les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

« Une nouvelle ruée minière d’une ampleur inédite a commencé. Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, il faudrait produire en vingt ans autant de métaux qu’on en a extrait au cours de toute l’histoire de l’humanité. Ruée sur le cuivre en Andalousie, extraction de cobalt au Maroc, guerre des ressources en Ukraine, cette enquête sur des sites miniers du monde entier révèle l’impasse et l’hypocrisie de cette « transition » extractiviste. »
Source : présentation de « La ruée minière au XXIe siècle » – Enquête sur les métaux à l’ère de la transition – Celia Izoard

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Palestine

2025

La probable future ambassadrice américaine à l'ONU Elise Stefanik a raillé mardi la "gangrène antisémite" qui affecterait selon elle l'organisation internationale et a réaffirmé son indéfectible soutien à Israël dans son conflit avec les Palestiniens.
Le Hamas a annoncé vers 9h30 ce dimanche avoir publié les noms de trois otages israéliennes devant être libérées dans l'après-midi. Israël annonce dans la foulée que le cessez-le-feu avec le Hamas entre en vigueur à 10h15, heure belge. Le début de la trêve avec le Hamas a été reporté en raison de l'absence de cette liste d'otages à fournir par le mouvement palestinien, avait indiqué ce dimanche matin le porte-parole de l'armée israélienne.
Après 15 mois de guerre dans la bande de Gaza, Israël a annoncé dimanche la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu avec le Hamas. Le retard est lié à la publication par le Hamas du nom des otages devant être libérées ce jour.
L’accord de trêve scellé entre Israël et le Hamas est appliqué dans la bande de Gaza depuis ce dimanche 19 janvier. Un “douloureux processus”, entré en vigueur avec quelques heures de retard, qui prévoit des échanges entre otages israéliens et prisonniers palestiniens et doit durer six semaines.
Même si l’arrêt des violences semble fragile, la libération des trois premières otages israéliennes après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu dimanche à Gaza fait naître un espoir dans un Proche-Orient en plein bouleversement.
Sous l’égide des États-Unis, du Qatar et de l’Egypte, l’accord entre Israël et le Hamas prévoit la libération des 98 otages aux mains du Hamas et, à terme, la reconstruction de l’enclave.
Le gouvernement israélien, qui doit donner son feu vert jeudi à l’accord annoncé par le Qatar et les États-Unis, a remercié mercredi les deux présidents américains, dont les équipes ont étroitement collaboré sur le sujet. Cette coopération “rare” à Washington, bénéficie à chacun des deux dirigeants, note la presse américaine.
L’accord porte sur trois phases de cessez-le-feu, qui comprennent la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, celle de prisonniers palestiniens, l’entrée d’aide humanitaire dans l’enclave et le retrait progressif des troupes israéliennes.
Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages, mettant fin à 15 mois d'une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien, a annoncé une source proche des discussions. Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi soir que des questions restaient "à régler" dans l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas mais qu'il espérait conclure "cette nuit".
Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a proposé mardi d'envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire palestinien sous la responsabilité de l'ONU, à l'issue de la guerre avec le Hamas.
En utilisant une méthode statistique déjà éprouvée dans des conflits, des chercheurs ont tenté d’établir un compte des morts dans l’enclave. Ils sont parvenus au chiffre de 64 260 sur les neuf premiers mois de la riposte israélienne.
Alors que la Croix-Rouge réclame un accès "sûr et sans entrave" à la bande de Gaza, l'Unicef indique de son côté qu'au moins 74 enfants ont été tués en raison de la violence dans la bande de Gaza au cours de la première semaine de 2025, indique mercredi l'Unicef. Les victimes ont perdu la vie lors d'attaques de grande ampleur sur la ville de Gaza, Khan Younès ainsi que la zone humanitaire d'Al-Mawasi.
Nous dénonçons les injustices partout où elles se produisent. Nous condamnons autant l'attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023 que les actes commis par Israël à Gaza, en Cisjordanie ou au Liban, ainsi que toutes les souffrances infligées aux populations civiles.
Des personnes sont mortes de froid à Gaza, dont des nourrissons, mais l’aide humanitaire reste insuffisante en raison des restrictions d’accès, a alerté vendredi la cheffe de l’agence de l’ONU pour les migrations, Amy Pope.
Le pouvoir palestinien en Cisjordanie a ordonné le 1er janvier la suspension de la diffusion d’Al-Jazeera. Une décision qui intervient après que Ramallah a critiqué la couverture médiatique par la chaîne panarabe des opérations menée à Jénine contre des groupes armés proches du Hamas.
Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées jeudi dans la bande de Gaza par des frappes israéliennes, dont le chef de la police du Hamas, Mahmoud Salah, et son adjoint Hussam Shahwan, a annoncé le porte-parole de la Défense civile.

2024

Le Comité international de la Croix-Rouge a jugé, lundi, que le système sanitaire dans le nord de la bande de Gaza était "anéanti" après plus d'un an de bombardements menés par Israël.
Le journal israélien est l’un des rares médias du pays à montrer la réalité de la guerre du côté palestinien. Une approche critique qui lui vaut d’être en première ligne face aux attaques du gouvernement contre les médias.
Un bébé de trois semaines est mort ce dimanche 29 décembre en raison du froid, ont annoncé les autorités sanitaires de l’enclave, alors que le dernier hôpital fonctionnel du nord de la bande a été bombardé et vidé.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se montre incapable d’abandonner sa logique de guerre au profit d’une logique de paix, même après avoir réduit à néant la bande de Gaza et fait la preuve de la surpuissance militaire de son pays.
L'OMS a annoncé vendredi que le dernier grand hôpital opérationnel dans le nord de Gaza était "hors service" après un raid de l'armée israélienne contre des combattants du Hamas près de cet établissement, pris d'assaut selon le mouvement islamiste palestinien.
Aujourd'hui, nous joignons notre voix à celle d'autres associations pour dénoncer cette entreprise effroyable. Malheureusement, la reconnaissance de plus en plus large qu'Israël commet bien un génocide à Gaza ne suffit pas à l'arrêter ou le freiner.
En continuant de soutenir militairement et financièrement leur allié israélien malgré les accusations étayées qui le visent, nombre d’Etats, dont la France, se dérobent à leur responsabilité et mettent à mal le droit international.
Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, mercredi, une résolution non contraignante par 158 voix pour, neuf contre et treize abstentions exigeant un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent", un appel rejeté par Israël et les États-Unis.
Dans un rapport accablant et très documenté, publié ce jeudi 5 décembre, l’ONG assure que l’opération militaire israélienne dans l’enclave palestinienne répond à trois des cinq actes interdits au titre de la Convention de 1948.
Les recherches ont permis de rassembler suffisamment d’éléments pour conclure qu’Israël a commis et continue de commettre un génocide contre les Palestiniens et Palestiniennes dans la bande de Gaza occupée.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il allait coprésider avec le prince héritier et dirigeant de facto de l'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane une conférence sur la création d'un Etat palestinien en juin 2025.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.
L’ancien ministre de la Défense israélien Moshé Yaalon a affirmé samedi que l’armée israélienne menait un "nettoyage ethnique" dans la bande de Gaza, provoquant un tollé au sein de la classe politique.
La bande de Gaza a sombré dans l’anarchie, avec une hausse de la famine, des pillages généralisés et des viols de plus en plus fréquents dans les camps de réfugiés, alors que l’ordre public s’est effondré, ont déclaré vendredi des responsables des Nations-Unies.
Alors que l’élection de Donald Trump pourrait conforter Benyamin Nétanyahou dans sa stratégie meurtrière, les ancien et actuel députés européens affirment, dans une tribune au « Monde », que le mandat d’arrêt de la CPI contre le premier ministre israélien n’est pas antisémite et appellent la France à reconnaître l’Etat palestinien.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a affirmé qu'Israël devrait "conquérir" la bande de Gaza et réduire de moitié la population palestinienne locale par "une émigration volontaire".
Outre les dizaines de milliers de morts, la guerre israélienne a fait plus de 100 000 blessés parmi les habitants de Gaza, dont beaucoup d’enfants. “The New York Times” est allé à la rencontre de ceux qui ont eu la chance d’être évacués et opérés au Qatar.
La guerre d’Israël dans la bande de Gaza bafoue un des droits fondamentaux : l'accès à l’eau. Cette « instrumentalisation de l’eau » a de lourdes conséquences sur les Gazaouis, déplore l’auteur de cette tribune.
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en Ukraine mais aussi en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
Après plus d’un an de conflit à Gaza, la Cour pénale internationale a provoqué la fureur d’Israël en émettant jeudi des mandats d’arrêt sans précédent contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Le ministère de la Santé du Hamas pour Gaza a averti vendredi que tous les hôpitaux du territoire palestinien devraient cesser ou réduire leurs activités "sous 48 heures" faute de carburant dont l'entrée est bloquée, selon lui, par les autorités israéliennes.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et du chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Cette décision, la première contre des dirigeants israéliens dans l’histoire de la Cour, a été qualifiée d’un nouveau “procès Dreyfus” par Nétanyahou.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
Voici la réponse du sociologue Jean De Munck à l'opinion du psychologue, anthropologue et psychanalyste Francis Martens parue récemment dans La Libre, et qui a suscité de vives réactions. Le Professeur De Munck explique et argumente, point par point, les raisons de son désaccord avec M. Martens.
