Les Ressources minérales (*)
« Une nouvelle ruée minière d’une ampleur inédite a commencé. Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, il faudrait produire en vingt ans autant de métaux qu’on en a extrait au cours de toute l’histoire de l’humanité. Ruée sur le cuivre en Andalousie, extraction de cobalt au Maroc, guerre des ressources en Ukraine, cette enquête sur des sites miniers du monde entier révèle l’impasse et l’hypocrisie de cette « transition » extractiviste. »
Source : présentation de « La ruée minière au XXIe siècle » – Enquête sur les métaux à l’ère de la transition – Celia Izoard
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
poutine
2025
Une clôture métallique de cinq mètres de haut coiffée de barbelés, et des soldats polonais en armes qui guettent la moindre arrivée de migrants depuis le Bélarus : ce pays, et derrière lui la Russie de Vladimir Poutine, ont tenté de déstabiliser la Pologne en instrumentalisant les flux migratoires dans le cadre d'une vaste guerre "hybride" contre l'Union européenne, met en garde Varsovie.
Dans son essai, le consultant en géopolitique et défense Aurélien Duchêne décrypte la guerre hybride que Vladimir Poutine mène contre les démocraties occidentales en organisant des cyberattaques et des sabotages.
Le président russe est prêt à rentrer en contact avec son homologue américain sans la moindre modalité, saluant sa volonté de «résoudre les problèmes par le dialogue» selon une annonce du Kremlin ce vendredi 10 janvier.
Le président serbe Aleksandar Vucic "parlera à Poutine" après l'annonce par Washington de sanctions contre le pétrole et le gaz russe qui touchent aussi Petroleum Industry of Serbia (NIS), seul fournisseur de gaz en Serbie et détenue majoritairement par Gazprom. "Je parlerai au président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, d'abord par téléphone, puis j'explorerai d'autres moyens de communication. Nous faisons face à des négociations difficiles concernant le renouvellement de l'accord gazier", avec la Russie a dit M. Vucic lors d'une conférence de presse à Belgrade.
Zelensky s'est exprimé dans une interview avec Lex Fridman. ... Si Trump a promis de mettre fin à la guerre rapidement une fois élu, Zelensky craint la suite des évènements si le futur président décide de se retirer de l'alliance. Newsweek rapporte les propos du président ukrainien : "Pour mettre fin aux combats, l'Ukraine a besoin de garanties de sécurité. Et si vous dites qu'il y a un risque que le président Trump se retire de l'OTAN, par exemple, c'est une décision des États-Unis. Je dis simplement que si cela se produit, Poutine détruira l'Europe. Il détruira tout autour."
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exprimé dans une interview publiée dimanche son souhait de rencontrer Donald Trump pour évoquer un plan de paix avant toute négociation avec Vladimir Poutine.
2024
Le président russe Vladimir Poutine a présenté samedi ses excuses à son homologue azerbaïdjanais après le crash mercredi d’un avion d’Azerbaijan Airlines, sans aller jusqu’à assumer clairement la responsabilité de l’accident, se bornant à reconnaître qu’il avait eu lieu “dans l’espace aérien russe”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé lundi le Premier ministre slovaque, qui a visité Moscou la veille, de vouloir "aider" Vladimir Poutine "à gagner de l'argent pour financer la guerre avec Kiev", en pleine tension autour du transit de gaz russe vers l'UE.Confrontée depuis bientôt trois ans à l'invasion russe, l'Ukraine a fait savoir l'été dernier qu'elle ne renouvellerait pas le contrat la liant jusqu'à la fin de l'année à la Russie pour faire transiter le gaz russe vers l'Europe via son réseau étendu de gazoducs.
Vladimir Poutine s’est prêté jeudi à son exercice annuel de questions-réponses télévisé, répondant pendant plus de quatre heures aux questions des Russes et des médias. Interrogé sur la guerre en Ukraine, il s’est dit prêt à faire des “compromis” pour mettre fin au conflit, et disposé à en discuter avec Donald Tump “à n’importe quel moment”.
Lors de sa très longue conférence de presse annuelle à Moscou ce jeudi 19 décembre, le président russe s’est dit prêt à échanger avec Donald Trump, potentiellement autour d’un cessez-le-feu en Ukraine.
Des révélations lourdes de conséquences.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken s'en est pris jeudi à son homologue russe Sergueï Lavrov, l'accusant de propager un "tsunami de désinformation" et rendant Moscou responsable de l'escalade en Ukraine.
Le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte ne voit aucun signe indiquant que le président russe Vladimir Poutine souhaite mettre fin à la guerre en Ukraine.
Les autorités allemandes ont annoncé lundi qu’elles étaient en train de répertorier bunkers et abris où la population pourrait trouver refuge en cas d’attaque, souhaitant augmenter leur nombre, dans un contexte de tensions accrues avec la Russie. "Tous les bâtiments – propriétés privées comprises – qui pourraient servir d’abri, tels que les caves, les garages et les stations de métro" sont en train d’être inventoriés, a déclaré un porte-parole du ministère allemand de l’Intérieur, lors d’un point presse régulier à Berlin. "Un répertoire numérique de tous les bunkers sera établi afin que les gens puissent les trouver rapidement à l’aide de leur téléphone portable", a-t-il ajouté.
Le président russe a directement menacé jeudi les alliés de l’Ukraine, après avoir lancé sur l’Ukraine un nouveau type de missile balistique, conçu pour porter une ogive nucléaire.
