le 7 octobre 2023.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS)a déclaré mardi être "très inquiète" face à de possibles épidémies dans la bande de Gaza, en particulier après avoir isolé dans des échantillons d'eaux usées le poliovirus de type 2 dérivé d'une souche vaccinale.
Des frappes israéliennes sur le camp de Nousseirat dans le centre de la bande de Gaza et dans Gaza-ville ont fait au moins 24 morts samedi, selon les responsables des services de santé. Parmi les victimes figure un journaliste et sa famille, portant à 161 le nombre de journalistes palestiniens tués par des tirs israéliens depuis le 7 octobre.
Plusieurs explosions ont embrasé des «installations de stockage de carburant» dans le port d’Hodeida ce samedi 20 juillet, au lendemain de l’attaque d’un drone qui a fait un mort à Tel Aviv.
Le port stratégique de Hodeïda a été visé par des frappes israéliennes qui ont fait trois morts et plus de 80 blessés, deux jours après une attaque de drone ayant fait un mort à Tel-Aviv menée par les rebelles houthistes.
Montagnes d’ordures, étendues d’eaux usées… Des images prises dans la bande de Gaza témoignent des conditions sanitaires extrêmement difficiles au milieu desquelles vivent les habitants. L’analyse d’images satellite permet aussi de documenter la formation de décharges informelles mesurant plusieurs centaines de mètres de long. Dans un contexte de fortes chaleurs, qui favorisent la propagation des maladies, le risque d’épidémie de choléra est réel, selon Louise Wateridge, porte-parole de l’Unrwa.
La Cour internationale de Justice (CIJ) a estimé, dans un avis rendu vendredi, la politique de colonisation menée par Israël contraire au droit international. Elle a ajouté que l'occupation "illégale" par Israël de territoires palestiniens depuis 1967 devait cesser "le plus rapidement possible".
L’avis rendu par l’organe judiciaire de l’ONU n’est pas contraignant, mais pourrait accroître la pression juridique croissante sur l’Etat hébreu concernant la guerre dans la bande de Gaza.
Plusieurs frappes meurtrières ont frappé Gaza mercredi, alors que le Premier ministre israélien a annoncé son intention "d'augmenter la pression" militaire sur le Hamas. Les États-Unis ont par ailleurs annoncé mercredi la fin de la mission de leur jetée flottante à Gaza.
Entre le 6 et le 9 juillet, l’armée israélienne a pris pour cible quatre écoles dans la bande de Gaza. Les bombardements de ces infrastructures civiles, qui servaient de camps de réfugiés, ont provoqué plusieurs dizaines de morts et de blessés. Bien que l'armée israélienne affirme avoir pris des mesures pour limiter les pertes civiles, des experts en munitions affirment que tout explosif largué sur ces zones densément peuplées risque de provoquer des pertes civiles importantes.
L'ONG Oxfam accuse Israël, dans un rapport publié jeudi, d'utiliser l'eau comme "arme de guerre" à Gaza alors que la quantité d'eau disponible dans l'enclave palestinienne a chuté de 94%, selon l'ONG.
L'Ukraine a annoncé jeudi avoir livré une première cargaison de 1.000 tonnes de farine de blé destinée à la population palestinienne, prise "au milieu du conflit entre Israël et le Hamas" à Gaza.
Le Parlement israélien a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi une résolution s'opposant à "la création d'un État palestinien", à quelques jours d'une visite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Washington. La France a exprimé "sa consternation", soulignant que cette décision était "en contradiction avec les résolutions adoptées au Conseil de sécurité des Nations unies".
La présence du virus responsable de la polio a été détectée dans plusieurs échantillons d'eaux usées de la bande de Gaza, a annoncé jeudi le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, dénonçant une "catastrophe sanitaire".
Alors que les combats entre l'armée israélienne et le Hamas sont poursuivies mardi dans plusieurs secteurs de la bande de Gaza, la Défense civile, organisme dépendant du Hamas, a annoncé mardi la mort de 57 personnes dans plusieurs frappes israéliennes.
L’ONG publie ce mercredi un rapport dans lequel elle relate de nombreux crimes, notamment «contre l’humanité», perpétrés contre des civils lors de l’attaque terroriste en Israël. Des faits imprescriptibles au regard du droit international.
Des groupes armés palestiniens de Gaza ont commis "des centaines" de crimes de guerre lors de l'attaque sans précédent du 7 octobre en Israël, selon Human Rights Watch (HRW), qui a publié, mercredi, un rapport sur le sujet, aussitôt démenti par le Hamas.
L’accumulation des déchets, la stagnation d’eaux usées ou la prolifération d’insectes rendent la situation sanitaire intenable dans l’enclave palestinienne, où beaucoup craignent l’apparition d’épidémies.
Alors que cette semaine l’armée israélienne a lancé une nouvelle opération d’envergure sur la ville de Gaza, dix experts indépendants des Nations unies ont accusé Israël de « mener une campagne de famine ciblée à Gaza ». Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l'ONU sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, est l’une des autrices de ce compte rendu. Elle a répondu aux questions de RFI.
Au dixième mois de guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, les ONG tirent une fois de plus la sonnette d’alarme. Les Palestiniens, déplacés à plusieurs reprises dans l’enclave sur ordre de l’armée israélienne, s’entassent dans des zones surpeuplées où l’aide humanitaire n’entre plus.