Le comité spécial de l’ONU chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés s’alarme notamment des “pertes civiles massives” et de l’emploi de “la famine comme arme de guerre”. Washington a lui désapprouvé “sans équivoque” les conclusions du document onusien.
L’armée israélienne favorise le pillage de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, en s’en prenant notamment aux forces de police palestiniennes qui tentent de le combattre, accusent vendredi 29 ONG dans un rapport commun.
La déclaration a été faite à l’issue d’un sommet de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique en Arabie saoudite.
Une haute responsable de l’ONU a dénoncé mardi la "cruauté quotidienne" subie par la population de la bande de Gaza assiégée et bombardée par Israël, décrivant "des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves".
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a plaidé lundi pour l'annexion de la Cisjordanie par son pays, donnant ordre à l'administration civile et militaire de préparer l'infrastructure nécessaire à cette annexion, selon le Jerusalem Post.
Les dirigeants arabes et musulmans ont réaffirmé lundi leur appel en faveur de la création d’un Etat palestinien souverain, avec Jérusalem-Est comme capitale, à l’issue d’un sommet des pays arabes et musulmans à Ryad.
La famine menace dans le nord de la bande de Gaza, dans un contexte d'intensification des opérations de l'armée israélienne et d'un arrêt quasi total de l'aide alimentaire, alerte samedi un rapport de l'ONU.
L’ancien président des États-Unis a été porté une seconde fois à la Maison-Blanche le 5 novembre. “The Washington Post” récapitule les effets possibles sur les principaux fronts diplomatiques du globe. Et les craintes des autres pays.
Malgré l'opposition des États-Unis et la mise en garde du Conseil de sécurité de l'ONU, la Knesset a adopté lundi l'interdiction pour l'Unrwa d'exercer ses activités sur le territoire israélien. Un vote lourd de conséquences humanitaires et politiques qui oblige la communauté internationale à repenser toute l'aide aux Palestiniens.
Israël mène une guerre sur plusieurs fronts, notamment contre le Hamas à Gaza et le Hezbollah au Liban.
Le patron de l'OMS, le Royaume-Uni, ou encore l'Allemagne ont dénoncé l'adoption d'une loi par le Parlement israélien visant à interdire les activités de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans le pays.
La décision des députés israéliens d’interdire l’agence de l’ONU chargée des réfugiés palestiniens, alors que de nouvelles opérations dans la bande de Gaza menacent la vie de dizaines de milliers de civils, est une honte et un scandale.
Près de 100 personnes dont des femmes et des enfants ont été tuées dans une frappe israélienne mardi dans la bande de Gaza, ont indiqué les secours locaux, les Etats-Unis déplorant un raid "horrible" dans le territoire palestinien dévasté par un an de guerre.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées dimanche après-midi dans le centre de Bruxelles pour réclamer un cessez-le-feu dans la bande de Gaza et au Liban, où l’armée israélienne mène des opérations. Les organisateurs parlent de 70.000 personnes, la police de 32.000.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé que la mort du chef du Hamas marquait « le début de la fin » de la guerre menée depuis plus d’un an dans la bande de Gaza.
Plus de 1 000 Israéliens ou Franco-Israéliens, dont des universitaires et des artistes, appellent la communauté internationale à appliquer contre l’Etat hébreu toute sanction possible afin d’obtenir un cessez-le-feu immédiat.
"Dans une semaine, tout le territoire du nord de la bande de Gaza deviendra un territoire militaire. Et dans ce territoire militaire, en ce qui nous concerne, aucun approvisionnement n’entrera. Les 5000 terroristes qui se trouveront dans cette situation pourront soit se rendre soit mourir de faim."
Le Pentagone a annoncé dimanche l'envoi en Israël d’un système de défense antimissiles à haute altitude THAAD ainsi que d'une centaine de militaires américains pour le faire fonctionner. Considéré comme l'un des plus perfectionnés au monde, ce système doit permettre de renforcer la sécurité de l'État hébreu face à la menace balistique de l'Iran.
Alors que la Knesset israélienne a récemment voté deux projets de loi pour mettre fin aux activités de l’agence onusienne en charge des réfugiés palestiniens (Unrwa) qu'elle accuse de partialité, celle-ci annonce être la cible de l’armée israélienne sur le terrain, à Gaza. Elle se dit aussi victime d’une campagne de désinformation visant à saper sa crédibilité.  
Alors que les ordres d’évacuations se multiplient, la BBC s’interroge quant aux objectifs de cette nouvelle phase de la campagne militaire contre le Hamas dans l’enclave palestinienne. L’armée israélienne serait-elle en train de progressivement mettre en place le radical et brutal “plan des généraux” ?