Selon l’Open Source Centre, un centre de recherches britannique, les pétroliers nord-coréens ont effectué plusieurs voyages vers la Russie depuis mars 2024.
Alors que les tirs inédits de missiles balistiques par la Russie sur Dnipro représentent un seuil supplémentaire dans l’escalade, les pays occidentaux affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et poursuivront leur soutien à l'Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné vendredi de produire en série et de continuer à tester au combat le nouveau missile balistique hypersonique Orechnik, utilisé la veille pour frapper l'Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a signé un décret élargissant les possibilités de recours à l'arme nucléaire. Le document a été publié, rapporte mardi l'agence Tass.
Après des mois de réticence, le président américain va laisser Kiev tirer des missiles ATACMS sur la Russie.
Plusieurs centaines de personnes, arrivées en Europe depuis 2022, ont défilé dans la capitale allemande.
Plusieurs pays, dont la Russie et la France, ont réagi à la décision américaine d’autoriser Kyiv à frapper les territoires russes avec ses missiles longue portée.
Le président russe Vladimir Poutine "ne veut pas la paix" avec Kiev et n'est pas prêt à la négocier", a estimé dimanche le président français Emmanuel Macron, à la suite d'une attaque massive russe contre le réseau énergétique ukrainien.
Cet appel d’une heure a provoqué la colère de l’Ukraine, qui y voit « une tentative d’apaisement » de l’Allemagne envers Moscou.
Le président russe Vladimir Poutine espère que l'Occident a "entendu" ses mises en garde contre un éventuel feu vert qui serait accordé à l'Ukraine pour frapper en profondeur le territoire russe avec des armes occidentales, dans un entretien diffusé dimanche sur Telegram.
Anne Godart (UMons) voit approcher un "moment de basculement", que Vladimir Poutine garde en ligne de mire.
Le mastodonte russe des médias, VGTRK, a été attaqué par un collectif de pirates informatiques pro-Ukraine lundi, jour de l’anniversaire de Vladimir Poutine. Une vidéo truquée montrant le maître du Kremlin en train de capituler devant l’armée ukrainienne a également été diffusée sur une chaîne russe piratée. De quoi rappeler à Moscou sa vulnérabilité dans le cyberespace.
L’essentiel des informations sur la guerre entre l’Ukraine et la Russie ce lundi 30 septembre.
Le président de l'Ukraine, qui se trouve actuellement aux États-Unis, s'est exprimé dans une émission télévisée.
Le président russe Vladimir Poutine a reconnu jeudi que l'annonce de Kiev de ne pas prolonger le contrat avec Gazprom pour livrer du gaz russe aux Européens via l'Ukraine au-delà du 31 décembre entraînera des "pertes" financières pour Moscou.Or les revenus tirés de la vente de ses hydrocarbures sont vitaux pour la Russie afin de poursuivre notamment son offensive en Ukraine, opération militaire qui a entraîné une pluie de sanctions occidentales contre le pays.
Vladimir Poutine a accusé jeudi l'Ukraine d'avoir tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, dans la région russe du même nom, en proie à une offensive d'ampleur des forces de Kiev depuis plus de deux semaines, sans toutefois présenter directement de preuves de ces allégations."L'ennemi a essayé de frapper la centrale nucléaire pendant la nuit", a affirmé le président russe au cours d'une réunion télévisée avec des membres de son gouvernement et les gouverneurs des régions frontalières de l'Ukraine.
L'offensive ukrainienne sur le sol russe à Koursk porte un "coup sévère" à la propagande du président russe Vladimir Poutine, a estimé mercredi le chef de la diplomatie de l'UE Josep Borrell.
En juillet, la Corée du Nord a connu des pluies torrentielles record. Dans le sud-ouest du pays, la ville de Kaesong a ainsi enregistré 463 millimètres de pluie en un seul jour. Il s'agit du niveau le plus élevé enregistré dans le pays depuis 29 ans, selon le centre météorologique sud-coréen.
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi plusieurs décrets pour augmenter les impôts pour les hauts revenus et les entreprises, une décision prise pour financer l'explosion des dépenses liées au coûteux conflit en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a indiqué vendredi avoir dit au Premier ministre hongrois, en visite surprise à Moscou, que l'Ukraine devait retirer ses forces des régions ukrainiennes que la Russie revendique pour résoudre "la crise" en Ukraine.
Dans une étude, le chercheur David Chavalarias décrit la méthode exercée par la Russie pour contribuer à déstabiliser le paysage politique français. Et ce, en faveur du Rassemblement national. Tweets de politiques français proches du régime russe, publications et publicités ciblées issues de profils (ou faux profils) localisés en Russie, faux sites internet… De 2016 à aujourd’hui, des milliers de données issues des réseaux sociaux X (anciennement Twitter) et Facebook ont été analysées par le directeur de (...)
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que la Russie devrait commencer à produire des missiles de courte et moyenne portée, auparavant interdits en vertu d’un traité avec les États-Unis qui n’est plus en vigueur.
Le président russe Vladimir Poutine a détaillé vendredi les conditions d’un cessez-le-feu en Ukraine, exigeant de Kiev l’abandon de quatre de ses régions et sa renonciation à intégrer l’Otan. Son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, a immédiatement rejeté ce qu’il considère comme un “ultimatum” à la “Hitler”.