Le titre pourrait paraître incongru, mais il ne l'est pas au regard de la haine et des mensonges déversés sur Israël. Pas un jour sans un graffiti, une déclaration, un post accusant Israël de génocide contre le peuple palestinien. L'accusation de génocide est d'autant plus grave qu'elle est à la fois absurde aux termes de la réalité du concept et des faits, et qu'elle vise surtout à stigmatiser, de la manière la plus infamante qui soit, les fils et filles de la Shoah, le génocide emblématique du XXe siècle. Près de sept millions de vies juives arrachées de Varsovie (98 % des 450.000 habitants) à Anvers (65 %) pour la simple raison d'être nées sous une mauvaise étoile.
Les experts des droits de l'homme de l'ONU ont accusé mardi Israël de mener une "campagne de famine ciblée" qui a entraîné la mort d'enfants à Gaza. "Nous déclarons que la campagne de famine intentionnelle et ciblée d'Israël contre le peuple palestinien est une forme de violence génocidaire et a entraîné une famine dans toute la bande de Gaza", ont déclaré dix experts indépendants des Nations Unies dans un communiqué, évoquant trois enfants morts récemment "de malnutrition et de manque d'accès à des soins de santé adéquats".
Les Israéliens se concentrent désormais sur la destruction des infrastructures du Hamas.
L'ONU a dénoncé mercredi des informations faisant état d'abus "inacceptables" voire de tortures subies par des détenus palestiniens depuis l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre et la guerre à Gaza, et exigé une enquête.
Israël continue de bombarder la bande de Gaza mardi, émettant des ordres d'évacuations qui ont contraint des centaines d'habitants à fuir à nouveau plusieurs secteurs du sud du territoire palestinien, déjà dévasté par près de neuf mois de guerre. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) estime "qu'environ 250 000 personnes ont été touchées par ces ordres".
Une enquête publiée ce mardi 25 juin par le consortium «Forbidden Stories» révèle que plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués. Tsahal a affirmé «ne pas blesser intentionnellement des journalistes».
L’enjeu est de taille pour Benyamin Nétanyahou : l’opinion publique est favorable à la fin des exemptions, mais son gouvernement inclut deux partis religieux ultraorthodoxes, qui pourraient, s’ils quittent la coalition, déclencher de nouvelles élections.
Depuis son installation en mai, la jetée temporaire installée par les États-Unis sur la côte de la bande de Gaza pour faciliter l'acheminement d'aide humanitaire enchaîne les difficultés. Déplacée la semaine dernière vers un port israélien en raison de mauvaises conditions météo, elle est de nouveau opérationnelle et les livraisons d'aide ont repris dans la nuit de mercredi à jeudi.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme a publié, mercredi, une évaluation de six opérations menées l'année dernière par l'armée israélienne à Gaza qui soulève "de sérieuses inquiétudes au regard du droit de la guerre, aux principes de distinction, de proportionnalité et de précaution".
L’armée israélienne a annoncé dimanche 16 juin l’instauration d’une pause humanitaire de onze heures chaque jour pour permettre l’acheminement d’aide dans le sud de la bande de Gaza. Aucun membre du gouvernement n’en avait, semble-t-il, été informé.
Les accusations d’antisémitisme proférées par les autorités israéliennes font mouche dans la population, prise dans les méandres de la politique israélienne sur fond de bruits de canons.
Le «Wall Street Journal» a eu accès à la correspondance entre le chef du Hamas à Gaza et ses divers représentants à l’extérieur de l’enclave, dans le cadre des discussions pour arracher une trêve.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a qualifié la réponse du Hamas de "signe d'espoir".
“The Wall Street Journal” a eu accès aux messages de Yahya Sinwar envoyés aux membres du Hamas participant aux négociations autour d’une trêve avec Israël. Abondamment repris dans la presse israélienne, ils révèlent le “froid mépris pour la vie humaine” du cerveau des massacres du 7 octobre.
Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien dirigé par Benjamin Netanyahu, a quitté le gouvernement dimanche. Il était en désaccord avec le Premier ministre sur la conduite de la guerre à Gaza. Sa démission intervient après la libération de quatre otages lors d'un raid dans la bande de Gaza.
Samedi 8 juin, Tsahal a libéré 4 otages israéliens grâce à une opération spéciale dans le camp de Nuseirat, situé au centre de la bande de Gaza. Selon les chiffres fournis par le Hamas, ce raid aurait néanmoins causé la mort d’au moins 274 Palestiniens, ce qui a provoqué de fortes réactions au sein de la communauté internationale.
L'ambassadeur israélien aux Nations unies a annoncé vendredi avoir été notifié de l'ajout de l'armée israélienne à la "liste de la honte" de l'ONU, qui doit être publiée le 18 juin et recense les responsables de violations des droits des enfants dans des zones de conflit. Le Hamas aurait également été inclus, rapporte une source diplomatique.
Le président colombien Gustavo Petro a annoncé samedi la prochaine suspension des exportations de charbon de son pays vers Israël tant que la guerre dans la bande de Gaza se poursuivra."Nous suspendrons les exportations de charbon à Israël jusqu'à ce qu'il arrête le génocide", a écrit sur le réseau social X ce dirigeant de gauche.