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a appelé dimanche le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à mettre les Casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) "à l'abri immédiatement".
La destruction à grande échelle de Gaza et la mort sous les bombes israéliennes de plus de 41 000 Palestiniens, dont une large majorité de civils, se sont accomplies sous le regard passif des principaux pays occidentaux. Une "abdication morale", selon le chercheur Didier Fassin, qui décrypte dans un récent essai la genèse de "l'acquiescement à l'anéantissement de Gaza".
Des enquêteurs des Nations unies ont accusé jeudi Israël de délibérément viser les installations de santé dans la bande de Gaza, évoquant des "crimes contre l'humanité", et accusé le Hamas et les groupes armés palestiniens de crimes de guerre et crimes contre l'humanité à l'égard des otages retenus à Gaza.
Des enquêteurs de l'ONU, évoquant des "crimes contre l'humanité", accusent jeudi Israël de viser délibérément les installations de santé de la bande de Gaza, tout en torturant et tuant le personnel médical.
Après onze mois de guerre d’usure, septembre 2024 a vu une nette intensification du conflit, qui semble désormais impliquer plus que jamais la plupart des alliés régionaux de l’Iran face à Israël.
Plus de 6 bâtiments sur 10 de l’enclave ont été détruits, ou possiblement endommagés. Plus de 60% du réseau de distribution électrique de l’enclave et 68% des routes sont endommagés.
« 7-Octobre, un an après. » Les mineurs, les femmes et les personnes de 60 ans et plus représentent plus de 60 % des 41 870 morts recensés par les autorités de santé de l’enclave palestinienne.
L’armée israélienne a ordonné dimanche 6 octobre aux habitants du nord de Gaza «d’évacuer». Si rien ne le prouve, certains commentateurs redoutent que cela marque le début du plan «Eiland», qui viserait à assiéger cette partie de l’enclave.
Cet ouvrage collectif, qui rassemble une série de rapports et d’enquêtes publiés par des ONG et des médias, documente les effets de la guerre menée par Israël dans l’enclave palestinienne, en riposte au massacre du 7-Octobre. Une démarche destinée à lutter contre l’« invisibilisation » des Gazaouis et de leurs souffrances.
Israël commémore lundi le premier anniversaire de l'attaque sanglante du Hamas le 7 octobre 2023. Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, doit s'adresser à la nation tandis qu'une cérémonie a eu lieu sur le site du festival de musique Nova, où au moins 370 personnes avaient été tuées par les combattants du Hamas.
L’obstination du premier ministre de l’Etat hébreu et de ses alliés dans la guerre qu’ils mènent à Gaza et au Liban va à l’encontre des intérêts à long terme de son pays, explique l’historien israélien, dans une tribune au « Monde ».
Des centaines d'Israéliens se sont réunis, dimanche soir, à Tel-Aviv, pour marquer le premier anniversaire des attaques sanglantes du Hamas le 7 octobre 2023, il y a tout juste un an.
Une première cérémonie d'hommage aux victimes de l'attaque terroriste du 7 octobre dernier visant Israël s'est déroulée ce dimanche à Uccle. Près de 2000 personnes s'y sont rassemblées et d'autres cérémonies sont prévues ce lundi. Yves Oschinsky, président du Comité de coordination des organisations juives de Belgique était l'invité du Café sans filtre ce lundi 7 octobre.
Un an après l’attaque perpétrée le 7 octobre par le Hamas en Israël, on ne peut qu’appeler à la paix, « la seule action qui ouvre l’avenir », écrit Hervé Kempf dans cet éditorial.
En excluant les assaillants du décompte, autour de 1 200 personnes ont péri lors des attaques ou des suites de blessures infligées la journée du 7 Octobre. Une grande majorité étaient des civils.
Nonante-sept otages sont toujours retenus par le Hamas à Gaza. Et au moins une trentaine d’entre eux sont morts selon l’armée israélienne. Leurs familles se battent depuis un an, sans cesse, pour obtenir leur libération mais aussi pour maintenir l’attention des autorités sur le sort de leurs proches.
Une vidéo extraite d’un documentaire du média public turc TRT World montre des Israéliens prendre des bateaux pour observer Gaza et réfléchir à la réimplantation de colonies dans le nord de l’enclave. Des images représentatives de la volonté de recoloniser le territoire palestinien exprimée depuis plusieurs mois par une frange radicale de la société israélienne.
Les deux tiers des bâtiments de la bande de Gaza ont été détruits ou endommagés depuis le début de la guerre en octobre 2023, ont annoncé lundi les Nations unies.