Le président russe Vladimir Poutine a de facto fixé vendredi la reddition de l'Ukraine comme condition pour des pourparlers, à la veille d'un sommet en Suisse consacré aux moyens d'arriver à la paix et dont la Russie est exclue.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi à la télévision que près de 700.000 militaires participaient actuellement à l'offensive en Ukraine.
Face à la menace russe, l'Allemagne a mis à jour ses plans en cas de conflit en Europe pour la première fois depuis la Guerre froide.
Alors que les pays occidentaux sont de plus en plus favorables à autoriser l'Ukraine à utiliser leurs armes pour frapper la Russie, Vladimir Poutine a menacé mercredi, lors d'une interview avec une quinzaine d'agences de presse, de livrer des armes à des pays tiers susceptibles de frapper ces mêmes intérêts occidentaux.
Après les propos de plusieurs dirigeants occidentaux, qui envisagent d’autoriser l’Ukraine à frapper des cibles en Russie avec des armes occidentales, la presse russe est en ébullition. Selon les médias officiels, les Occidentaux devraient prendre plus au sérieux les avertissements du Kremlin.
Le président russe s'est exprimé ce mardi quant à l'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
Le président français Emmanuel Macron a affirmé mardi vouloir permettre aux Ukrainiens de "neutraliser" les bases en Russie d'où sont tirés des missiles sur l'Ukraine. En réponse, Vladimir Poutine a menacé de "graves conséquences" en cas d'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
Le département d'Etat américain a commenté les récents événements survenus en Russie.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné la tenue prochaine d’exercices nucléaires impliquant notamment des troupes positionnées près de la frontière ukrainienne, a annoncé ce lundi 6 mai le ministère de la Défense.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi que les bombardements meurtriers visant le réseau énergétique ukrainien, qui ont entraîné d'importantes coupures de courant, suivaient l'objectif de "démilitarisation" de l'Ukraine fixé par le Kremlin.
Les dirigeants du monde entier ont condamné l’attaque armée sanglante survenue vendredi 22 mars en banlieue de Moscou. Le président russe accuse, lui, l’Ukraine d’avoir «ouvert une fenêtre» pour que les assaillants passent la frontière.
Les Etats-Unis ont mis en garde la Russie, au début du mois de mars, contre une attaque terroriste susceptible de viser de "grands rassemblements" à Moscou, a déclaré la Maison Blanche vendredi, quelques heures après l’attentat qui a fait plus de 115 morts dans une salle de concert près de la capitale.
Militants persécutés, normes environnementales piétinées... À l’aube du cinquième mandat de Vladimir Poutine à la tête de la Russie, l’écologie est victime de la guerre en Ukraine lancée par le chef du Kremlin.
Débarrassé de toute opposition, Vladimir Poutine devrait facilement être réélu à l’issue de la présidentielle russe qui se tient du 15 au 17 mars. Pour mieux comprendre ce qui se joue malgré tout dans ce scrutin et surtout la façon dont le maître du Kremlin a assis son pouvoir depuis plus de vingt ans, nous vous proposons une sélection d’articles publiés dans l’hebdomadaire ou sur notre site ces dernières années.
Une nouvelle attaque de drone a visé mercredi un site énergétique en Russie, visée pour le deuxième jour consécutif depuis l'Ukraine que Vladimir Poutine a accusé de vouloir saper la présidentielle russe.
Il est temps d’ouvrir les yeux en Europe et en Occident : Poutine s’arrêtera là où on l’arrêtera, pas avant.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux et les débats qu’ils suscitent au sein de la rédaction. Dans ce numéro, à l’occasion de l’élection présidentielle qui se tient du 15 au 17 mars, nous consacrons un long dossier à la façon dont Vladimir Poutine, au pouvoir depuis plus de vingt ans, a changé la société russe. Le président, qui se pose en rempart contre l’Occident, est assuré de sa réelection. Comment les Russes le perçoivent-ils ? Sur quoi s’appuie son régime ? Les points de vue de la presse à Moscou, mais aussi des médias en exil et des journaux européens.
Le président russe Vladimir Poutine a vanté mercredi l'armement nucléaire de son pays, le jugeant "plus avancé" que celui des Etats-Unis et assurant que son arsenal était toujours "prêt" à une guerre nucléaire.
Le président russe Vladimir Poutine a entamé jeudi à 12H13 locales (10H13 en Belgique) son discours annuel à la Nation à Moscou, selon AFP, plus de deux ans après le lancement de son assaut contre l'Ukraine.
L'année 2024 représente pour Vladimir Poutine une "fenêtre d'opportunité" pour tirer parti des faiblesses de l'Occident.
Le président russe Vladimir Poutine a choisi le conservateur américain Tucker Carlson pour accorder son premier entretien avec un journaliste occidental depuis le conflit en Ukraine. Dans l'entretien mis en ligne jeudi sur le site du journaliste vedette, il estime que la Russie ne peut pas être vaincue en Ukraine et dit écarter l'idée d'envahir la Pologne ou la Lettonie.
Le président de la Russie a affirmé dans une longue interview diffusée jeudi, qu’une défaite de la Russie en Ukraine était «impossible» et a exclu une invasion de la Pologne ou de la Lettonie.
Le président russe Vladimir Poutine a donné vendredi le feu vert pour la construction d'un nouveau brise-glace nucléaire, baptisé "Leningrad", crucial pour les ambitions polaires de Moscou qui veut faire des eaux de l'Arctique une route commerciale indispensable vers l'Asie.
Les signaux envoyés ces derniers temps par le Kremlin donnent du crédit à l’hypothèse d’une volonté russe de geler le conflit. Une telle solution signerait l’échec de toutes les parties impliquées dans la guerre depuis février 2022, estime l’hebdomadaire britannique “The Spectator”. Mais elle semble aussi la plus réaliste de toutes.
2023
Pour l’ancien colonel Roger Housen, le président russe n’a aucune raison de faire des concessions à l’heure actuelle.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a réitéré l'engagement de son pays à continuer de soutenir l'Ukraine, affirmant que le président russe Vladimir Poutine avait l'intention de "détruire" le pays à la suite de l'invasion qu'il a lancée il y a près de deux ans, le 24 février 2022.
Selon le New York Times, le président russe afficherait un message différent en coulisses et serait prêt à conclure un accord de cessez-le-feu
Vladimir Poutine est en train de préparer un nouveau plan de guerre précis pour les mois à venir. Un plan qui ne présage pas une fin rapide du conflit en Ukraine.
En cas de victoire de la Russie en Ukraine, il y a un 'risque réel' que le président russe Vladimir Poutine ne s'arrête...
Le président russe Vladimir Poutine a inauguré, lundi, deux nouveaux sous-marins à propulsion nucléaire. Ces submersibles seront affectés à la flotte du Pacifique, ce qui rappelle que les ambitions de Moscou ne s’arrêtent pas à l’Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi un décret ordonnant d'augmenter de 15 % le nombre de soldats que compte l'armée russe, qui a expliqué cette hausse par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi un décret ordonnant d'augmenter de 15% le nombre de soldats que compte l'armée russe, qui a expliqué cette hausse par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a signé jeudi la loi sur la révocation de la ratification du Traité d'interdiction des essais nucléaires (TICEN), sur fond de conflit en Ukraine et de crise avec les Occidentaux.
Menace nucléaire russe : Poutine ne compte pas attaquer, mais "rappeler ses capacités de dissuasion"
- David Rich
Vladimir Poutine agite à nouveau la menace du bouton rouge. Le président russe a supervisé, mercredi 25 octobre, des tirs de missiles balistiques lors de manœuvres militaires visant à simuler une "frappe nucléaire massive", en réponse "à une frappe nucléaire ennemie", selon les mots du ministre de la Défense, Sergueï Choïgou.
Le président Vladimir Poutine s'est félicité jeudi d'un niveau "sans précédent" de coopération énergétique entre la Russie et la Chine, au moment où Moscou souhaite renforcer ses partenariats en Asie pour compenser la perte d'une grande partie du marché européen."Les relations de partenariat global et de coopération stratégique entre la Russie et la Chine ont atteint un niveau sans précédent", s'est-il réjoui dans un message publié sur le site du Kremlin à destination des participants d'un forum énergétique Russie-Chine à Pekin.
Les crimes commis par d'ex-prisonniers russes de retour au pays après avoir combattu en Ukraine embarrassent le Kremlin. Ces derniers ont été graciés par Vladimir Poutine après leur retour du front.
Le président russe Vladimir Poutine a donné jeudi à Mourmansk le coup d'envoi de la première chaîne d'Arctic LNG 2, gigantesque projet de gaz naturel liquéfié (GNL) dans l'Arctique, dont le français TotalEnergies s'est retiré en 2022.
Le porte-parole de la présidence russe a reconnu ce lundi 10 juillet une rencontre de «près de trois heures» à Moscou entre le chef de l’Etat et le patron de la milice Wagner, entré en rébellion il y a quinze jours.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner se sont repliées dimanche en Russie, mettant un terme à la rébellion lancée par leur chef Evguéni Prigojine qui a fait trembler le Kremlin et révélé, aux yeux des Occidentaux, "fissures" et "divisions" dans le camp de Vladimir Poutine.
La brève chevauchée du patron du Groupe Wagner, Evgueni Prigojine, souligne l’erreur magistrale d’avoir laissé prospérer une milice privée, sur les marges du pouvoir. Et risque d’affaiblir durablement le président russe.
La révolte des mercenaires de Wagner a exposé au grand jour des faiblesses patentes dans la position du président russe Vladimir Poutine, soulevant des questions sur sa capacité à affronter les dangers qui menacent sa survie politique, estiment les analystes.
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
La rébellion d'Evguéni Prigojine, patron du groupe Wagner, s’est achevée sans le départ pourtant exigé par le chef des mercenaires du ministre de la Défense Sergueï Choïgou. Ce dernier apparaît sur la sellette depuis le début de la guerre en Ukraine, mais Vladimir Poutine n’en finit pas de le soutenir. Jusqu’au bout ?
Le président russe s’est exprimé ce lundi 26 juin à la télévision russe, pour la première fois après la mutinerie de l’organisation paramilitaire Wagner.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner ont commencé à quitter leurs positions en Russie sur ordre de leur chef Evguéni Prigojine, qui a fait volte-face après avoir frontalement défié l'autorité du président russe Vladimir Poutine.
Selon plusieurs analystes militaires, l’insurrection éclair de la milice privée russe puis son annulation tout aussi rapide, le 24 juin, ouvrent une séquence de doute pour Moscou et son armée, et rendent le destin de Prigojine incertain.
Plus de 100 000 Russes ont fui vers l’Arménie après l’invasion de l’Ukraine. Le rejet de la guerre et du pouvoir du Kremlin mais aussi, parfois, la simple quête d’une vie meilleure en sont les principales raisons. Un reportage de la revue espagnole “5W”.
Le chef de Wagner Evguéni Prigojine a finalement renoncé à sa rébellion contre le commandement de l’armée russe à la faveur d’un accord négocié samedi par la Biélorussie. Si la "menace de guerre civile" évoquée par Vladimir Poutine semble écartée, cette affaire porte néanmoins un sérieux coup à l’image du maître du Kremlin, révélant des failles dans l’appareil d’État, en pleine contre-offensive ukrainienne.
La situation en Russie, où Evgueni Prigojine, chef du groupe paramilitaire Wagner, a lancé une offensive armée, est suivie de près en Europe. Alors que Vladimir Poutine a dénoncé “un coup de poignard dans le dos”, la presse européenne scrute les développements de cette guerre ouverte, qui pourrait, selon elle, coûter très cher au Kremlin.
Ancien délinquant, ponte de la restauration et chef de guerre… France 24 revient sur les multiples casquettes d’Evguéni Prigojine, protégé de Vladimir Poutine et désormais en rébellion contre le maître du Kremlin.
Dans la nuit du vendredi 23 au samedi 24 juin, le chef du groupe Wagner a provoqué la stupéfaction générale en se rebellant contre le pouvoir russe. Suivez les dernières informations.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine a affirmé samedi être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant "prêt à mourir" avec ses 25.000 hommes pour "libérer le peuple russe".
Le conflit en Ukraine a permis à l'imprévisible patron du groupe paramilitaire Wagner de s'imposer comme un acteur de premier plan en Russie. Mais en appelant au soulèvement contre l'état-major, Evguéni Prigojine a franchi le Rubicon.
Réagissant à la rébellion menée par Evguéni Prigojine, le président russe s’est exprimé dans une allocution à la nation ce samedi matin.
La décision d’Evgueni Prigojine, patron de la milice Wagner, de déclencher une mutinerie contre l’armée, vendredi 23 juin au soir, met en évidence, dix-mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, la réalité d’un Etat réduit à la compétition mortifère de factions.
En s’adressant de façon inédite à la nation en pleine mutinerie, le président russe confirme ses craintes : à qui vont obéir les officiers de l’armée russe qui contrôlent les routes entre l’Ukraine et Moscou?
Evguéni Prigojine, le patron de la milice Wagner, s’est graduellement imposé comme une figure incontournable de la guerre en Ukraine, capitalisant sur les difficultés de l’armée russe contre Kiev. Mais cette situation a généré de vives tensions avec l’"establishment" militaire russe jusqu’au point de rupture. Désormais en rébellion contre l’armée, l’ancien protégé de Vladimir Poutine a juré d'"aller jusqu'au bout".
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
Sergej Karaganov veut faire une attaque nucléaire sur l’Occident.
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé samedi le déploiement d’ogives nucléaires “tactiques” en Biélorussie. C’est la première fois depuis les années 90 que la Russie va entreposer des armes nucléaires hors de ses frontières.
La CPI a émis ce vendredi un mandat d’arrêt contre le président russe, pour sa responsabilité dans la déportation illégale d’enfants menés par son armée depuis le début de l’invasion en Ukraine en février 2022.
La communauté internationale fait un pas vers des poursuites contre Vladimir Poutine.
Dans son discours du 21 février, le président russe a annoncé que Moscou interromprait sa participation au dernier accord majeur sur les armes atomiques avec Washington. Entamée il y a cinquante ans, l’ère de la limitation des armes nucléaires “touche peut-être à sa fin”.
Selon un document obtenu et révélé par le journal allemand “Süddeutsche Zeitung”, Vladimir Poutine prévoirait d’annexer le Bélarus d’ici 2030.
Le président russe Vladimir Poutine a fustigé vendredi les "tentatives directes" de l'Occident qui visent selon lui à "entraver le développement" de son fleuron énergétique national, Gazprom, visé par les sanctions internationales depuis un an."Malgré une concurrence déloyale - pour le dire franchement - et des tentatives directes de l'extérieur pour entraver et freiner son développement, Gazprom avance et lance de nouveaux projets", a déclaré M. Poutine lors d'un discours en visioconférence à l'occasion des 30 ans du géant gazier.
De toutes les sanctions prononcées contre la Russie, aucune ne concerne le nucléaire, dénoncent Luc Barbé et Alex Polfliet (Etopia). " La Russie continuera à gagner de l'argent grâce à la coopération avec le secteur nucléaire européen".
2022
Le président russe Vladimir Poutine a officiellement lancé mercredi l'exploitation du champ gazier de Kovykta, un vaste gisement situé en Sibérie qui doit permettre d'augmenter les exportations vers la Chine en pleine crise entre Moscou et les Occidentaux."Nous lançons le champ de Kovykta, le plus grand de Sibérie orientale (...) Commencez le travail", a déclaré M. Poutine lors d'une cérémonie retransmise par visioconférence en direct à la télévision.
Des frappes russes sur les infrastructures ukrainiennes ont entraîné mercredi des coupures massives d’électricité notamment dans la capitale Kiev où les températures ont chuté en dessous de zéro. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé des “crimes contre l’humanité”, à l’approche de l’hiver.
Dans une tribune au « Monde », le philosophe Gérard Bensussan analyse le discours du président Poutine et de ses proches, caractérisé par des opérations de langage qui veulent « faire disparaître le réel et le remplacer par ses contrefaçons ».
Réunis en Assemblée générale mercredi 12 octobre, 143 pays sur 193 ont condamné les « annexions illégales » de territoires ukrainiens par la Russie. Un vote massif, qui montre que le rejet de l’agression de l’Ukraine n’est pas seulement l’affaire de l’Occident. Qu’attendent la Chine et l’Inde pour condamner Moscou ?
Les dirigeants du G7 ont promis mardi "de demander des comptes au président Vladimir Poutine" après les frappes russes qui pleuvent sur l'Ukraine depuis deux jours.
Le président russe Vladimir Poutine a promis lundi des répliques "sévères" en cas de nouvelles attaques ukrainiennes contre la Russie, après la destruction partielle samedi du pont de Crimée, infrastructure stratégique et symbole de l'annexion de cette péninsule ukrainienne. "Si les tentatives d'attentats terroristes sur notre territoire se poursuivent, les réponses de la Russie seront sévères et leur ampleur correspondra au niveau des menaces posées", a mis en garde Vladimir Poutine en ouverture d'une réunion télévisée du Conseil de sécurité russe. "Personne ne doit avoir le moindre doute", a-t-il averti. En réponse à l'attaque contre le pont de Crimée, le dirigeant russe a indiqué que Moscou avait lancé une campagne "massive" de bombardements dans plusieurs régions ukrainiennes. Il a affirmé que l'armée russe avait utilisé dans la matinée "des armes de haute précision de longue portée" contre "l'infrastructure énergétique, militaire et de communication de l'Ukraine".
Certains pensent que les armes nucléaires créent une stabilité géopolitique internationale par le risque de destruction mutuelle assurée. D’autres, exactement l’inverse : que cette apparence de sécurité est une illusion catastrophique.
Symbole parmi les symboles, le pont de Crimée reliant l’Ukraine à la Russie a été coupé par une explosion ce samedi. Vladimir Poutine avait fait de cette infrastructure inaugurée en 2018 un outil de propagande.
La cheffe du Centre ukrainien pour les libertés civiles, qui figure parmi les trois lauréats du prix Nobel de la Paix, a appelé vendredi à la création d'un tribunal international pour juger le président russe Vladimir Poutine.
L'ancien directeur de la CIA et général de l'armée à la retraite déclare que le président russe est "désespéré" et que la réalité du champ de bataille auquel il est confronté est "irréversible".
Les territoires occupés des oblasts ukrainiens de Kherson et de Zaporijia, ainsi que la « république populaire de Donetsk » et la « république populaire de Louhansk » ont été officiellement annexés par la Russie, vendredi 30 septembre, lors d’un discours prononcé au Kremlin par Vladimir Poutine.
Le président Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi que l'Ukraine allait signer une demande d'adhésion accélérée à l'Otan, quelques minutes après que la Russie a formalisé l'annexion de quatre régions ukrainiennes.
Pendant que l’on manifeste contre la guerre dans les grandes villes, les hommes d’ethnies de la périphérie sont mobilisés de force.
Le magazine allemand “Der Spiegel” a rencontré de nombreux Russes alarmés par l’annonce de la mobilisation pour la guerre en Ukraine. Vladimir Poutine semble lui-même avoir cédé à la panique, écrit l’hebdomadaire.
abs_empty
Les passages frontaliers vers la Finlande et la Géorgie depuis la Russie se sont “intensifiés” au cours de la nuit, ont indiqué jeudi les autorités locales, après que le président Vladimir Poutine a ordonné une mobilisation partielle. Cette décision du chef du Kremlin divise de plus en plus les Russes, note la presse internationale.
Annonce de mobilisation partielle, référendums sur un rattachement à la Russie organisés à la hâte dans certaines régions d’Ukraine, menaces nucléaires, autant de signes que le Kremlin est aux abois, estiment les médias ukrainiens.
L’escalade inquiétante du président russe, qui a ordonné, le 21 septembre, la mobilisation de 300 000 hommes et agité de nouveau la menace nucléaire, place désormais les pays qui ont gardé le silence depuis le début de la guerre en Ukraine devant un choix simple : soutenir ou de dénoncer cette agression.
Dans son allocution de ce mercredi matin annonçant une «mobilisation militaire partielle», Vladimir Poutine ne parle plus de l’Ukraine comme ennemi, mais de «l’Occident collectif». Un aveu d’échec devant l’avancée de la contre-offensive ukrainienne.
L'annonce par Vladimir Poutine d'une mobilisation partielle pour renforcer ses troupes en Ukraine a entraîné mercredi une ruée sur les sites Internet des compagnies aériennes pour tenter de quitter la Russie au plus vite. La mobilisation concerne dans un premier temps 300.000 réservistes, mais selon le ministère de la Défense au total 25 millions de Russes sont mobilisables pour rejoindre les rangs de l'armée dans l'est et le sud de l'Ukraine.
À sa une, l’hebdomadaire “Respekt” annonce une victoire de l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie et la fin prochaine d’un Vladimir Poutine présenté sous les traits d’Adolf Hitler dans ses derniers jours.
Depuis plusieurs mois, les décès mystérieux de personnalités proches du Kremlin se multiplient.
La Russie ne livrera plus de pétrole ou de gaz aux pays qui plafonneraient les prix des hydrocarbures vendus par Moscou, a prévenu mercredi le président Vladimir Poutine, au moment où les Occidentaux travaillent à une telle mesure. Plafonner les prix "serait une décision absolument stupide", a lancé M. Poutine lors d'un forum économique à Vladivostok (Extrême-Orient russe). "Nous ne livrerons rien du tout si c'est contraire à nos intérêts, en l'occurrence économiques. Ni gaz, ni pétrole, ni charbon (...). Rien", a-t-il ajouté.
Le discours prononcé le 16 mars dernier par Vladimir Poutine avait une tonalité peu rassurante. On pouvait y déceler un inquiétant écho au discours stalinien des années 1930, dans lequel ceux que le régime avait choisi de persécuter étaient comparés à des reptiles et à des chiens enragés. Dans la récente diatribe de Poutine, l'évocation du moucheron cherche à minimiser avec mépris la menace représentée par l'adversaire en le destituant de toute dignité.
Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure".
Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure". Dans le même temps, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, en visite en Ukraine, a demandé à la Russie de ne pas couper du réseau ukrainien cette centrale que son armée occupe depuis début mars, et qui est devenue la cible ces dernières semaines de frappes dont Moscou et Kiev s'accusent mutuellement.
Au moment où une nouvelle crise alimentaire s’installe dans le monde et devrait faire connaître un état d’« insécurité alimentaire aigüe » à entre 20 et 40 millions de personnes supplémentaires en 2022[1], il importe d’identifier les causes de cette détérioration de la situation humanitaire mondiale. Peut-on en faire porter la responsabilité uniquement à Vladimir Poutine et à l’invasion de l’Ukraine par la Russie ? Ou existe-t-il (aussi) des causes structurelles ou politiques ?
La guerre contre l’Ukraine a ravivé les spéculations sur la santé de Vladimir Poutine. Immanquablement se pose la question de sa succession, et plusieurs noms circulent.
La ville de Lyssytchansk tombée, la question se pose des prochains objectifs en Ukraine des forces russes dont la progression, certes lente, est désormais régulière à grand renfort d'artillerie.
Le Sri Lanka, empêtré dans une crise économique sans précédent depuis son indépendance, a sollicité l'aide de la Russie pour lui fournir du carburant et reprendre les vols touristiques, a annoncé mercredi le président.
On a donc laissé grandir une bête monstrueuse depuis 20 ans et on n’arrive plus à la maîtriser. Tous les scénarios sont (déjà) perdants pour les démocrates, partout dans le monde et pour longtemps. La démocratie elle-même est menacée. La marge de manœuvre semble se résumer à devoir évaluer le sacrifice d’un bien existentiel (la démocratie et la liberté d’autodétermination ukrainienne) pour en sauver un autre (au mieux la vie de plusieurs millions de citoyens membres de l’Union européenne, au pire la vie humaine sur Terre en cas de guerre nucléaire mondiale, les scorpions survivront).
Vladimir Poutine a ordonné lundi aux forces russes de poursuivre leur offensive dans l'est de l'Ukraine après la prise de la ville stratégique de Lyssytchansk, et alors que s'ouvrait en Suisse une conférence internationale pour préparer la reconstruction à venir du pays.
Le président russe Vladimir Poutine a assuré lundi par téléphone à son homologue brésilien Jair Bolsonaro que la Russie "s'engage" à garantir au Brésil "un approvisionnement ininterrompu" d'engrais, primordial pour la puissante industrie agroalimentaire brésilienne.
La Russie va livrer "dans les prochains mois" au Bélarus des missiles capables de transporter des charges nucléaires, a annoncé samedi Vladimir Poutine en recevant le dirigeant bélarusse Alexandre Loukachenko, en pleines tensions entre leurs pays et l'Occident autour de l'Ukraine.
Il fut le premier chef du gouvernement de Vladimir Poutine. Mais, même dans ses pires cauchemars, Mikhaïl Kassianov n'aurait pu imaginer son ancien chef se lancer dans l'invasion de l'Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a suivi un traitement pour soigner un cancer à un stade avancé en avril et a échappé à une tentative d'assassinat au mois de mars, rapporte jeudi l'hebdomadaire américain Newsweek qui s'appuie sur de hauts responsables de trois services de renseignement américains.
Tandis que l’Alliance atlantique tente de progresser toujours plus vers l’Est en décidant de consolider sa présence en Moldavie, Géorgie et Ukraine, le président russe semble de plus en plus fébrile.
Natalité en berne, mortalité en hausse, déclin migratoire... Malgré une politique nataliste parmi les plus incitatives au monde, la Russie se vide progressivement de ses habitants. "Un problème majeur pour Vladimir Poutine, pour qui population est synonyme de puissance", selon le démographe Laurent Chalard.
Autrefois considéré comme un politicien aux tendances prorusses, le maire de la ville ukrainienne d'Odessa, Guennadi Troukhanov, prend son temps pour évoquer son ressenti à propos de la Russie et du président Vladimir Poutine, qui a envahi le pays le 24 février.
Les positions occidentales de soutien à l'Ukraine divergent de plus en plus entre les Anglo-saxons et les Européens de l'Ouest, les premiers poursuivant un objectif stratégique d'affaiblissement de la Russie dont les conséquences potentielles inquiètent les seconds. Joe Biden et Emmanuel Macron résument à eux deux cette discordance. Le président américain a déclaré le 26 mars que Vladimir Poutine "ne peut pas rester au pouvoir", tandis que le Français a dit le 9 mai que la paix ne se ferait pas dans "l'humiliation" de la Russie.
Horrifiés par la dérive du pouvoir russe et l'invasion de l'Ukraine, des dizaines de milliers de Russes ont choisi l'exil. Arrivés en France, certains découvrent que l'accueil est loin de la chaleur réservée aux réfugiés ukrainiens.
« Poutine n’aime pas les êtres humains » : ce que la journaliste Anna Politkovskaïa écrivait en 2004
- Le Monde
La plume de « Novaïa Gazeta », assassinée en octobre 2006, écrivait, dans son livre « La Russie de Poutine », un avertissement que personne n’a voulu entendre. « Le Monde » republie un extrait de cet ouvrage en forme d’avertissement.
Les tribunaux russes ont ouvert 60 000 procédures contre les manifestants depuis 2012, selon l’enquête du journal indépendant russe, dont une partie de la rédaction a été contrainte à l’exil après l’invasion de l’Ukraine. « Le Monde » marque sa solidarité en publiant plusieurs de ses articles.
Dans son discours prononcé sur la place Rouge ce 9 mai, Vladimir Poutine a justifié l’intervention en Ukraine par la défense de la patrie russe, “une tâche sacrée”.
Le journal russe indépendant « Novaïa Gazeta » a tenu 32 jours après le déclenchement du conflit en Ukraine, malgré la censure de l’Etat russe. Mais une partie de la rédaction a dû quitter le pays et a lancé « Novaïa Gazeta Europe », dont « Le Monde » soutient l’initiative.
Je n’avais pas plus d’informations que ce que je lisais dans les médias. Pourtant, j’avais la certitude que cela se produirait, car je suis un réfugié syrien qui a été contraint de fuir en Europe moins de deux mois après l’entrée des forces russes en Syrie, le 30 septembre 2015. Je n’ai pas oublié ces événements déchirants.
Villes rasées et vidées de leurs habitants… La guerre de siège, particulièrement dévastatrice pour les populations civiles, a déjà été utilisée par Vladimir Poutine en Tchétchénie et en Syrie pour anéantir toute résistance. Une stratégie de punition et d’humiliation.
Depuis le début de l’invasion, Vladimir Poutine s’évertue à parler d’«opération militaire spéciale». Une doctrine qui pourrait changer en marge des cérémonies du 9 mai, «jour de la Victoire» sur l’Allemagne nazie en Russie.
Vladimir Poutine a appelé jeudi à réorienter les exportations énergétiques russes de l'Europe vers l'Asie, du fait de la crise provoquée par son offensive en Ukraine, accusant les Européens de "déstabiliser le marché" en voulant se passer d'hydrocarbures russes. "On va partir du principe qu'à l'avenir les livraisons vers l'Ouest vont baisser", a dit le président russe lors d'une réunion gouvernementale consacrée au secteur de l'énergie dans le contexte des sanctions internationales. Il faut donc "réorienter nos exportations vers les marchés au Sud et à l'Est qui croissent rapidement", a-t-il ajouté.
La fuite des cerveaux russes s’accélère depuis l’invasion de l’Ukraine, accentuant la baisse de la population du pays de Vladimir Poutine, détaille Marie Charrel, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
abs_empty
Prise à la gorge par sa dépendance au gaz russe, l'Allemagne s'est découvert un autre talon d'Achille : le poids des capitaux russes dans ses raffineries de pétrole, oléoducs et autres réservoirs de gaz. Les filiales des géants Gazprom et Rosneft sont des acteurs clés des infrastructures énergétiques du pays. Responsables politiques et économiques allemands se retrouvent "devant les ruines" d'une coopération avec la Russie longtemps perçue comme garante d'une détente avec le régime de Vladimir Poutine, observe le magazine Spiegel.
Plus de 4,4 millions de réfugiés ukrainiens ont fui leur pays depuis l'invasion ordonnée par le président russe Vladimir Poutine le 24 février, selon les chiffres du Haut commissariat aux réfugiés (HCR).
Pour saper la machine de guerre de Vladimir Poutine, le 5e train de sanctions étend les interdictions d'exportations de l'UE vers la Russie pour une valeur de 10 milliards d'euros, dans des domaines industriels où la Russie dépend fortement de fournitures européennes. Le 5e train de sanctions de l'UE vise pour la première fois des importations d'énergie
Les États-Unis ont annoncé mercredi une nouvelle volée de sanctions économiques et financières qu'ils qualifient de "dévastatrices" contre la Russie, visant notamment les deux filles du président russe, Maria Vorontsova et Katerina Tikhonova, soumises désormais à un gel de leurs avoirs dans le pays. Une sanction inédite dans l'entourage immédiat de Vladimir Poutine.
Depuis le début de la terrible guerre en Ukraine, une succession de déclarations fracassantes ont été énoncées au sujet du gaz et du pétrole russes et de leur embargo pour sanctionner la politique de Vladimir Poutine. Hors des projecteurs, le pragmatisme s’appuie toutefois sur la raison d’Etat, dans l’obscurité. Paradoxalement, plonger dans cette ombre pourrait apporter un éclairage sur une situation d’une complexité extrême.